27 août 2024

DICTATURE 2.0: L'OLIGARCHIE EUROPÉENNE À L'ASSAUT DE LA LIBERTÉ.

 L'Europe, autrefois berceau de la démocratie et des droits de l'homme, glisse aujourd'hui vers une répression inquiétante. Cette dérive autoritaire, orchestrée par une oligarchie technocratique enragée, menace les fondements mêmes de la liberté d'expression. Les élites dirigeantes, terrifiées à l'idée que leurs manigances soient exposées au grand jour, s'emploient à réduire au silence toute dissidence. Le cas récent d'Elon Musk, menacé de censure pour ne pas se conformer aux règles de l'Union européenne, illustre cette folie répressive. Mais cette attaque contre la liberté dépasse largement l'affaire Musk : elle s'inscrit dans un schéma plus large de persécution des voix indépendantes, comme en témoignent les pressions exercées sur les patrons de Telegram et de Rumble. Dans ce contexte, les médias, gangrenés par la corruption, jouent un rôle central dans la propagande d'État, diabolisant ceux qui osent défier l'ordre établi.

Les événements récents montrent clairement que la France, sous l'égide de Macron, applique méthodiquement les consignes de Bruxelles, en particulier celles de figures comme Thierry Breton, pour réprimer toute forme de liberté d'expression. La menace de bloquer X (anciennement Twitter) si Elon Musk refuse de se plier aux règles de censure européennes est emblématique de cette tendance autoritaire. L'Union européenne révèle ici son véritable visage : celui d'une dictature technocratique qui cherche à contrôler l'information pour protéger ses intérêts. Cette attaque contre Musk s'inscrit dans une série de violations des droits fondamentaux, qui suscitent une vague d'indignation parmi la presse alternative et les opposants de tous bords.

Ce climat de répression est exacerbé par une terreur omniprésente, qui ne se limite pas à la peur du châtiment, mais qui paralyse l'âme elle-même. Kafka avait anticipé ce phénomène : une terreur qui empêche de prononcer un mot interdit, de nourrir une pensée impensable, de défier le regard omniscient du pouvoir. Cette terreur rend les individus dociles, soumis à une surveillance constante, dans une anticipation du châtiment qui envahit chaque aspect de leur vie. Le cas d'Elon Musk, comme ceux de Julian Assange, Edward Snowden et Pavel Durov, témoigne de cette réalité sombre : l'Occident, qui se targue d'être le champion de la liberté.

Au cœur de cette machine répressive, les médias français, gangrenés par la corruption, ont abandonné leur rôle de contre-pouvoir pour devenir les relais de la propagande d'État. Plutôt que de dénoncer ces dérives autoritaires, ils se livrent à une chasse aux sorcières contre les journalistes qui osent révéler les vérités dérangeantes. Les termes utilisés par ces médias sont d'une violence inouïe : « cafards », « vermine », « gangrène », « dingos », autant de mots qui rappellent sinistrement les heures sombres de l'histoire. Nous ne sommes pas au Rwanda en 1994, mais en France, sur les ondes de TF1 ou de RTL. Figures emblématiques de cette presse corrompue, des personnalités comme Alba Ventura ou Emmanuelle Anizon, préfèrent s'attaquer à ceux qui dénoncent les mensonges du système, plutôt que de se pencher sur les véritables questions, notamment celles entourant le couple présidentiel Macron.

Cette campagne de diffamation est dirigée contre des figures comme Xavier Poussard, l'un des rares journalistes à oser défier cette omerta médiatique. Son travail, qui vise à exposer les mensonges et les manipulations des élites, est systématiquement dénigré par une presse qui préfère protéger ses maîtres plutôt que de servir la vérité. Cette mascarade médiatique est le reflet d'une corruption généralisée qui gangrène la démocratie et asservit l'opinion publique.

La menace de censure contre Elon Musk, orchestrée par une Union européenne en pleine dérive autoritaire, n'est que la pointe de l'iceberg. Derrière cette attaque, se cache une répression systématique de la liberté d'expression, alimentée par une terreur omniprésente qui paralyse la société. Les médias, complices de cette dérive, préfèrent diffamer les vrais journalistes plutôt que de défendre la liberté de la presse. Dans cette Europe en déclin, il est impératif de rester vigilant et de défendre les fondements de la démocratie. La liberté d'expression, aujourd'hui plus que jamais en danger, doit être protégée coûte que coûte, face à une oligarchie devenue folle, déterminée à imposer son contrôle absolu sur l'information et à étouffer toute voix dissidente.


Phil BROQ.



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