QUAND LA PROPAGANDE DES TYRANS EST REBAPTISEE "NUDGE"

La définition technique du Nudge, c'est de faire changer les comportements naturels des individus pour les pousser à adopter des comportements qui ne sont pas dans leur intérêt. Ce concept de manipulation psychologique est issu des sciences du comportement et de ses mécanismes décisionnels. Le principe de base du Nudge est de créer des suggestions indirectes qui peuvent inciter à la prise de décision des individus de manière au moins aussi efficace que l’instruction directe ou la législation. L’objectif affiché étant d’influencer les individus à prendre des décisions, supposées être pour leur bien, sans cadre légal ou juridique. Autrement dit, le Nudge sert à influencer les citoyens par des moyens insidieux. Ce processus déloyal étant bien entendu mis en œuvre avec l’argent des contribuables au même titre que la propagande médiatique, en expliquant qu’une forme de paternalisme et d’architecture du choix est inévitable dans les politiques publiques, dès lors que les élus le sont frauduleusement. Et par conséquent n'ont aucun soutien de la population. Le Nudge est là pour palier à l'éthique et vous formater les pensées en induisant des idées allant contre votre propre bien.

Le Nudge ( "coup de pouce" en français), vise donc à inciter des individus ou l'ensemble d'un groupe humain à changer leurs comportements ou à faire certains choix malgré eux. Cette méthode d’influence est qualifiée de "paternalisme libertarien" car elle permet aux individus de faire leurs choix, en théorie, sans coercition. En pratique, sans les innombrables sanctions et la violence policière, aucun humain sain n'accepterait d'adopter des comportements allant à l'encontre de son bien-être, de la logique ou de la morale. Ainsi, cette technique de manipulation permettrait d'améliorer les décisions concernant la santé, la richesse et le bonheur, que les gouvernants psychopathes souhaitent imposer à leurs peuples. On sent bien là les relents nauséabonds de ce "nouvel Ordre Mondial" que les tarés de Davos veulent imposer au monde entier coûte que coûte sous le nom de "Great Reset"...

Cette manipulation de masse a été mise en lumière, en 2008, par Richard Thaler et Cass Sunstein dans leur livre "Nudge". Ces derniers le définissent de la façon suivante : "Le Nudge est un aspect de l'architecture du choix qui modifie le comportement des gens d'une manière prévisible sans leur interdire aucune option ni modifier de manière significative leurs motivations économiques. Pour ressembler à un simple "coup de pouce ", l'intervention doit être simple et facile à esquiver. Les " coups de pouce " ne sont pas des règles à appliquer. Mettre l’évidence directement sous les yeux est considéré comme un coup de pouce. Interdire uniquement ce qu’il ne faut pas faire ou choisir ne fonctionne pas." Ainsi, l'une des principales justifications apportée par Thaler et Sunstein concernant le paternalisme libertarien dans leur ouvrage "Nudge" repose sur la nature humaine et la psychologie des individus. Le livre est critique lorsqu'il s'agit de considérer les êtres humains comme des homo economicus, donc de supposer que nous pensons et agissons de manière infaillible et parfaite, conformément à la vision offerte par les économistes. Nous ne serions pas des "homo economicus", comme le déplorent Richard Thaler et Cass Sunstein, mais de simples "homo sapiens", faibles de leurs pulsions. Les sciences comportementales partent ainsi des émotions individuelles pour anticiper les comportements. Les "nudgeurs" étiquettent les individus de divers biais comportementaux et infèrent des généralités à échelle collective, ce qui peut être très dangereux. Cependant, cette politique a été critiquée pour ne pas faire la différence entre le consentement éclairé et l’absence d’expression d’une opinion. Plusieurs critiques soulignent aussi les risques de manipulation de l’opinion publique. D'autres chercheurs comme Karen Yeung (2012) critiquent le manque de fondements scientifiques en neuroscience et en psychologie derrière les dispositifs de Nudge utilisés dans les politiques publiques, ce qui remet en cause leur légitimité. 

Or, lors de l'épisode de la plandémie de Covid-19, la "Nudge unit" de l'entreprise BVA a conseillé le gouvernement français sur des leviers permettant d'inciter les Français à adopter leur folie à base de contrôle total des individus, d'enfermement et d'injection de produits expérimentaux hautement toxiques dans leurs corps. La Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) a également travaillé en lien avec l’Assurance maladie pour renforcer les traçages des cas contacts lors de la séquence artificiellement orchestrée du Covid. Et on le sait dorénavant, McKinsey est intervenu sur à peu près tous les sujets et dans tous les ministères de cette gouvernance tyrannique instaurée par l'arrivée frauduleuse du minable poudré à l'Elysée et comme jamais auparavant un cabinet ne l’avait fait. D'ailleurs, un dossier sur le "Nudge" est présenté sur leur site et fait même la grande fierté de McKinsey. Ce cabinet, dirigé par le Fils Fabius en France et qui emploie aussi le Fils de Van der "La hyène" au niveau européen, est apparemment très touché par le bien-être des gens, dès lors que cela leur ramène des milliards de subventions, alors qu'il fait le travail dévolu normalement à nos parlementaires que nous payons aussi, mais pour ne rien faire. Cette technique d’économie comportementale dont le cabinet McKinsey se vante sur son propre site internet de l’utiliser pour extorquer le consentement des citoyens sans aucune loi d’obligation, est utilisé à outrance, comme il a pu être démontré aux États-Unis avec entre autres, l’affaire des opioïdes, qui a causée la mort de milliers de personnes. Sans compter sur les amendes énormes dont ils durent s'acquitter en tant que société mafieuse.

Ce cabinet McKinsey, fer de lance de la pensée mondialiste voulant incarcérer tout être humain dans une prison technologique appuyée par la nanotechnologie injectée sous cutanée, s’est donc investi dans des missions destinées à augmenter la volumétrie des injections de doses ARNm auprès de toute la population, notamment avec une mission intitulée "leviers utilisables afin d’atteindre les objectifs de vaccination", dont les slogans sont connus de tous. Tels que : "vacciner vous, vous le valez bien", " tous vaccinés, tous protégés", "je protège mes grands-parents en me vaccinant", etc. Et ils n'ont pas lésiné sur les moyens, que nous payons avec nos impôts, pour vous faire croire et donc admettre que c’est pour votre bien, et en plus, ils en font une "tendance", une nouvelle norme définie par ceux qui s'auto-proclament "camp du bien", car pour cette frange de décérébrés tyranniques, leur folie c’est LA vérité! Ils font comme si les humains n'étaient pas capables de savoir grâce à leur libre-arbitre ce qui est bien pour eux. Et ces discours touchent en général les personnes faibles intellectuellement, l'esprit atrophié par la télé, des êtres grégaires et narcissiques, généralement centrées uniquement sur leur propre plaisir immédiat… C'en fait de l'infantilisation à outrance par le biais du marketing de masse. De fait, les travaux menés permettent surtout de valoriser une approche scientifique, dont on connait à présent l'ample corruption des travaux et des chiffres biaisés, sur la place du comportement humain dans les politiques publiques (ceci à la fois en termes de diagnostic mais aussi d’évaluation d’impact). Rien de nouveau sous le soleil puisqu'on connaissait cela par les procédés propagandistes utilisés déjà par Goebbels sous le régime nazi.

En France, il faut attendre 2013 pour que le SGMAP, le Secrétariat général à la modernisation de l’action publique, commence à s’intéresser à l’économie comportementale, et crée sa Nudge unit pour construire les politiques publiques à partir des comportements réels des usagers. Au Royaume-Uni, par exemple, l’unité Nudge appelée Behavioural Insights Team (BIT) est dirigée depuis sa création par le psychologue David Halpern. Cette unité, créée à l’origine pour appliquer la théorie du Nudge au sein du gouvernement britannique, a été transformée en 2014 en une société anonyme possédée en partie par le gouvernement, ses employés et la fondation britannique Nesta. Son siège social est situé à Londres mais l’entreprise possède aujourd’hui des bureaux à Manchester, aux États-Unis (New York et Washington, DC), à Singapour, en Australie (Sydney), en Nouvelle-Zélande (Wellington), en France (Paris) et au Canada (Toronto). Notez la similitude avec les fameux pays où est arrivé simultanément ce virus, si invisible et inoffensif qu'il fallait un test pour savoir si on l'avait, mais à haut rendement pour permettre la fin de toutes les libertés naturelles. Mais bien avant cette Plandémie factice orchestrée par les mondialistes, l'ancien Premier ministre David Cameron et l'ancien Président Barack Obama ont tous deux cherché à utiliser la théorie du "coup de pouce" pour faire avancer leurs objectifs de politique intérieure pendant leurs mandats. La première étape symbolique est franchie avec la nomination, par Barack Obama, de Cass Sunstein à la tête de l’OIRA, l’agence américaine en charge de l’information et de la simplification. Suivra un décret présidentiel invitant l’ensemble des administrations fédérales à s’emparer des sciences comportementales, puis la création d’une structure scientifique dédiée d’appui à l’exécutif. 

La Behavioural Insights Team (BIT) britannique opère également en France depuis 2018, et est à l’origine, grâce à un partenariat avec la Direction Interministérielle, de la Transformation Publique (DITP) au sein du ministère de la Transformation et de la Fonction Publique. En 2020, la Behavioural Insights Team a ouvert des bureaux permanents à Paris avec des conseillers transférés de Londres. La Behavioural Insights Team France est dirigée par l’économiste Laura Litvine. Elle dirige une équipe travaillant sur une série de projets à impact social hautement toxiques, couvrant tout le spectre politique, de la santé à la protection des consommateurs, en passant par la durabilité, l'éducation ou encore les finances publiques. Elle travaille chez BIT depuis 2016 et était auparavant conseillère principale au sein de l'équipe des affaires intérieures et des programmes internationaux, où elle était responsable de cette même propagande mondialiste au Bangladesh et avait aussi travaillé sur des évaluations d'impact au Mexique, au Pérou, en Inde et au Brésil. En clair, elle a essayé d'influencer les BRICS, avant de se rabattre sur notre pays. Voilà encore un être sans aucune éthique, à l'image du poudré de l'Elysée, investie dans une approche totalitaire touchant aux prises de décisions individuelles. Mais elle est loin d'être la seule. Quantité de pays se sont également aventurés en terre comportementale. L’OCDE a ainsi recensé quelques 200 structures institutionnelles (sans parler du secteur privé), de tailles et d’ambitions variables, allant de la veille scientifique à l’accompagnement opérationnel de politiques publiques. La plupart convergent vers la nécessité de prôner et pratiquer une approche comportementale globale.

Ainsi, au sein de la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP), une équipe de 5 chercheurs sous la direction de Stephan Giraud travaillent sur la théorie du Nudge et ses applications dans l’administration française. Quelques exemples d'applications concrètes du Nudge devraient vous éclairer quant à leur rôle néfaste au sein de notre société dite moderne : réduire les prescriptions d'antibiotiques, lutter contre le non recours aux dispositifs d'insertion sociale, promouvoir l'égalité des genres en luttant contre les stéréotypes ou encore limiter les flux en matière de procédures judiciaires. Tout un programme de formatage du monde en annihilant les droits acquis durant de longues luttes par nos ancêtres, mais aussi en supprimant les devoirs de nos gouvernants. Leur théorie du Nudge est également appliquée à la gestion d'entreprise et à la culture d'entreprise, notamment en matière de santé, de sécurité, d'environnement (QHSE) et de ressources humaines : "Imaginons qu’à la fin de chaque mois on vous attribue des points en fonction de ce que vous avez mangé, et que vous puissiez comparer avec vos collègues de bureau. Selon leur théorie du Nudge, vous serez incités à lever le pied sur les aliments gras." Plusieurs chercheurs ont proposé d'appliquer leur théorie du Nudge au monde de la restauration, afin de favoriser une alimentation végétarienne. Appliquée à l'environnement ou aux pseudos vaccins, on retrouve donc dans cette théorie qui n'en est plus une, tout le panel du crédit social à la chinoise destiné à enfermer les peuples dans leurs algorithmes de contrôle et d'élimination des esprits libres et sains...

Par exemple, la différence entre le consentement au don d’organe dans les pays avec un système opt-in ou opt-out. Soit les gouvernements demandent un consentement express du citoyen afin de prélever ses organes (opt-in) et ont un taux de consentement au don d’organe assez faible, soit chacun est donneur par défaut sauf décision contraire (opt-out) et ainsi, le taux de consentement au don est beaucoup plus élevé. Qu'en est-il pour les donneurs et receveurs de sang, puisque dorénavant les injectés vont donner du sang vicié aux non-injectés en cas d'accidents ? On revient alors sur le même cas que lors de l'épisode du sang contaminé qui a vu la décision inique de déclarer Fabius responsable mais pas coupable... Comme un air de déjà vu, mais cette fois à l'échelle planétaire.

Et ce sont ces sociétés du Nudge qui œuvrent dans l'ombre, mais toujours avec nos impôts, afin de modeler un monde qui ressemble de plus en plus à une prison à ciel ouvert où les prisonniers sont à la fois gardiens et bourreaux de leurs propres libertés par consentements induits. Car les Nudges permettent surtout aux décideurs de se déresponsabiliser en rejetant la faute sur les individus. Peur et culpabilité de l'individu n'étant plus que les deux ressorts utilisés à outrance afin de détruire notre monde d'humains au profit de cette caste de malveillants qui se sont accaparés le pouvoir partout, faute d'opposition populaire réelle et virulente.

Quand vous vendez de l'énergie, vous contrôlez l'industrie. Quand vous vendez des armes, vous contrôlez les conflits. Quand vous vendez de la nourriture, vous contrôlez la société. Quand vous vendez les semences, vous contrôlez la vie sur Terre. Et quand vous vendez de la peur, vous contrôlez les esprits... Ce sont tout cela, les sociétés du Nudge qu'utilisent nos pantins de gouvernants afin de nous contrôler comme on contrôle un troupeau. Rien de bien nouveau en soi, la base de ces techniques ayant été posée par le travail de compréhension des ressorts émotifs des masses, incapables alors de toute rationalité, par Gustave Le Bon et disséquée dans sa mise en place par celui d’Edward Bernays, les phénomènes de répétition faisant le reste. Sur les réseaux sociaux, on pourrait aussi appeler ça du trollage, cela s’y apparente fortement sous certaines formes, mais "Nudge" ça fait plus intello. Aucun mystère à tout cela, aucune magie, que de l’évidence, de l’inné presque, le pire étant qu’ils vous manipulent et vous disent comment, mais aussi basique, aussi petit que ce soit, c’est tellement bien fait que vous n'y voyez que du feu et ils s’en foutent de ce qu’ils font de vous, et par extension, de vos enfants.  Tout ce qu’ils veulent, c'est que vous buviez cette technique à grand goulot sans jamais vous poser aucune question. Car la différence entre le Nudge et l’information est que justement, dans le second cas, les personnes disposent de renseignements, sous forme d’un encart ou d’une explication. La volonté d’informer s’adresse à la rationalité de l’individu. Or, le Nudge est aussi insidieux que dangereux car il en appelle aux émotions. Les motivations qui nous poussent à agir sont plus souvent émotionnelles que rationnelles, c'est cela être un humain. C'est suivre avant tout son instinct et non pas être un robot formaté. Au sens du psychologue Daniel Kahneman, le nudge sollicite le "Système 1" de la personne, impulsif, et non son "Système 2", rationnel. C'est ainsi qu'en jouant sur nos émotions primaires, ils nous contrôlent. Et le pire de tout cela...

... c'est que ça fonctionne parfaitement !

Phil BROQ.