TRUMP DENONCE LA SUPERCHERIE QU’EST L’ONU
Dans un monde où l'humanité est sacrifiée sur l'autel du capitalisme sauvage, Trump ose briser le silence et dénoncer les mascarades d'un système construit sur l'exploitation et la manipulation. il expose l'ONU et ses institutions multilatérales pour ce qu'elles sont réellement. C'est à dire des instruments de soumission et de domination mondiale, au service des élites géopolitiques et économiques. Loin d'être des garants de la paix et de la coopération internationale, ces entités sont devenues les bras armés d'un ordre mondial globaliste, manipulé par une poignée de puissances qui écrasent les nations souveraines sous le prétexte de solidarité.
Donald Trump a peut-être dit des vérités gênantes, mais il a, sans aucun doute, raison. Son discours à l’ONU ne fut pas qu’une simple diatribe populiste, mais bien un cri de vérité dans un monde dominé par une mascarade mondialiste où la soi-disant "coopération internationale" n’est en réalité qu’un outil moribond pour soumettre les nations à une hégémonie Anglo-américano-sioniste. Derrière les discours pompeux et les charmes creux de la Charte des Nations Unies, se dissimule un soi-disant "ordre international " qui n’est en réalité qu’une gigantesque mascarade.
Ce n’est pas un système de coopération mondiale, mais une mafia globale, organisée pour opprimer, exploiter et asservir les peuples. Une clique de tartufes hypocrites, qui sous couvert de "paix" et de "justice", n’a pour seul but que de maintenir le chaos pour mieux dominer. Chaque résolution, chaque projet de loi, chaque intervention de l’ONU ne sert qu’à renforcer les liens de cette oligarchie mondiale, tout en écrasant les nations souveraines sous le poids de leur soumission. Trump, avec la brutalité d’un révélateur, met à nu cette farce géopolitique et nous offre un éclairage sans illusion sur la réalité de ce système qui n’est une véritable tyrannie déguisée en diplomatie.
Le Cauchemar de la Souveraineté Systématiquement Écrasée
Quand Trump prône la souveraineté des États et leur indépendance face à cette entité nébuleuse qu’est l'ONU, il défend avant tout un principe élémentaire du droit des peuples à choisir leur destin sans être soumis à une dictature internationalisée. L’ONU, avec sa structure pléthorique et ses résolutions stériles, est l'instrument parfait de ce système mondialiste, une machine de propagande qui masque son véritable objectif de vouloir effacer les particularismes culturels, imposer une gouvernance mondiale et réduire les États à des coquilles vides incapables de défendre leurs citoyens.
Trump a aussi parfaitement raison d’attaquer la migration de masse. Ce n’est pas un phénomène humanitaire, mais bien une arme géopolitique de la part des élites globalistes. La vague migratoire n’est rien d’autre qu’une stratégie visant à désintégrer l’identité nationale des pays occidentaux et à imposer une homogénéisation de la culture mondiale, où le nationalisme et la souveraineté sont vues comme des notions archaïques. Les "migrations incontrôlées" ne sont pas un simple accident de l’histoire, mais un projet soigneusement orchestré par ceux qui tirent les ficelles d’un monde sans frontières. Ce n’est pas une conséquence inévitable de la mondialisation, mais un plan délibéré pour effacer les identités culturelles, nationales et ethniques, en particulier en Occident. Le métissage forcé, sous prétexte d’humanisme et de solidarité, est une arme de destruction massive contre les identités historiques, et surtout contre la souche caucasienne, déjà bien affaiblie en Europe occidentale. Cette dilution des peuples dans un magma cosmopolite a pour but ultime la disparition de toute forme de résistance à l'hégémonie globaliste.
Et ce processus s’accompagne d’une guerre idéologique et militaire menée à grande échelle, notamment par l’OTAN et ses sbires européens, contre la Russie. La guerre perpétuelle qu’ils cherchent à entretenir n’est pas une simple lutte géopolitique, mais une guerre de civilisation. En affaiblissant l'Occident et en menaçant la Russie, ces mêmes puissances visent à effacer toute résistance à la domination mondialiste, à anéantir les dernières poches de culture européenne et à imposer une mondialisation uniforme où seule la loi du fort régnerait, celle des multinationales et des élites financières qui se nourrissent du chaos. Ce n’est pas un développement civilisationnel naturel mais un plan. Un plan visant à éradiquer ce qui reste de l’histoire et des racines des peuples européens, au profit d’un ordre mondial qui ne connaît que la soumission et l’effacement.
L’Ordre Mondial est un Projet Anglo-Américano-Sioniste
L’ONU n’est pas un phare de justice ou de paix, c’est une façade qui dissimule un projet bien plus sombre visant donc à imposer une hégémonie anglo-américano-Talmudo-sioniste sur l’ensemble de la planète. Derrière la façade de la coopération, c’est la domination brutale qui se cache. L’ONU, avec ses résolutions, ses sanctions, et ses opérations de maintien de la paix, est avant tout un instrument pour renforcer le contrôle des grandes puissances, notamment les États-Unis et leurs alliés, sur le reste du monde.
Pourtant, les États-Unis, ces géants hypocrites qui, en plus d’être les plus grands pollueurs de la planète, sont aussi les principaux bénéficiaires d’un système international qu’ils contrôlent et manipulent à leur avantage pour sauver leur hégémonie financière, utilisent l’ONU comme une façade. Derrière le vernis humanitaire de leurs discours se cache une machine de guerre diplomatique, économique et militaire, qui justifie sans cesse des interventions sanglantes à travers le monde, tout en prétendant défendre la liberté et les droits humains. Mais ce qu’ils cherchent réellement, c’est à imposer leur domination, en masquant leurs véritables intentions sous un prétexte moral qui n’est qu’un leurre. Quant à leur Golem Israélien, il suit cette même logique de destruction systématique. Israël, comme l’extension des États-Unis au Moyen-Orient, se sert de ce même processus, à la fois pour détruire les peuples qu’il écrase et pour propager une vision mondiale fondée sur la loi du plus fort, où la coopération, l’entraide et le respect mutuel n’ont plus leur place.
Mais ces deux entités, l’Amérique et Israël, refusent obstinément de se soumettre à un véritable ordre international, celui qui pourrait apporter une justice équitable, ou à la Cour Pénale Internationale (CPI), ces institutions qui, en théorie, sont censées punir les crimes de guerre. Leur refus de rendre des comptes, leur dédain pour la justice internationale, ne font que renforcer le système de domination et d'impunité dans lequel ils évoluent. Un système qui rend le monde de plus en plus inhumain, où l’humanité elle-même semble se dissoudre dans le béton des intérêts géopolitiques et économiques. Parce que, pour détruire l’humanité, il faut d’abord détruire ce qui en fait son cœur battant avec le respect, l’entraide et la solidarité.
Ces valeurs, qui ont permis aux peuples de se relever ensemble, sont désormais attaquées de toutes parts, pour imposer une logique de guerre, de division et de soumission. Dans cet ordre mondial pervers, où tout se joue dans l’ombre des puissances financières et militaires, il ne reste plus aucune place pour la coopération sincère, l’égalité entre les nations, ou la préservation de nos racines humaines. C’est cet ordre là qu’ils défendent et c’est cet ordre là qu’ils cherchent à imposer à chaque coin du monde, coûte que coûte.
Heureusement, Trump, qu’on l’aime ou non, met à jour des vérités que les puissants de ce monde s’efforcent de cacher sous des couches de mensonges et de propagande. En attaquant de front la "science" climatique, il dénonce l’une des plus grandes manipulations géantes jamais orchestrées avec l'idée même d’un "réchauffement climatique" causé par l'homme. Ce mensonge n’est en réalité qu’un levier pour redistribuer les richesses mondiales et concentrer toujours plus de pouvoir entre les mains d’une poignée d’élites. Derrière ce prétendu "combat pour la planète" se cache un mécanisme bien plus sournois avec l’imposition de taxes et de régulations économiques qui, sous le prétexte de sauver la Terre, n’ont pour seul objectif que d'affaiblir les nations souveraines, de réduire leur autonomie et de renforcer la domination des multinationales sur les économies mondiales.
Ce n’est pas un problème environnemental, c’est un problème de pouvoir. Ce soi-disant "réchauffement climatique" (fabriqué par les Chemtrails) est un prétexte pour instaurer une nouvelle dictature mondiale économique, où les peuples sont forcés de payer pour la protection d’une planète qu’on leur vend, tout en détruisant leurs économies, leur souveraineté et leurs cultures. En dénonçant cette arnaque climatique, Trump met à nu ce système de contrôle total, cette pseudo-urgence écologique qui n’a d’autre but que de renforcer les monopoles, d’imposer des politiques suicidaires et de soumettre les nations à des ordres économiques et géopolitiques dictés par des intérêts étrangers.
Et ce n’est pas tout. La manipulation ne se limite pas au climat, mais se poursuit à travers l’industrie pharmaceutique et les réseaux mondiaux de Big Pharma. Là encore, Trump a eu le courage de dénoncer cette collusion entre les gouvernements et les grandes entreprises, qui profitent des crises sanitaires pour accroître leur pouvoir. Tout comme l’arnaque climatique, cette pandémie a servi de test pour étendre la domination des élites et détruire davantage les libertés individuelles, au profit de la dictature technocratique qu’ils veulent imposer à l’ensemble de la planète.
Que l’on soit d’accord avec lui ou non, ce président aura fait plus pour la souveraineté des peuples et la fin des mondialistes en 9 mois que n’importe quel autre leader en 200 ans. Son combat contre ce système mondialiste est sans précédent, et il ne fait que mettre à jour la supercherie qui a nourri les grandes puissances économiques et politiques pendant des décennies. Grâce à lui, un nombre croissant de voix se lèvent contre ce monde qu’ils veulent nous imposer, et ce système de manipulation globale commence enfin à se fissurer.
La Diplomatie moderne est une Arnaque Multilatérale
Trump, qu'on l'approuve ou non, a le mérite de mettre à jour des vérités dérangeantes. Il attaque de front la mascarade de la diplomatie multilatérale et dénonce une ONU qui, loin de défendre la paix et l’égalité, est un instrument de domination entre les mains des puissances mondiales. Derrière les faux discours sur la coopération internationale, ce que l'ONU cache, c'est une guerre des élites contre les peuples. Une guerre menée sous prétexte de "solidarité mondiale" pour effacer les identités nationales, réduire les nations à des vassaux et imposer une hégémonie anglo-américaine sur la planète.
L'Agenda 2030, que l’ONU promeut, n'est qu'une extension de l'agenda du Forum économique mondial (WEF), un projet globaliste qui ne cherche ni à sauver la planète, ni à promouvoir l'équité, mais à consolider un pouvoir technocratique et eugéniste. Ce plan, nourri par des idéologies comme le plan Kalergi, vise à effacer les cultures européennes sous l’effet d’un métissage planifié et à imposer un système où les peuples n’ont plus aucune voix face à une élite mondialiste. Le mythe de la "surpopulation", érigé en dogme, n'est qu'une justification pour une politique de remplacement démographique qui efface des siècles d’histoire et détruit les sociétés.
Ce système mondialiste, dont l’ONU est le bras armé, sert à détruire la souveraineté des peuples en les soumettant à des lois et des régulations imposées depuis les sommets du pouvoir global. Ce n’est pas de la coopération internationale, mais une domination déguisée, une guerre économique, une exploitation systématique. Trump, en dénonçant ces manipulations, fait plus en neuf mois pour la souveraineté des peuples que n’importe quel autre leader en 200 ans. En exposant cette mascarade, il met en lumière les véritables intentions de ceux qui contrôlent ce monde visant à renforcer le pouvoir des multinationales, détruire l’autonomie des États et imposer la loi des oligarques sous prétexte de sauver la planète.
Ce que Trump révèle surtout, c’est un système qui, en prétendant œuvrer pour le bien commun, n’a pour objectif que de rendre le monde plus inhumain, plus autoritaire, et plus soumis. Et ce, au détriment de l’humanité elle-même. Et quand il affirme que l’ONU n’a jamais dépassé le stade des "paroles creuses", il expose une vérité fondamentale car cet ordre mondial a été conçu pour ne jamais véritablement résoudre les problèmes des peuples, mais pour maintenir le statu quo qui profite systématiquement aux plus puissants, aux banquiers et aux vendeurs d’armes. La paix est une illusion entretenue grâce au chaos provoqué par ceux qui souhaitent tout contrôler.
Le Mythe de la Coopération Internationale
L’illusion de la coopération internationale véhiculée par l’ONU repose sur l’idée que les nations doivent se soumettre à ce système qui privilégie les intérêts des puissants au détriment des peuples, de leurs libertés et de leur souveraineté. La réalité, c’est que ce système mondialiste fonctionne selon une logique de domination et d’asservissement. Il n’a jamais été question de résoudre les véritables crises mondiales, qu'il s'agisse du climat, de l’alimentation, de l’accès à l’eau potable, des droits humains ou des guerres, mais bien de maintenir l’ordre d’un système où les grandes puissances militaires et les multinationales continuent de dicter leur loi.
Les luttes pour la prolifération nucléaire, l’incapacité à stopper le génocide en Palestine ou encore la crise des réfugiés ne sont que des symptômes flagrants d'une structure mondiale gangrenée, une caricature d'organisation internationale. Cette soi-disant "communauté des nations" ne répond en aucun cas aux besoins réels des peuples, mais aux caprices géopolitiques et économiques d’une poignée de milliardaires et de puissances impérialistes cachées derrière de grandes nations. L’ONU, loin d’être un rempart contre ces injustices, ne fait qu’empirer les choses, en imposant des solutions purement cosmétiques et totalement déconnectées des causes profondes de ces crises.
Au lieu d’attaquer l’exploitation systématique des ressources naturelles et l’inégalité structurelle imposée par l’impérialisme, la violence et le chantage, l’ONU se contente de réagir avec des promesses creuses et des résolutions qui ne servent qu’à maintenir l'ordre du plus fort. Ces résolutions, d'ailleurs, ne sont rien d’autre que des cache-misères pour masquer l’inaction délibérée et la complicité des grandes puissances qui tirent profit du chaos mondial. La réalité, c'est que l'ONU est une machine à entretenir le statu quo, un outil au service de ceux qui, sous couvert de diplomatie et de multilatéralisme, perpétuent un ordre mondial criminel où l'exploitation des peuples et des ressources est la règle, et non l'exception.
L’Exemple Trump d’un Retour salutaire à la Souveraineté
Les décisions de Trump ne sont en aucun cas de simples coups de tête populistes ; elles sont un rejet pur et simple de cet ordre mondial pourri, une dénonciation brutale d’une élite qui, sous couvert de "cohésion international" et de "solidarité mondiale", impose sa domination économique et culturelle au reste de la planète. En se retirant de l'Organisation mondiale de la Santé, en démantelant des agences comme l’USAID et la Millennium Challenge Corporation, Trump n’a pas seulement porté un coup fatal à l’élite mondialiste, il a remis en cause l'ensemble du système international corrompu. Il a frappé là où ça fait mal, c'est à dire au cœur de la fausse solidarité, qui n’a d’autre but que de maintenir les peuples sous la botte de ceux qui contrôlent l'économie mondiale et les ressources globales.
Mais où sont les voix des pays arabes et musulmans, ces défenseurs autoproclamés de la justice et des droits humains, lorsqu’il s’agit de condamner deux ans de massacres en Palestine ? Où sont leurs protestations face aux atrocités perpétrées contre les Gazaouis ? Où sont les sanctions contre les États européens qui, par leur inaction et leur complicité, sacrifient l'Ukraine sur l'autel de la guerre pour mieux servir leurs intérêts géopolitiques et économiques ? Où sont les responsables de la déforestation massive, de la pollution des océans, de la contamination des terres ? Où sont les coupables de ces crimes écologiques qui détruisent lentement la planète au profit de quelques-uns ? Et, surtout, qui sont les promoteurs du Wokisme, de ce Talmudisme pseudo messianique inhumain, ou de l’impérialisme occidental qui broie tout sur son passage, imposant une vision unique du monde aux peuples qui tentent encore de préserver leur culture et leur autonomie ?
Ce sont les grands groupes financiers, les banques internationales, et les cartels industriels qui financent les guerres, les pénuries, et les massacres à travers le monde, tout en s’enrichissant sur le dos des peuples. Ce sont eux qui créent la dette, qui alimentent les conflits, qui nourrissent cette machine à destruction, et qui imposent une servitude mondiale sous couvert de "progrès" et de "développement". Ces mêmes puissances qui se cachent derrière le rideau de l'ONU, de la Banque mondiale, ou du FMI, et qui, par leur influence, continuent à manipuler la réalité, à étouffer les peuples et à sacrifier des nations entières au nom du capitalisme sauvage et de l’ordre mondial qu’ils cherchent à imposer.
La Vérité Inconfortable
Les Nations Unies et autres institutions multilatérales comme l’OMS, l’OMC, le WEF ou l’OTAN ne sont rien de moins que la plus grande arnaque de notre époque moderne. Obsolètes, déconnectées et désormais totalement inutiles, elles sont devenues des reliques structurellement dévastées, moralement corrompues et intellectuellement nulles. Ces institutions ne servent en aucun cas les peuples, mais bien les intérêts des puissances dominantes qui les contrôlent. Trump, loin d’être un visionnaire isolé, a parfaitement raison de les dénoncer avec tant de véhémence. Au lieu de résoudre les crises mondiales, l'ONU ne fait que les aggraver, devenant le bras armé d’un empire globaliste Anglo-américano-sioniste qui impose sa vision unilatérale du monde.
Sous le masque de la "coopération internationale", ce système impose la loi du plus fort, dérogeant à tout principe d'équité ou de justice. Il écrase les voix des nations souveraines, celles qui osent encore se dresser contre cette tyrannie mondialiste et cherchent à préserver leur indépendance et leurs libertés naturelles. Ces grandes puissances, notamment les États-Unis et leurs alliés, exploitent ces institutions pour justifier leurs interventions militaires, leurs guerres économiques et leurs politiques impérialistes. L’ONU n'est rien de plus qu'un théâtre où ces puissances jouent un rôle humanitaire, tout en écrasant toute forme de résistance et en étouffant les voix des peuples qui tentent encore de vivre selon leurs propres principes et valeurs. Ce n’est pas une organisation de paix, mais un outil de domination pour ceux qui veulent imposer une dictature globale et réduire les nations à de simples vassaux économiques et politiques.
Notre monde n’a plus besoin de cette diplomatie de connivence, cette mascarade où les puissants se donnent des airs de bienfaiteurs tout en écrasant les peuples sous leurs pieds. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un retour brutal à la souveraineté nationale, de nations libres de leurs choix, sans avoir à plier sous le poids de résolutions absurdes dictées par des élites qui, sous le masque de l’humanisme, ne cherchent qu’à maintenir leur mainmise sur les peuples. L’ONU n'est pas une organisation de paix, mais une machine à imposer la loi du plus fort, un outil de manipulation géopolitique au service des grandes puissances. Et Trump, dans sa "sagesse dévastatrice", a le mérite de briser le voile, d’exposer enfin cette supercherie pour ce qu’elle est : une gigantesque arnaque mondiale. Il dévoile au grand jour ce système global qui écrase les nations, anéantit les identités et soumet les peuples à des forces extérieures qu'ils n'ont jamais choisies. C'est une guerre sans pitié menée par ceux qui se croient intouchables, mais ce n’est pas la fin, c’est juste le début de la résistance.
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