ON NE RECOLTE QUE CE QUE L'ON SEME…
"II n'y a qu'une fatalité, celle des peuples qui n'ont plus assez de forces pour se tenir debout et qui se couchent pour mourir. Le destin d'une nation se gagne chaque jour contre les causes internes et externes de destruction." - Charles De Gaulle
La France, cette vieille nation jadis fière de son indépendance et de sa souveraineté, se trouve aujourd'hui dans une agonie lente, mais inéluctable. Ce n'est pas simplement une crise économique qui frappe à la porte, c'est un véritable effondrement structurel, une dégradation systémique qui détruit chaque fibre de notre société. Et pourtant, au lieu d'agir, nous sombrons dans un déni stupéfiant, une cécité collective qui fait plus mal encore que la douleur de la chute elle-même.
Plongé dans une crise économique et politique profonde, le pays semble aujourd'hui courir vers une chute inévitable, une spirale dont les conséquences seront aussi brutales que douloureuses. Nous assistons à une asphyxie généralisée, où chaque mesure prise par un gouvernement aveugle, voire complice de forces invisibles, nous pousse un peu plus près du précipice. Cette crise ne se limite pas à des chiffres ou à des déclarations économiques mais incarne bien un processus profond de dégradation et de soumission. L'enchevêtrement de la dette, l’alourdissement des impôts et l’absence de véritable contestation populaire font qu’il ne s’agit pas d’un accident, mais bien d'une stratégie délibérée, dont les conséquences ne manqueront pas de se faire ressentir dans chaque recoin de la société.
Le pays, paralysé par un tourbillon de peurs fabriquées et de mensonges savamment entretenus, s’est laissé enfermer dans un piège dont il ne pourra sortir que par le chaos. La dette, ce monstre fabriqué de toutes pièces, nous est brandie comme une fatalité avec la hausse des impôts, la réduction des services publics, l’austérité, etc… et tout cela est justifié par ce fardeau prétendument inévitable. Mais derrière ce discours, se cache une manipulation systématique de nos gouvernants corrompus.
La France n’est pas au bord du défaut de paiement. Non, c’est bien plus grave, car nous sommes au bord de la soumission totale, non pas à la logique économique, mais à une élite financière qui a parfaitement compris qu'en maintenant la population dans une peur irrationnelle de la faillite, elle pourra imposer tout ce qu'elle veut. Cette "crise de la dette" est avant tout un outil de contrôle, une arme psychologique pour préparer l’opinion à accepter des sacrifices colossaux et des transferts de richesses massifs.
Une dette pire que la guillotine
Ce n’est pas la dette orchestrée par nos élus qui nous étrangle le plus, c’est la dette des autres, celle qui enrichit les grandes banques, les multinationales et les familles comme Rothschild, qui, depuis des décennies, sont les véritables maîtres du pays. Macron n’est qu’un pion, une marionnette de cette oligarchie financière, un produit d’une école où les intérêts de la finance sont élevés au rang de dogme. Et pourtant, ce même Macron ose se draper dans l’arrogance de ses réformes à la condescendance insupportable, transformant des lois qui détruisent le pays en des "réformes nécessaires", comme si tout cela était un mal pour un bien. Mais le mal est là, bien réel et tous les foyers sont écrasés sous des taxes toujours plus lourdes, les services publics sont démantelés et les citoyens deviennent des esclaves modernes, prisonniers d’un système économique uniquement conçu pour les broyer.
Et pendant que le peuple trime, que le prolétariat se débat dans la précarité, que les jeunes ne voient devant eux que l’ombre de la pauvreté et de la désillusion, les élites, elles, se goinfrent comme jamais. Leurs retraites dorées, leurs salaires indécents et leurs privilèges de plus en plus obscènes ne cessent d’augmenter, tandis que l’argent public est siphonné par une classe dirigeante déconnectée de la réalité, protégée par des lois qu’ils s’emploient à rendre de plus en plus opaques. La dette est le leurre, l’arbre qui cache la forêt d’une corruption systématique qui pervertit l'État et l'empêche de remplir son rôle de garant de l’intérêt général.
Rothschild à la manœuvre
La mascarade actuelle, où la souveraineté de la France semble désormais une illusion, trouve ses racines dans un événement majeur, passé sous silence par la plupart des observateurs lors du vote de la loi du 3 janvier 1973. Ce jour-là, le gouvernement de Georges Pompidou, ancien banquier chez Rothschild, a imposé une législation qui a marqué un tournant décisif dans l’histoire économique du pays. Cette loi, loin d’être une simple réforme technique, a octroyé aux banques privées, dont la banque Rothschild, un pouvoir exorbitant sur l'émission monétaire de la France, en privant l'État de la possibilité de financer directement ses investissements sans passer par l'intermédiaire des créanciers privés.
Ce fut une strangulation délibérée de la souveraineté nationale, ouvrant la voie à l'endettement public colossal qui va plomber les générations futures. En permettant à une poignée de banques d'imposer leurs conditions à l'État, Pompidou a confié, en toute connaissance de cause, les clés du royaume à la haute finance, rendant le pays prisonnier de la dette. Et si le coup d'État financier n’était pas suffisant, François Mitterrand, sous couvert de socialisme, a achevé l’œuvre en 1982 en sauvant la banque Rothschild de la faillite, dans ce qui fut présenté comme une "nationalisation" mais qui n’était en réalité qu’une injection massive de fonds publics pour renforcer l’emprise de cette banque sur le destin politique du pays.
Ce n'était pas une nationalisation, c’était un cadeau empoisonné, un transfert massif d’argent public au profit d’une dynastie qui ne cesse d’influencer, en toute opacité, les décisions qui gouvernent le pays. Depuis, Rothschild a placé ses pions partout, s’infiltrant dans chaque recoin du pouvoir, des ministères aux banques centrales, des réformes budgétaires à la gestion des privatisations. Et depuis lors, cette banque, au passé sombre et chargé de compromissions, est devenue le véritable maître du jeu en France, dictant sa politique économique à travers une dette qui ne cesse de croître, avec pour seul objectif d’enrichir une oligarchie de financiers, tout en écrasant la nation sous le poids d’une dépendance financière insoutenable. Les véritables maîtres du pays sont là, avec des financiers qui contrôlent tout, de la monnaie à la politique étrangère. Le véritable pouvoir n'est plus à l'Élysée, il est dans les salons feutrés des grandes banques, dans les conférences où l’argent dicte les lois.
Un peuple vivant dans le déni et la dissonance cognitive
Le peuple, lui, est réduit à une masse docile, prête à tout accepter, par peur de ce qu’il ne comprend pas. Nous avons traversé des décennies de soumission, où la crainte d’un effondrement économique a paralysé l'esprit critique de toute une nation. Les Français ont accepté tout et n’importe quoi, les réformes les plus brutales, les plus injustes, les plus inhumaines, en échange de promesses futiles et de boucs émissaires. Les "réformes" n'ont fait qu’enfoncer le pays un peu plus profondément dans la misère, tandis que ceux qui ont orchestré cette descente aux enfers se sont protégés derrière des lois et des protections quasi-immunes. Chaque réformette est une nouvelle entaille dans le corps de la nation, chaque mesure est une victoire des élites et une défaite cinglante pour les citoyens.
Cette situation n’est pas un accident et ce n’est pas un hasard si les petites entreprises ferment les unes après les autres, étouffées sous des frais bancaires de plus en plus absurdes, sous des crédits à des taux usuraires. Les banques, ces prétendues institutions au service de l’économie, sont devenues des prédateurs, vivant sur le dos des plus vulnérables. Chaque incident bancaire, chaque agio, chaque frais abusif est conçu pour vider les poches des artisans, des commerçants, pour les obliger à déposer le bilan. Et c’est une stratégie ! Un système économique conçu pour détruire l’économie réelle et concentrer toujours plus de richesses entre les mains des plus puissants. Quand une petite entreprise ferme, ce n’est pas un malheur isolé, c’est un maillon de plus dans cette chaîne de destruction méthodique de toute une classe moyenne, d’une économie qui n’existe plus que pour servir les intérêts des grands groupes financiers.
Un plan bien rodé
Et pendant que le peuple se débat dans cette merde économique, pendant que les rues se remplissent de misère, les élites, elles, continuent de jouer leurs jeux, avec une indifférence glaciale. Ces faiseurs de politiques n’ont aucune légitimité populaire. Macron, incarnation parfaite de cette caste, ne fait qu’incarner cette dérive où le pouvoir n’est plus à l’État, mais dans les mains de quelques banques et multinationales. Sous le masque d’un gouvernement "réformateur", se cache la réalité d’une dictature des marchés, qui écrase tout sur son passage pour servir des intérêts étrangers. La France n’est plus un État souverain, elle est une entreprise privée, gérée comme une PME ou (une Start-up !) par des financiers avides et sans scrupules.
D’ailleurs, les querelles incessantes entre figures souverainistes françaises ne sont pas seulement le reflet de rivalités personnelles ou d'ambitions mal orientées, elles traduisent avant tout une faiblesse structurelle qui nourrit, inlassablement, la domination de l’Union Européenne, de l’OTAN et des élites mondialistes. Plutôt que de s’unir dans une démarche commune, les leaders patriotes se contentent de se neutraliser les uns les autres dans une danse de clashs et de candidatures isolées, aussi vainement dispersées qu'incohérentes.
Chaque élection présidentielle devient un théâtre d’affrontements internes où l’on ne se bat pas contre l’oligarchie, mais pour l’égo de chacun. Cette fragmentation, qui aurait pu être un simple épiphénomène, devient aujourd'hui un mécanisme redoutable au service de l'ordre établi. Le souverainisme se transforme ainsi en impasse politique, incapable de dépasser la barre symbolique du 1%, figé dans l’auto-sabotage de ses propres ambitions.
Ce blocage interne profite magistralement aux mondialistes et à l'appareil bruxellois. Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces derniers n’ont même plus besoin d’écraser le camp souverainiste puisqu’il s’auto-démolit à chaque élection, par une division qui semble devenue irréversible. Chaque figure patriote, dans son désir d’imposer sa propre légitimité, alimente une compétition stérile, qui aligne les résultats électoraux sur l’échec systématique. En l'absence d’une véritable réponse politique, l’instabilité s’intensifie, et avec elle, la possibilité d’un soulèvement populaire.
Les médias, eux, servent de caisse de résonance à cette guerre fratricide, donnant un écho disproportionné à ces divisions pour en renforcer la perception et discréditer toute alternative crédible. L’Histoire, cependant, nous enseigne que la reconquête politique ne se fait pas dans la dispersion. La Russie de Poutine, l’Amérique de Trump, sont des exemples qui montrent qu’un mouvement enraciné et uni, capable de fédérer des forces diverses autour d’un projet souverain, peut faire trembler les fondations du mondialisme.
Mais la France, elle, semble en incapacité de sortir de son propre piège d’une division inévitable, alimentée par des ego gonflés et dans l'inaptitude à dépasser le jeu individuel. Tant que cela persistera, le souverainisme français restera un courant marginal, malgré une attente populaire immense pour une nation libre et indépendante. Or, la question n'est pas de savoir si ces leaders sont sincères, mais bien si l’union de leurs forces est possible avant que la France ne disparaisse dans les limbes du globalisme ?
Des agents du chaos sur tous les sites d’informations
De plus, les commentateurs de canapés, ces pseudo-spécialistes du quotidien et de la vérité, se déchaînent systématiquement contre ceux qui tentent d'ouvrir les yeux à la population. Dès qu'un auteur indépendant, une voix dissonante, ose s'aventurer hors des sentiers battus, il est aussitôt pris pour cible par une armée de trolls et d'agents infiltrés, souvent bien plus nombreux que les défenseurs de la France elle-même. Que ce soit sur les sites de réinformation, censés incarner une alternative, ou à travers les vidéos TikTok et les commentaires en ligne, le message est toujours le même, visant a étouffer la vérité, masquer la réalité, ériger des faux prophètes comme sentinelles de la pensée unique. Ce barrage de critiques, de désinformation et d'attaques systématiques est orchestré pour maintenir les masses dans un état de soumission mentale et d’ignorance collective.
Et dans ce brouhaha incessant d’inutiles trolls, une inquiétante vérité émerge faisant que même parmi les plus aguerris des défenseurs de la souveraineté française, une question dévastatrice commence à prendre forme. Car l’incapacité du peuple à se réveiller, sa soumission volontaire aux manipulations du système, sa complaisance envers leurs bourreaux risque de finir par rendre leur engagement obsolète.
Après tout, si l’on n’est même pas capable de se défendre contre un tel flot d’oppression intellectuelle, ne vaut-il pas mieux tout laisser couler, abandonner ce pays et sa population qui, en fin de compte, semble condamnée à subir le sort qu’elle mérite par son inaction ? La vérité est cruelle, mais elle s’impose puisqu’on récolte ce que l’on sème. Et si la France se laisse engloutir, peut-être est-ce le prix qu’elle doit finalement payer pour avoir ignoré les avertissements trop longtemps.
Le problème se nomme "Union Européenne"
Mais ce ne sont pas uniquement les défaillances internes qui nous conduisent vers le chaos. L’isolement géopolitique de la France, son implication dans des conflits qu’elle ne contrôle pas, et sa soumission aux injonctions de l’Union Européenne et de l’OTAN, exacerbent la crise. La guerre en Ukraine, dont les conséquences s’étendent bien au-delà de ses frontières, fragilise davantage le pays, envenimant les divisions sociales et culturelles. Le peuple français, déjà mis à mal par des politiques économiques désastreuses, se retrouve pris dans un piège d’un pouvoir européen autoritaire qui impose la guerre et l’austérité au nom de la sécurité.
Car aujourd'hui, l’UE, loin d’être la solution, est un autre maillon visible de cette chaîne d’oppression. Sous prétexte de stabilité, de sécurité et de croissance, qui n’ont jamais vu le jour, cette "union" est devenue un carcan, une machine autoritaire qui écrase les peuples sous le poids de sanctions absurdes, de guerres injustifiées et de réformes imposées. Ursula Von der "La hyène", en prônant la fin du "carcan de l’unanimité", signe la fin de la souveraineté des nations et la victoire de l’oligarchie supranationale. L’Union Européenne n’est plus un projet de coopération, c’est un projet d’asservissement, où les peuples sont réduits au silence, muselés par des lois dictées de Bruxelles, sous l’œil vigilant de l’OTAN.
Tandis que l’Union Européenne, sous la houlette de Washington, s’engage dans une fuite en avant autoritaire, les pays du bloc multipolaire, tels que la Russie et la Chine, construisent une alternative fondée sur la souveraineté. La fracture est nette. L’UE, dans sa quête de soumission à l’impérialisme américain, semble condamner ses peuples à un avenir de guerre, de répression et de dépendance. Le monde bascule et, loin de s’en sortir indemne, la France se retrouve, elle aussi, dans l’œil du cyclone.
Le dénouement est proche
Mais à l’intérieur de ce système dément, il existe pourtant encore un peuple, une humanité qui commence à se réveiller, à comprendre qu’il n’est plus maître de son destin. Certes, les Français, dans leur très grande majorité, continuent de se résigner, de subir, mais cette résignation pourrait bien atteindre ses limites lorsque les frigos seront vides. Partout ailleurs, la contestation grandissante continue de se faire anesthésier par des médias qui servent de simples porte-paroles au pouvoir en place. Pourtant, les signes sont là et la fracture est évidente. On peut rêver en pensant que plus d’un million de Français ont signé un référendum contre l’immigration lancé par Philippe de Villiers, un signe notable que la colère populaire est à son comble. Mais pourtant cela reste une goutte d’eau dans cet océan de dépravation et de décadence. Et si l'on ne fait rien, si l’on continue de détourner le regard, cette révolte que nous attendons tous ne viendra pas nous sauver mais nous achever. Elle est déjà là, à nos portes !
La solution népalaise ?
Cependant, en septembre 2025, le Népal a vécu une révolte fulgurante, un soulèvement express qui a déstabilisé un gouvernement jugé corrompu et illégitime. En moins de 48 heures, la jeunesse népalaise, connectée et alimentée par une colère profonde, a fait tomber le pouvoir en place. Le prétexte immédiat fut l’interdiction brutale de 26 réseaux sociaux, perçue comme une attaque frontale contre la liberté d’expression. Mais sous cet incident apparemment anodin se cachaient des causes bien plus profondes avec un chômage des jeunes dépassant les 20%, un exode massif de 2 000 personnes par jour, une élite politique vérolée par le népotisme, et une instabilité chronique qui se traduisait par un changement constant de gouvernements - à l'instar de la France...
Cette "révolution Gen Z", comme on l’a appelée, a fait voler en éclats un système verrouillé, révélant une génération népalaise moins avachie que celle européenne et prête à balayer tout ce qui l'empêchait de respirer. Pourtant, une question persiste pour savoir si cette révolte a-t-elle été l’expression d’un mouvement populaire véritablement spontané, ou n’a-t-elle pas été instrumentalisée par des forces extérieures, comme tant d’autres révolutions de couleur ?
Mais le parallèle avec la France est inévitable. Les jeunes Français, eux aussi, sont les témoins passifs d’une génération sacrifiée, privée d’avenir sous un régime qui n’a de cesse de favoriser une caste dirigeante déconnectée des réalités du pays. Ajoutez à cela une répression policière renforcée, un verrouillage systématique de la parole, et vous obtenez une société prête à exploser. Or, le peuple, reste résolument inerte.
Comme au Népal, l'irréversibilité du processus est déjà en marche. À force de fermer toutes les issues et de ne laisser aucune alternative politique crédible à un peuple fatigué de la dictature des élites, la France se rapproche dangereusement d’une situation de rupture. La révolte, ici, aussi, est désormais inévitable. Et, tout comme au Népal, le piège dans lequel les gouvernants veulent enfermer la population pourrait bien se refermer contre eux, et cette fois, plus aucune répression ne pourra étouffer le souffle d’un peuple en quête de liberté.
La chute de la France est désormais inévitable, et bientôt, nous récolterons ce que nous avons semé. Tout cela n’est pas une fatalité, mais une conséquence de notre aveuglement collectif. Quand l'injustice est trop grande, quand l’humiliation est trop lourde, la révolte devient inévitable. Et, dans ce cas, elle sera aussi brutale que légitime. Le déni et l’inertie auront des conséquences dramatiques car la faillite économique que nous connaissons n’est que le prélude à un chaos social qui, inéluctablement, emportera tout sur son passage.
Et personne ne sera à l’abri !
Phil BROQ.
Excellent comme d'ordinaire. Bravo🫣
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