CENSURE ET TYRANNIE DES RÉSEAUX POUR PROTÉGER LES ÉLITES DE LEURS CRIMES

Dans le monde moderne, les réseaux sociaux sont devenus l’une des principales plateformes pour la liberté d’expression et la diffusion d’informations. Cependant, il semble que cette liberté soit de plus en plus menacée par une tentative de censure omniprésente, orchestrée non seulement par les grandes entreprises technologiques comme les GAFAM, mais aussi par des politiciens et de nombreuses institutions internationales. 

Derrière ce masque de la "protection de la démocratie" et de la "lutte contre la désinformation", se cache une réalité bien plus sombre dont l’objectif des "Zélites" est de maintenir leur pouvoir, de dissimuler leurs méfaits et d’étouffer la vérité qui pourrait les exposer au grand jour. Ce phénomène n'est pas un simple excès de zèle bureaucratique mais bien une tentative systématique d’empêcher l’émergence des faits, de la vérité, de piétiner la justice et surtout de contrôler le discours public.

Les récentes déclarations de figures politiques comme Thierry Breton, Commissaire européen de nationalité Sénégalaise (Sic), ne font qu’attiser ces inquiétudes. Celui-ci a ouvertement avoué que l'Union Européenne avait annulé des élections en Roumanie et qu’elle n’hésiterait pas à en faire autant en Allemagne si l’Alternative Für Deutschland (AFD) venait à remporter des suffrages. Ce genre de déclarations soulève des interrogations fondamentales sur l’état de la démocratie au sein de l’Union Européenne. En effet, si de telles manœuvres sont possibles au cœur même de l’Europe, qu'en est-il de la liberté d'expression et des droits fondamentaux dans cette union devenue mafieuse, censée défendre les principes démocratiques alors qu'ils utilisent la censure comme instrument de pouvoir ?

Avant de se lancer dans une analyse plus approfondie des politiques de censure mises en oeuvre actuellement, il est nécessaire de revenir sur le parcours de Thierry Breton, un homme au centre des décisions cruciales de l'Union Européenne qui a obtenu la nationalité sénégalaise en 2015 afin d'échapper à l'impôt en France. Cependant, le Sénégal n’est pas actuellement membre de l’UE et ne fait pas partie des pays candidats à l’adhésion. Car pour qu’un Sénégalais puisse devenir Commissaire européen, le Sénégal devrait d’abord adhérer à l’Union Européenne. Alors comment cet homme sans scrupules, mais pétri de corruption, se permet-il de percevoir des rémunérations issues de nos impôts et de faire sa politique sur notre continent ?  

Cet ancien Ministre de l'Économie et actuel Commissaire européen, incarne à lui seul l’image d'un exemple typique et écœurant de corruption et de conflits d’intérêts doublé d’un homme d’affaires véreux qui a contribué à la déstabilisation d’industries stratégiques françaises. Son passage à la tête de grandes entreprises comme Bull, France Télécom et Atos a été marqué par des décisions désastreuses, allant du pillage de sociétés à la gestion brutale de ressources humaines. Les conséquences de ses politiques ont été dramatiques pour des milliers de familles, comme en témoigne le nombre de suicides liés à sa gestion à France Télécom. Ou comment le fleuron industriel français Atos, pourtant éminemment stratégiques pour la souveraineté numérique française, ou du moins ce qu’il en reste, a été ruiné par des acquisitions hasardeuses sous la direction de Thierry Breton. Mais au-delà de son échec dans le secteur privé, c’est son rôle à la Commission européenne qui devient le plus préoccupant. Breton, tout en étant responsable de la régulation des grandes entreprises numériques, se trouve dans une position où il peut influer sur la politique de censure en ligne grâce au DSA qui vise à réguler les contenus illicites et préjudiciables, comme les contenus haineux, pédopornographiques, terroristes et les produits illicites proposés en ligne. Or, la notion de "contenu illicite" est indéterminée et sa définition peut varier, ce qui conduit à des interprétations restrictives de la liberté d’expression dès lors que ces contenus dévoilent les magouilles de ces gouvernants. Il impose des obligations spécifiques aux très grandes plateformes en ligne et moteurs de recherche. Les déclarations récentes de Breton, notamment sur le contrôle des élections en Roumanie et en Allemagne, révèlent cette inquiétante volonté de manipulation politique et de se protéger de l'émergence de la vérité. Il est devenu évident que cet homme, avec ses liens et ses antécédents, ne peut pas être considéré ni comme un défenseur de la démocratie, ni même comme un homme à la probité irréprochable. Il n'est qu'un truand, encore protégé par des élites aussi corrompue que lui, sinon plus.

C'est la raison pour laquelle ces mesures de censure des réseaux sociaux prennent la forme acceptable de lois visant à "protéger la démocratie" ou à "lutter contre la haine et la désinformation". Or, la démocratie n'est qu'une farce masquant la tyrannie de cette caste, et la seule haine qu'ils veulent éviter est celle des peuples à leur encontre, dès lors que leurs méfaits sont affichés sur internet. Pourtant, sous ce vernis de bonnes intentions qui hypnotisent encore une part non négligeable d'individus, se cache une véritable stratégie tyrannique de contrôle technologique et donc une mise en esclavage de tous. 

Les autorités européennes, soutenues par des figures comme Ursula Von der Leyen, devenue la présidente de la Commission européenne sans jamais être élue, après avoir été chassée du poste de Ministre de la défense allemande pour corruption, œuvrent perpétuellement pour limiter la liberté d’expression et étouffer toute voix dissidente. Lors du Forum Economique Mondial, "Wonder la hyène" a révélé des plans pour réguler les plateformes numériques, affirmant que celles-ci constituaient un "immense pouvoir", celui de la vérité, qu’il convenait de contenir. Selon elle, ce pouvoir est une menace pour leur "démon-cratie", dont ils bafouent les principes premiers chaque jour, car il permettrait la diffusion de discours de haine et de fausses informations. 

Mais si l’on regarde de plus près, on comprend que cette inquiétude n’est qu’une façade de plus. Car l’objectif réel est d’empêcher les informations gênantes pour les élites de circuler, de museler les lanceurs d'alerte et de limiter les débats publics sur des sujets sensibles, notamment les scandales de pédophilie, de corruption active, de malversations financières, de crises sanitaires ou alimentaires orchestrées ou encore de dissimulation d’abus manifeste de pouvoir. La censure du Net, loin d’être un outil de protection, devient surtout un moyen d’imposer un narratif officiel biaisé, tout en réprimant violemment ceux qui tentent d’ouvrir les yeux du public sur les dérives de ce système.

L’Union Européenne, qui ose se présenter comme un modèle de démocratie et de coopération entre les nations, est donc aujourd’hui un terrain très propice aux manipulations politiques, sanitaires et à la corruption dans tous ces états menée par cette bande de mafieux non élus. Si l’on accepte que des institutions européennes puissent annuler des élections, censurer les informations, interdire les réseaux sociaux, alors on remet en question les fondements mêmes de la démocratie sur laquelle s'appuient ces malfaisants pour régner en maitres absolus. C'est donc bien une tyrannie déguisée en démocratie qui nous fait la guerre ! 

La tyrannie évoluerait à partir du caractère même d’une démocratie libérale parce que, dès le début, il y a un ver dans le fruit : la liberté et l’égalité ne se mélangent pas, elles s’excluent pratiquement. L’égalité n’existe pas dans la nature et ne peut donc être établie que par la force. Leurs ancêtres ont exploité le peuple en prétendant qu’ils gouvernaient par la grâce de Dieu, mais les dirigeants actuels font beaucoup mieux, ils exploitent le peuple au nom du progrès. 

Les dirigeants européens actuels reprennent, le sachant ou non, le discours de l’Union soviétique par rapport aux pays de l’Est en 1968 lors de l’intervention du pacte de Varsovie à Prague : la fameuse théorie de la "souveraineté limitée" qui avait été édictée par Leonid Brejnev. Le passe-temps populaire des démocraties modernes – punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers –  est cultivé via l’État.

Autre exemple, une déclaration de Jean-Claude Juncker, le successeur de l’ineffable José Manuel Barroso à la tête de la Commission européenne : "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens". Souvenez-vous qu'en 2015, lors des élections en Grèce, le parti Syriza a remporté la victoire, mais a ensuite été confronté à des pressions jusqu'à la ruine du pays de la part de l’Union Européenne pour faire respecter des traités ignobles, ce qui a été une violation de la souveraineté du peuple grec. Et il ne faut pas confondre "légalité" et "légitimité"… En quelques mots, tout était dit.

La Commission européenne, loin de défendre la souveraineté des peuples, préfère donc maintenir une emprise autoritaire sur les États membres, imposant des politiques qui ne correspondent jamais aux volontés populaires mais favorisent une mise à sac du continent par des oligarques fous.  

En France, l’élite politique, représentée par des figures comme Macron, suit parfaitement cette tendance. Et l’argument selon lequel les réseaux sociaux doivent être censurés n’est en réalité qu’une manière de museler toute forme de contestation à l'encontre de ces traîtres à notre nation. En dissimulant les vérités qui dérangent, les responsables politiques espèrent maintenir leur pouvoir intact et empêcher l’émergence de scandales qui pourraient les mettre en difficulté, sinon devant un peloton d'exécution si l'armée remplissait ses fonctions premières d'éliminer les ennemis du pays. 

Ainsi, ces bandes organisées de tueurs et d'esclavagistes envisagent un gouvernement "démon-cratique" dans lequel presque toutes les affaires humaines seraient réglementées par un gouvernement de surveillance déterminé, sous lequel les citoyens pratiqueraient leur quête du bonheur comme des animaux craintifs tenus en laisse et muselière, perdant toute initiative et toute liberté. Même au temps des empereurs romains, durant leur déclin, pouvaient diriger de temps à autres leur colère contre des individus, mais en aucun cas, sous leur règne, il était question de contrôler toutes formes de vie et d'expression !

Aujourd'hui, les lanceurs d'alerte, ces courageux individus qui osent dénoncer les abus de pouvoir, sont souvent la cible principale de ces politiques de censure. On se souvient d'Assange, de Snowden et plus récemment de Fuellmich, encore emprisonné en Allemagne pour empêcher l'émergence de la vérité sur le scandale sanitaire du Covid-19. Et on découvre, dans des affaires comme celle des viols collectifs de milliers de très jeunes filles britanniques par des pakistanais, ou des manœuvres politiques en faveur de la mondialisation, que la vérité a systématiquement été étouffée par les autorités en place. Les médias traditionnels, aussi corrompus qu'en France, qui devraient jouer leur rôle de contre-pouvoir, sont tous complices de cette dissimulation et de cette propagande, en préférant eux aussi systématiquement, protéger les responsables plutôt que de faire leur travail et d’informer le public. Leur tyrannie "démon-cratique", évolue donc en catimini comme une corruption lente et subtile, mais conduisant au contrôle total de l’État vers la forme la plus moderne d’esclavage.

L'exemple frappant de ce scandale des viols collectifs à Oldham (Angleterre) a été volontairement ignoré par les autorités et les médias, sous prétexte qu’il ne fallait pas "diviser" la société. Les lanceurs d'alerte qui ont tentés de faire éclater la vérité ont été qualifiés de racistes et d’extrémistes, une étiquette qui sert à les discréditer et à faire taire les voix dissidentes. On se souvient des "complotistes", mais qui ont raison sur toute la ligne, pour le mensonge de la pandémie par exemple. Dans un tel contexte, il est évident que la censure n'est pas une simple question de régulation, mais un outil pour étouffer la vérité et maintenir au pouvoir un groupe de malfaisants notoires qu'il va être nécessaire d'éliminer...

Les journalistes sont complices de cette dissimulation en évitant de relier les points et en minimisant les faits. Cette forme de censure se manifeste non seulement dans la presse, mais aussi dans le système judiciaire, où des responsables comme Keir Starmer (devenu étonnement 1er Ministre du gouvernement britannique récemment) ont joué un rôle clé dans la protection des agresseurs en fermant les yeux sur les preuves et en menaçant les victimes.

Cet exemple montre bien que la censure ne se limite pas aux réseaux sociaux, mais s’étend à tous les domaines de la société. La vérité est étouffée à travers tous les canaux de communication, de la presse aux tribunaux, en passant par les institutions politiques. Les lanceurs d'alerte, comme ceux qui ont tentés de révéler les crimes de Jimmy Savile (toujours en Angleterre), sont réduits au silence sous pression des autorités et des puissants.

Mais la censure des réseaux sociaux ne se fait pas seulement sous l’impulsion des gouvernements pilotés par le WEF. Elle est aussi soutenue par des entreprises privées, notamment les géants du numérique, qui exercent une pression croissante sur les plateformes pour qu’elles modèrent plus sévèrement les contenus populaires, tout en hébergeant 80% des sites pédophiles comme le fait Free. Ces entreprises ont des intérêts économiques et politiques bien précis, souvent pilotés par l'armée US, la CIA et le Mossad. Elles sont, pour la plupart, liées à des groupes d'influence qui protègent et favorisent cette élite mondiale et globaliste, comme le Forum Economique Mondial, dont les objectifs avoués sont de contrôler les nations et d’imposer des politiques économiques et sociales malthusiennes, eugénistes, tyranniques. Bref, néfastes pour tous les individus.

Les grandes entreprises de médias sociaux, telles que Google, Facebook, Twitter (avant son acquisition par Elon Musk), Telegram et YouTube, sont devenues des instruments de surveillance et de censure. Sous couvert de lutter contre les "fake news" et les discours de haine, elles suppriment des contenus critiques envers les gouvernements ou les multinationales qui les financent. Les politiques mises en place par ces entreprises servent donc des intérêts privés et des objectifs politiques globaux, au détriment de la liberté d’expression et de la vérité.

Face à cette montée en puissance de la censure et de l’autoritarisme, dirigé d'une main de fer par une caste mafieuse devenue incontrôlable, il est crucial que les individus prennent conscience de la situation et se battent réellement, c'est à dire physiquement pour la liberté d’expression et la vérité. La censure des réseaux sociaux n'est qu'une facette d'un problème beaucoup plus vaste de la manipulation du pouvoir par les élites pour protéger leurs intérêts, éviter que leurs crimes ne soient exposés et que la justice populaire fasse son oeuvre. Les lanceurs d'alerte, les journalistes indépendants et les citoyens engagés doivent résister à cette tentative de musellement et exiger justice. Mais sans le l'éveil et le soutien des peuples, c'est peine perdue.

La démocratie, telle que nous la connaissions ou l'imaginons, est aujourd'hui en grand péril. La censure, loin de protéger la société, ne sert qu'à contrôler l’information et à empêcher l’émergence de vérités dérangeantes pour ces pseudo-élites déconnectées et se vautrant dans l'impunité. 

Si nous ne réagissons pas maintenant, nous risquons de perdre à jamais notre liberté d'expression et de vivre dans un monde où la vérité comme la liberté seront réservées à ceux qui détiennent le pouvoir.

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé






Commentaires

  1. Maintenant je vous demande: Que proposez-vous de concret pour nous nous "ré-unir"et vaincre les monstres? Sachant qu'il n'y aura aucun homme providentiel ni miracle. Les temps des croyances et des légendes béatificatrices oniriques sont révolus. La réalité, ou de moins ce qui en tient lieu, nous fait face avec ses mâchoires d'acier bourrées de composants électroniques ... Toutes les assemblées citoyennes ont échoué lamentablement ces 6 dernières années parce que chacun cherchait à tirer la couverture à soi, à vendre sa recette personnelle sans vraiment se soucier de la collectivité

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    1. Je vous propose de lire mes billets précédents, de cesser de demander aux autres quoi faire pour vous et vous sortir les doigts pour mener votre propre vie , librement, comme vous l'entendez ! Comme on dit : il faut commencer par balayer devant sa porte pour avoir une rue propre ! Je ne vois pas l'utilité de se regrouper si c'est pour être au milieu d'un troupeau de cons. Certes cela ne laisse que 2 à 3% d'individus encore aptes à vivre libres, mais a-t-on vraiment besoin des autres dans ce cas ? Regardez les, il y en a qui remettent déjà des masques… Ce n'est pas la masse qui fait les changements mais le courage et l'intelligence. Et que ceux qui n'ont ni l'un ni l'autre disparaissent enfin… les seuls monstres que je vois sont ceux qui vivent à genoux en demandant de l'aide aux autres.

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    2. J'ai bien lu vos articles, que j'apprécie par ailleurs et même si nos conceptions politiques diffèrent, cela ne me gêne aucunement, au contraire puisque vous vous prêchez sur les lieux du bien commun, d'une révolution la plus bénéfique et pacifique possible. Je ne vous demandais pas une solution pour moi-même, vous m'avez mal compris. Je cherchais seulement à savoir quelle voie concrète est la vôtre, en dehors de l'introspection, la pensée critique et de l'écriture ... Et plus précisément, comment dépasser le stade forcément toujours redondant du discours. Pour ma part, puisque vous semblez croire que je ne fais que me promener "au milieu d'un troupeau de cons" depuis bien longtemps je m'engage sporadiquement, selon les urgences en cours, dans des processus alternatifs bénévoles de reconstructions, d'événements subversifs (situations selon Debord), d'apprentissages et d'autogestion (dans le meilleur des pratiques anarchistes malheureusement tellement décriées et délaissées par ceux-là même qui s'en réclament) et d'aides sociales au niveau local. Je fais, poétiquement, énergiquement, pragmatiquement et à ma manière tout mon possible pour "habiter ce monde" en y semant les graines (je suis aussi herboriste et jardinier) de solidarité et de générosité qui font tellement défaut dans une société gangrenée par le chacun pour soi. Je vous salue bien fraternellement.

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    3. Alors, en premier lieu, je ne pensais pas que vous vous promeniez dans ce troupeau justement ! Et sinon, de façon pratique, je marche tous les jours ( j'habite dans un village de montagne), je fais des pompes et des abdos, je profite de la nature et cueille des plantes selon les saisons pour faire des macérats et teintures mères, j'étudie beaucoup sur les livres aussi. Je soigne mon entourage en tant que guérisseur-magnétiseur ( ici on dit rebouteux), je fais mon jardin aussi (bien qu'en ce moment, tout soit au repos!), je fais des soirées "ré-information" auprès de groupes dans des cafés littéraires 2 fois par mois, je m'occupe de ma mère âgée et de ses amies pour leur permettre d'aller mieux au quotidien. Mais en ce qui concerne les troupeaux j'ai depuis longtemps abandonné mes illusions et me concentre au cas par cas pour apporter des solutions à chacun, selon ses besoins et demandes. En somme, j'essaie d'avoir une vie saine et bien remplie qui me permet de bien dormir la nuit, car chaque jour est un nouveau défi. ! L'écriture du blog n'est qu'un exutoire qui permet aussi de tenter d'éveiller certains et éventuellement de promouvoir mes livres. bien à vous !

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  2. Tout à fait d’accord c’est en changeant déjà soi même et donner l’exemple que d’autres feront de même en attendant vivons notre vie pleinement seul ou avec ceux que l’on aime "carpe diem"

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