L'ETAT DE DROIT N'EST QU'UNE ILLUSION !
Dans un monde où l’apparence masque la réalité, la République française, prétendant incarner l'État de droit, dissimule sous des apparences légales une série de dysfonctionnements et d'illégalités qui affaiblissent profondément ses institutions et détruisent nos vies. La façade républicaine s’effrite sous le poids des contradictions institutionnelles et des abus de pouvoir qui favorisent une élite au détriment du peuple. Les lois sont souvent invalides, les jugements arbitraires, et les libertés fondamentales sont régulièrement bafouées, tout en étant couvertes par un système médiatique contrôlé, une violence policière systématique et une justice inexistante. Les principes de liberté, d'égalité et de justice, autrefois moteurs d'un véritable progrès social, sont désormais des slogans totalement vides de sens.
Aujourd’hui, l’État français, dans son apparente "Raie-publique", fonctionne sous une illusion légale qui cache une réalité profondément troublante mettant en évidence l’absence totale de validité juridique. Cette affirmation n’est pas une simple conjecture, mais une conclusion soutenue par des preuves accablantes issues de ses propres lois, décisions et contradictions institutionnelles que nous subissons au quotidien. Cette illégalité omniprésente a permis à une élite de s’arroger des pouvoirs exorbitants tout en échappant à toute responsabilité. Ces institutions, en apparence démocratiques, sont devenues des instruments de domination et de contrôle au service de quelques-uns. Pendant ce temps, les individus ordinaires, soumis à des lois invalides et à des jugements sans fondement, subissent des violations constantes de leurs droits et au racket systématique de leurs économies. En s’appuyant sur des preuves aussi factuelles qu'accablantes, il est clair que l’apparence de légalité qui gouverne la France aujourd’hui est une façade abjecte. Cette illégalité systémique favorise des abus criminels en cascade faites de décisions arbitraires, de corruption ignoble et de violations systématique des droits fondamentaux. Face à un tel chaos, comment peut-on encore parler d’État de droit ?
Pour débuter, la reconnaissance de cette situation est impérative. Et exige une mobilisation citoyenne totale pour redéfinir les bases juridiques de notre société et restaurer un véritable État de droit. Seul socle viable à une civilisation. Tant que ces dysfonctionnements ne seront pas corrigés, les abus continueront à proliférer, au détriment de la justice, de la transparence et de la démocratie. Car cette République, qui se présente comme un modèle d’État de droit, est en réalité complice, sinon instigatrice, des abus criminels que nous observons aujourd’hui par le biais de décisions administratives arbitraires, de condamnations judiciaires invalides, d'enrichissement illégal et d'atteintes à toutes les libertés fondamentales. Et en l’absence de légitimité juridique, tout devient possible pour ceux qui détiennent le pouvoir et surtout la puissance de cette milice violente composée de traîtres et que certains nomment encore police.
Nous vivons dans une époque où tout semble vrai, mais rien ne l’est vraiment. Le simulacre n’est pas seulement une copie du réel, il remplace ce réel et prétend être plus réel que le réel lui-même… Les images dominent notre quotidien et sont détournées de leur véritable essence pour servir des récits préfabriqués, sinon carrément fictifs. Ce que nous prenons pour des vérités objectives n’est qu’une mise en scène savamment orchestrée. L’émotion, autrefois expérience intime et profonde, a été transformée en marchandise pour gérer par la population grâce à la peur. Les médias et les réseaux sociaux dictent ce que nous devons ressentir face à des événements souvent lointains et hors de notre portée. Cette dictature des émotions standardisées appauvrit nos expériences humaines et nous déshumanise progressivement.
Dans notre monde saturé d’informations, tout est conçu pour être oublié rapidement. Les scandales, les tragédies, les modes, tout est jetable. L’éphémère règne en maître, nous condamnant à vivre dans un présent perpétuel, dépourvu de profondeur historique ou de projection future. Les valeurs humaines fondamentales sont devenues des concepts abstraits, vidés de leur substance. Égalité, justice, liberté, idéaux ayant fondé notre nation, ne sont plus que des accessoires rhétoriques, utilisés pour justifier des actions qui vont souvent à leur encontre. Chaque jour, une nouvelle raison de s’indigner fait surface. Mais cette indignation, bien souvent, n’est plus qu’une posture éphémère jusqu'à la prochaine indignation. Elle est fugace, instrumentalisée et vidée de tout pouvoir transformateur. Ce n’est plus une arme contre l’injustice, mais bien une distraction parmi d’autres.
Les liens entre l’État et les grands groupes de médias en France posent d'ailleurs un problème majeur. Des propriétaires milliardaires de chaînes d’information, comme Vincent Bolloré (CNews) ou Bernard Arnault (Le Parisien), bénéficient de larges contrats publics et d’avantages fiscaux, sans omettre les subventions abusives qui influencent la ligne éditoriale des médias qu’ils possèdent. Les médias deviennent des relais dociles du pouvoir, minimisant ou dissimulant les scandales impliquant l’État. Cette mainmise médiatique détruit la pluralité de l’information et contribue à maintenir la population dans l’ignorance des véritables enjeux. Population qui refuse obstinément de s'informer correctement grâce a la pluralité d'internet.
Alors que les individus ordinaires subissent des contrôles fiscaux drastiques et des sanctions sévères, dès lors qu'ils s'insurgent contre ces décisions, les élites politiques jouissent d’une impunité quasi-totale. La Raie-publique française garantit pourtant à ses élus et hauts fonctionnaires des retraites et avantages exorbitants, indignes d'un pays à l'agonie. Ces avantages, qui coûtent des milliards d’euros chaque année aux contribuables, échappent en plus à tout contrôle démocratique.
Pendant la pandémie de COVID-19, des mesures drastiques ont été imposées sans base légale solide, comme le confinement ou l’obligation vaccinale déguisée à travers le pass sanitaire, mais pour lesquels nous avons reçus des amendes qui ont remplies les caisses de l'état et les poches de ces gangsters. Le Conseil constitutionnel, dirigé par le plus grand truand du pays à savoir Laurent Fabius, censé garantir la légalité des décisions, a validé des mesures liberticides sans aucun contrôle et favorisant McKinsey dirigé par Fabius Fils. La rapidité avec laquelle les lois d’urgence ont été adoptées, parfois sans débat parlementaire, illustre cette dérive autoritaire et ces conflits d'intérêts qui s'apparente à un despotisme où la tyrannie dure est la règle de base !
Quand bien même la façade politique fait semblant de se tenir debout grâce à des médias subventionnés archi corrompus et la violence policière, elle n'est que la couverture d’un système corrompu jusqu’à l'os, où la légalité n’est plus qu’un mot vidé de son sens. La vérité, aussi déplaisante soit-elle, est que la France n’est plus qu’un terrain de jeu pour une caste mafieuse, qui manipule le droit, les lois, les institutions à sa guise, tout en écrasant les individus sous le poids de l’injustice et de l’illégalité. Alors, que fait le peuple ? Rien. Rien du tout.
Et c'est ce silence coupable qui permet à cette mascarade de durer. Nous vivons dans un monde où tout s’effondre, et pourtant rien ne bouge. Les idéaux, autrefois porteurs de transformations profondes, sont aujourd’hui des slogans publicitaires recyclés. "Liberté", "égalité", "justice" sont des mots résonnent encore dans nos bouches, mais dont leur sens s’est dilué dans un torrent de corruption banalisée. Nous les brandissons comme des talismans, mais au fond, nous savons qu’ils ne signifient plus rien. Et que seule la loi du plus fort règne à nouveau.
Prenez la liberté, par exemple. Elle fut jadis un combat, un cri, une flamme, une unité populaire. Aujourd’hui, elle s’est métamorphosée en une simple revendication de confort individuel. Être libre, dans notre société, c’est pouvoir choisir entre dix marques de téléphones identiques, ou exprimer son opinion dans l’enclos bien balisé des réseaux sociaux, avant d’être promptement censuré si l’on ose s’écarter des sentiers battus. Quelle parodie !
Et que dire de l’égalité ? Ce mot sacré, usé jusqu’à la corde par des siècles de luttes et de sacrifices, n’est plus qu’un concept de marketing. "Tous égaux " clame-t-on, tandis que les inégalités économiques, sociales, et environnementales atteignent des sommets vertigineux. Il ne peut y avoir d'égalité que si chacun fait un effort similaire. Et non pas quand les étrangers illégaux deviennent prioritaires sur les autochtones. L’égalité ? C’est devenu un hashtag. Un autocollant sur un gobelet de café équitable. Une posture vide de sens pour les incapables qui veulent se donner bonne conscience.
Quant à la justice, n’en parlons même pas. C’est un vieux cadavre que l’on maquille pour les funérailles éternelles de notre nation. Les puissants continuent de prospérer en toute impunité, tandis que le reste du monde s’enfonce dans la précarité. Mais attention, pas de cynisme ! Le système fonctionne, vous dit-on. Il fonctionne… uniquement pour les parasites qui en tirent profit.
Dans notre pays, le Président de la République (même élu par fraude comme Macron) dispose d’un pouvoir exorbitant, souvent exercé par ordonnances et décrets, court-circuitant le Parlement. Ce système affaiblit la démocratie représentative et favorise la corruption de l'Assemblée. Le Sénat lui aussi, souvent décrit comme un "cimetière des éléphants", représente pourtant un coût immense pour des résultats très limités. Les collectivités territoriales (régions, départements, communes) sont suradministrées, par des agents improductifs engendrant une bureaucratie inefficace et ruineuse. Les budgets de certaines institutions, comme les services de renseignement ou la défense, échappent même à tout contrôle démocratique. Les marchés publics sont régulièrement attribués dans des conditions très douteuses à des multinationales ou des individus proches du pouvoir. Et les procédures judiciaires sont clairement utilisées pour détruire des adversaires politiques ou protéger ces alliés du pouvoir. La justice n'est plus utilisée que comme un outil pour écraser toute opposition. Pendant ce temps, les responsables de crimes financiers ou de grandes fraudes jouissent d’une impunité totale, à la vue et su de tous…
Voici encore quelques points de vue et de droit qui sont autant des preuves accablantes qu’une mascarade juridique et démocratique se déroule sous nos yeux. Et pour tous ceux qui me demandent sans cesse quoi faire, et bien voici une bonne partie de la réponse contenue dans le les paragraphes suivants.
En remontant à 1848, il apparaît que de nombreuses constitutions et lois fondamentales n'ont jamais été correctement promulguées, et donc sont illégales. Cela signifie que la base même de cette Vème "Raie-publique", et des institutions qui en découlent, repose sur un édifice juridique frauduleux. Le premier exemple est la façon dont cette Vème République a été instaurée sans une véritable consultation populaire. Et si la fondation de la République est illégale, que dire des institutions qu'elle a engendrées ? Tout ceci, conduit par une poignée de malfrats, a détruit volontairement la notion de séparation des pouvoirs faisant de notre pays une république bananière où un gang de truands s'amuse à nous ruiner financièrement et moralement.
La Constitution de 1958 a progressivement détruit la séparation des pouvoirs, transformant le pouvoir judiciaire en une simple "autorité judiciaire". Cela signifie que les juges, censés être indépendants, sont désormais soumis à l'autorité du Ministre de la Justice, ce qui compromet leur capacité à rendre des jugements impartiaux et surtout au nom du peuple. Ce qui est totalement contraire aux lois de la république. Ce phénomène est particulièrement visible dans des affaires où des décisions sont rendues rapidement, parfois sans même que le juge ait pris le temps d’examiner les dossiers, sous la pression du pouvoir exécutif. Combien de dossiers classés sans suite ont défrayé la chronique ? Et bien ce n'est dû qu'à l'extrême corruption de ces individus qui se proclament juges sans en avoir simplement ni le droit, ni la fonction !
L'ordonnance du 22 décembre 1958, censée établir le statut des magistrats de l'ordre judiciaire, n’a jamais été promulguée comme il se doit dans le Journal Officiel. Cette simple formalité, qui aurait dû être validée par le Président de la République, n’a pas été réalisée, et depuis lors, les magistrats n'ont plus de base juridique valable pour exercer leurs fonctions. En pratique, cela signifie qu'il n'existe aucune légitimité juridique pour les décisions prises par ces magistrats. Par exemple, des juges qui prennent des décisions affectant la vie de millions de citoyens peuvent agir en dehors de tout cadre légal. Et pourtant, ces décisions continuent de s'imposer, en toute illégalité, parce qu’aucun citoyen ne conteste sérieusement cette fraude.
En 1991, la réforme de la justice a abrogé des textes définissant les compétences des tribunaux judiciaires. De fait, les juridictions pénales telles que les tribunaux correctionnels n'ont plus de fondement juridique, car les bases légales qui les soutenaient ont été supprimées. Et les citoyens, comme les entreprises, n'ont plus d'instances légales dans lesquelles ils peuvent espérer un jugement équitable. Prenez l’exemple d’un citoyen qui conteste une décision administrative arbitraire ; il ne peut même plus être jugé dans un tribunal compétent selon la loi.
En suivant, la loi n°2000-516 du 15 juin 2000 a modifié le code de procédure pénale, supprimant de facto les juges d'instruction dans de nombreuses juridictions. Les juges d'instruction, qui avaient un rôle fondamental dans la mise en accusation et l’instruction des affaires criminelles, ont été écartés. Cette modification législative, qui s’est faite sans les garanties légales requises, a permis une concentration de pouvoirs décisionnels dans les mains de procureurs corrompus aux pressions politiques. Prenons l’exemple d’affaires où des juges d'instruction étaient pourtant nécessaires, comme dans le cas des affaires "Clearstream, Cahuzac, Panama papers, Pandora papers". Sans un juge d’instruction indépendant, les enquêtes sont désormais pilotées par des procureurs plus ou moins véreux, eux-mêmes liés au pouvoir politique.
L'un des principes fondamentaux d'une République qui se veut démocratique est pourtant la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Or, l’article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen stipule que cette séparation est essentielle pour la validité de la Constitution. En France, le lien hiérarchique entre le ministre de la Justice et le Parquet viole tous les jours ce principe. Par exemple, un procureur, qui devrait être indépendant pour assurer une justice impartiale, dépend du ministre de la Justice, lui-même nominé par le Président. L'affaire Fillon en 2017 est un parfait exemple de cette dérive. Alors comment croire et parler de l'indépendance de la justice quand les mêmes personnages politiques sont à la tête des poursuites et des jugements ?
De plus, l’application inégale des lois en France et dépendant de critères politiques ou géographiques font que ce ne sont plus des lois (applicables à tous) mais bien des règles claniques à géométries variables que nul n'est donc censé suivre. Par exemple, certaines régions n’ont pas vu certaines lois promulguées correctement, ce qui crée des inégalités flagrantes dans l’accès à la justice. Un citoyen d'une région où les lois sont mal appliquées ou pas publiées n’a aucune possibilité de les contester, ce qui l’empêche de défendre légalement ses droits devant les tribunaux comme prévu dans la charte des Nations Unies.
Or, la loi, pour être désignée comme telle, est censée s’appliquer de manière égale à tous les individus. Pourtant il existe une discrimination flagrante dans son application, ne serait-ce que par les tribunaux qui jugent les politiciens comme étant des individus à part du commun. Ou par exemple quand certains préfets, qui ne sont que des acteurs politiques nommés, prennent des décisions administratives injustifiées, basées sur des considérations purement politiques et utilisent la violence policière pour faire respecter des dérives abjectes. Cela a été le cas lors de certaines manifestations des Gilets Jaunes, où des décisions policières et judicaires illégales ont été prises en fonction de critères politiques, discriminant certains individus au profit d'autres et classant sans suites les plaintes des citoyens à leur encontre.
Cependant, en France, pour qu'une loi soit opposable aux citoyens, elle doit aussi être publiée au Journal Officiel. Or, dans de nombreux cas, cette formalité n’a pas été respectée, ce qui rend la loi non valable. Alors que font les pseudos avocats ? Par exemple, en 2018, une réforme législative importante sur la justice, notamment concernant les procédures fiscales, n’a pas été publiée en bonne et due forme. Cela a permis à l’administration fiscale de l’appliquer, alors même que la loi, techniquement, n’avait aucune valeur légale. Cela démontre le vide juridique qui existe dans notre système et expose la volonté délibérée de contourner la légalité pour faire passer des réformes à la hâte, souvent au profit des grandes entreprises ou des puissances politiques.
Une des bases de l’État de droit est que les lois doivent être promulguées en bonne et due forme. Or, il apparaît qu’aucune loi n'a été promulguée correctement depuis 1848, date à laquelle la France a vu des changements constitutionnels majeurs. Depuis lors, les lois sont censées être publiées dans le Journal Officiel, ce qui garantit leur opposabilité aux citoyens. En réalité, beaucoup de textes de lois, et notamment ceux de la Constitution de la Vème République, n'ont jamais été validés par les procédures légales exigées. Prenez la réforme des retraites de 2020, qui a été imposée par des décrets et non par une véritable loi votée dans les règles. Cela contredit la notion même de légalité, où les individus sont censés respecter des textes qu’ils n’ont même pas le droit de connaître...
Et je pourrais continuer, énumérer encore et encore les preuves de cette vaste imposture. Ne serait-ce que les préfets illégaux, pourtant rémunérés avec nos impôts et qui prennent des décisions abusives qu'exécute avec zèle leur milice, mais pour le compte de qui, exactement ?Ou encore ces "préfets honoraires", qui continuent d’exercer des fonctions administratives bien après leur retraite, sans aucune légitimité. Ce type de pratique est un viol pur et simple des principes légaux et crée une confusion totale dans le gouvernement du pays. Continuons avec la 17ème chambre correctionnelle qui ose juger les français parce qu'ils expriment leurs opinions face une caste de malfaiteurs en kippas dont ont connait les méfaits séculaires, quels rôle-a-telle exactement sinon celui de la Stasi qui détruit toute forme de liberté d'expression (1ère des libertés naturelle) ? Sans parler de toutes les affiliations occultes de magistrats, dont les liens maçonniques et secrets influencent sans honte la décision publique et transforment notre pays en "No man land" anti-chrétiens. La morale et la logique sont détruites au quotidien par ces malfrats en robes noires. Nous vivons sous une usurpation continuelle des fonctions publiques à grande échelle, avec des imposteurs exerçant des pouvoirs sans aucune base légale. Mais là encore, que faisons-nous contre cela ? Rien. Rien de plus que soupirer et accepter cette dégénérescence totale.
Les liens maçonniques et autres réseaux occultes notamment sionistes influencent de manière considérable, sinon abjecte, la justice et la politique. L’exemple le plus flagrant est celui des magistrats et des hauts fonctionnaires qui appartiennent à des sociétés secrètes, comme la Franc-maçonnerie, et qui sont censés juger ou prendre des décisions en toute impartialité. Cela pose un problème majeur en matière de transparence et d’équité. Le procès d'outre-mer de certains hauts fonctionnaires dans les années 2000 a révélé cette interconnexion entre le pouvoir judiciaire et des loges secrètes, ce qui a considérablement affaibli le système judiciaire. Lorsque des magistrats ou des hauts fonctionnaires sont affiliés à des organisations occultes, comme la Franc-maçonnerie, leur impartialité se trouve irrémédiablement compromise. Un exemple frappant est celui des décisions de justice concernant des grandes entreprises où, il est prouvé que certains juges ou procureurs, membres de loges secrètes, ont pris des décisions en faveur de leurs pairs plutôt qu’en vertu des lois. Ce type de compromission est systématique et met en lumière l’absence totale de transparence dans le système judiciaire.
Les preuves sont accablantes et les actions entreprises par les présidents successifs, depuis le rejet du référendum de 2005 d'adhésion à l'Union Européenne, ont créé un édifice juridique profondément illégitime. Les décisions politiques, économiques et sociales qui en découlent sont non seulement illégales mais reposent sur des faux et usages de faux qui servent les intérêts d’une caste dirigeante, tout en méprisant la volonté populaire. Les citoyens doivent impérativement comprendre que ce système est fondé sur des bases juridiques frauduleuses et qu’il est de leur responsabilité de dénoncer cette situation et de rétablir un véritable État de droit.
Le référendum de 2005 sur la Constitution européenne a été un moment crucial de démocratie directe, où les Français se sont exprimés clairement en rejetant cette Constitution par 55% des voix. Pourtant, l'assassin et truand de haut vol Nicolas Sarkozy (comme ses successeurs) a ignoré ce verdict populaire en imposant la même Constitution Européenne sous forme de Traité de Lisbonne, sans aucun vote en 2007. Ce Traité, signé lui aussi sans nouvelle consultation populaire, est une violation flagrante de la souveraineté du peuple français. Le "NON" du référendum de 2005 n’a donc pas été respecté, et ce retournement de situation est un faux juridique qui invalide toutes les décisions prises sur cette base depuis lors, y compris la ratification du Traité de Lisbonne et toutes les politiques européennes subséquentes. C'est un abus de pouvoir caractérisé au regard du droit international. Et le fait qu’un traité international puisse être ratifié sans le consentement du peuple constitue une violation manifeste de l’article 6 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, qui stipule que la loi est l’expression de la volonté générale. En agissant ainsi, Sarkozy et successeurs ont contourné la volonté populaire, rendant de fait illégales toutes les décisions politiques liées à ce traité.
Mais le refus de valider la volonté populaire a entraîné une série de décisions économiques, absurdes et néfastes à la France, prises dans le cadre des engagements au sein de l'Union Européenne, notamment les dérégulations économiques, les mesures d’austérité imposées en raison d'une dette publique fictive et crée artificiellement allant avec la privatisation massive d'industries stratégiques et le racket des citoyens.
Les privatisations d'entreprises publiques telles que GDF, EDF, France Télécom, etc., menées sous Sarkozy et ses successeurs, sont donc aussi illégales au regard du Code des Finances Publiques, car elles ont été réalisées sans un mandat clair du peuple et au mépris de la souveraineté économique nationale. Ces décisions ont conduit à la vente de biens publics stratégiques pour rembourser une dette imposée frauduleusement, qui elle-même est illégale dans la mesure où elle résulte d'engagements européens pris en contradiction avec les décisions populaires.
Et comme l’adhésion à l’UE a immédiatement conduit à l’imposition d’un contrôle sur la dette publique, et notamment la mise en place des critères de Maastricht qui ont mené à des politiques d’austérité et de réduction des dépenses publiques illégales et illégitimes, qui se sont traduites ensuite par des dérégulations du marché du travail et des réductions de services publics essentiels mais pour lesquels nous payons des milliards d'impôts rackettés directement à la source. Ces engagements européens, pris sans validation démocratique, ont imposé par la suite toute une série de réformes toutes aussi illégales. Ainsi, l’augmentation de la dette publique depuis l’adoption du Traité de Maastricht et l’intégration de la France dans l’euro, ainsi que les mesures d’austérité qui en ont découlé, ne peuvent pas être justifiées légalement puisque ces politiques ont été prises sans le consentement du peuple français. Le recours à des mécanismes européens comme le Mécanisme Européen de Stabilité (MES), qui impose des prêts abusifs à la France et des conditions d’austérité, viole les principes de souveraineté et de démocratie. En ce sens, la dette elle-même et les décisions prises pour la rembourser sont donc un faux juridique, car elles ne reposent sur aucune légitimité populaire.
Un autre exemple flagrant de l’illégalité est la manière dont des documents officiels ont été falsifiés ou manipulés pour justifier des décisions politiques. Sous Sarkozy et ensuite ses successeurs, des documents ont été produits, qui, sous couvert de mesures économiques légitimes, ont servi à légitimer des politiques d'austérité et des décisions de privatisation. Par exemple, les audits de la dette publique réalisés sous Sarkozy, qui ont servi de base à la mise en place de réformes comme la réduction des déficits, ont été critiqués pour leur manque de transparence et de fiabilité. Des analyses ont montré que ces audits ont été biaisés, ne prenant pas en compte les dépenses publiques liées à des investissements stratégiques pour la nation. En falsifiant les données économiques, ces audits ont permis de justifier des décisions qui, sans cette manipulation, auraient été considérées comme illégales. Le tout couvert par le gang mafieux de ces hauts-fonctionnaires installés à BERCY.
De plus, les privatisations qui ont eu lieu sous les présidences successives sont non seulement illégales au regard de la Constitution mais également au regard de l’intérêt public. Des entreprises stratégiques telles que Alstom, GDF-Suez, EDF, la Française des jeux, les autoroutes ou encore La Poste ont été vendues à des investisseurs privés, souvent étrangers, sans qu’aucun référendum ni consultation publique n’ait eu lieu. Par exemple, la vente d'Alstom à General Electric en 2014 a été réalisée sans consultation populaire, bien que cette entreprise ait un rôle clé dans l’infrastructure énergétique et industrielle de la France. Et cette vente à surement permis de financer la campagne de Macron. Or, ces privatisations ne reposent sur aucun mandat populaire et sont contraires aux principes de l'intérêt général, créant un vide juridique où les intérêts privés prennent le pas sur les besoins de la nation.
Sans compter que les décisions prises au sein de l’Union Européenne, qui impliquent la France, sont souvent imposées sans aucune consultation populaire, en contradiction totale avec les principes démocratiques. Ce sont des décisions imposées par des institutions supranationales (la BCE, la BRI ou la Commission européenne), dont les actes sont, de fait, illégaux en France puisqu’ils passent outre les principes constitutionnels français. Le paquet de réformes économiques imposées par la Commission Européenne à la France entre 2010 et 2015 (sous la pression de la BCE et du FMI), bien qu’ayant été formellement validé par les autorités françaises illégitimes, repose sur des décisions prises à Bruxelles, sans validation ni consultation démocratique de la population française. Ces réformes, en imposant la primauté du marché sur les besoins sociaux, violent les principes de souveraineté économique de la France. Il en va de même pour la dette de 3300 milliards imposée par Le Maire et Macron, qui n'est en aucun cas imputable au peuple, mais bien à ces individus en leur nom propre.
Il est évident que la France n’est plus qu’un corps mourant, agonisant dans un état de corruption systémique. Le principe de séparation des pouvoirs est devenu une blague, la justice n’est qu’un outil entre les mains des puissants, et les individus sont relégués au rôle de spectateurs passifs de leur suicide collectif. La République n’est plus qu’une façade de plus, une illusion maintenue par la violence qui permet à ceux qui sont aux commandes de continuer à tirer les ficelles dans l’ombre.
La République Française, telle qu’elle est aujourd’hui, n’est plus un État souverain, mais une société privée, régie par des règles économiques strictes et inéquitables. Fonctionnant sur le modèle d’une entreprise, elle est dirigée par un président et des cadres supérieurs désignés ministres, qui, loin de défendre les intérêts de la nation, agissent comme des pions au service d'un système qui œuvre pour la destruction de notre pays. L’origine de cette dérive remonte à la loi Pompidou-Rothschild de 1973, qui interdit à la France de créer sa propre monnaie, l’obligeant à emprunter sur les marchés privés à des taux d'intérêt impossibles à rembourser. Ce système a précipité notre nation dans une spirale de dettes infinies, dont la population est la principale garante.
Aujourd’hui, la dette publique, illégitime et frauduleuse, n’est plus qu’une fiction, un contrat privé qui lie chaque citoyen à la faillite de l'État. En réalité, avec chaque acte de naissance, chaque individu devient un "bon du Trésor", une sorte de garantie sur laquelle l'État emprunte et génère des millions de fonds. Le numéro de sécurité sociale, héritage du régime de Vichy, est devenu un compte bancaire sous lequel ces fonds sont gérés, un véritable compte fiduciaire. En conséquence, chacun de nous, citoyen de cette "République", porte le fardeau de cette dette inextinguible, transformé en caution involontaire pour un système bancaire mondial qui profite de cette situation sans scrupules. Le contrat est signé, mais à quel prix pour notre avenir ?
Mais vous, chers lecteurs, qu'attendez-vous réellement ? Que l’on vous dise que tout va bien, que l’on vous fasse croire à un changement qui ne viendra jamais ? Que la délivrance divine vienne faire le ménage ? Les preuves sont pourtant là, à portée de main, mais il semble que dans notre pays, l’inertie et le confort de la soumission soient plus forts que la volonté de se lever et de dénoncer cette corruption.
Alors, que reste-t-il ? Une révolte ? Un sursaut de dignité ? Une expression d’humanité ? Ne rêvons pas. Même la révolte, dans notre époque, est un produit comme un autre. Les mouvements sociaux sont récupérés, digérés, transformés en produits de consommation. Les slogans révolutionnaires deviennent des t-shirts, les idéologies subversives des tendances Instagram. Et quand la colère gronde vraiment, le système a une arme imparable qui se nomme l’indifférence. Pendant que le peuple, lui, se cantonne dans le déni. Rien n’est plus efficace pour tuer une révolte que de l’ignorer. Pas besoin de réprimer, de censurer, ou de persécuter lorsqu'il suffit de détourner l’attention, de noyer la contestation dans un flot de distractions continuelle. Et lorsque tout s’écroulera, lorsque les écrans s’éteindront et que les masques tomberont, peut-être retrouverons-nous enfin quelque chose de réel. Peut-être… Mais en attendant, nous jouons notre rôle. Nous participons à cette farce grotesque en nous laissant faire sans bouger, en espérant secrètement que quelqu’un, quelque part, trouvera une issue.
Face à l’absurdité du monde, le cynisme semble être la seule attitude possible. Mais ce cynisme, loin d’être un outil de résistance, est aussi souvent une forme de capitulation. Nous dénonçons sans agir, nous rions pour ne pas pleurer, et nous acceptons, au fond, l’insupportable. Dans un univers où la première impression est tout, la superficialité est devenue une vertu. Il ne s’agit pas d’approfondir, de comprendre ou d’évaluer. Ce qui compte, c’est d’être convaincant en quelques secondes, bien que ce soit une compétence que la vérité n’exige pas.
Nous sommes plus connectés que jamais, mais aussi plus seuls et isolés. Les outils qui promettaient de rapprocher l’humanité ont créé des interactions superficielles et déshumanisées où chacun reste bien sagement sur son canapé. Nous vivons dans un monde où l’autre est à portée de clic, mais où la proximité véritable et le passage à l'action massif ont disparus. Face à l’avalanche de tragédies qui défilent chaque jour, nous avons développé une indifférence de survie, mais qui nous mène à la tombe de notre civilisation. La souffrance des autres devient une toile de fond, un bruit blanc qui accompagne notre quotidien sans jamais l’ébranler.
Mais ce n’est pas de la fatalité, c’est de l’incompétence et de l’indifférence collective. Et tant que cette inaction persistera, rien ne changera. Si vous vous résignez à cette situation, ne venez pas vous plaindre lorsque la corruption frappera directement à votre porte. Vous êtes complices par votre silence et donc vous méritez votre sort et mon mépris. Mais peut-être que vous attendez qu’un miracle se produise, que tout soit rétabli par le simple jeu des circonstances ? À moins que vous ne soyez prêts à prendre en main votre destin et à exiger, enfin, que cette mauvaise farce cesse ?
Le temps des excuses est révolu. Comme celui du pacifisme. Réveillez-vous et faites valoir votre voix face à ces gangsters en cols blancs et kippas d'apparat. La France n’est plus qu’une illusion, une République vidée de son essence démocratique. Son peuple est avachi, incapable de sauver sa vie et d'entrevoir la notion de légitime défense pour enfin cesser d'être passif.
Mais , si nous ne dénonçons pas ces impostures, si nous continuons à accepter cette mascarade, nous condamnons notre avenir et celui des générations à venir. Seule une mobilisation massive et musclée, déterminée et impitoyable pourra rétablir la justice, la souveraineté et l’État de droit. Le pays est entre les mains de mafieux, et vous vous contentez de les regarder pacifiquement vous détrousser financièrement et moralement. Il est temps de choisir entre vous réveiller ou continuer à vous faire plumer en toute indifférence par votre immobilisme !
Et à ceux qui vont immanquablement me demander ce que je fais pour changer le monde, je réponds que je fais ma part, à ma manière, dans mon coin. Je ne prétends pas avoir la solution universelle, mais j’agis selon ce que je crois juste et fais tout ce que je peux, à commencer par éveiller les consciences autour de moi. Le reste, c’est à chacun de le faire selon ses capacités et ses convictions.
Puisqu'en fin de compte, je fais ma part du travail d'humanité en réinformant au quotidien, en cherchant à éveiller les consciences face à ce système défaillant. Mais pour ma part, ici, dans ce petit village des montagnes pyrénéennes où je me suis réfugié en quittant Toulouse et une vie prospère, tout est à portée de main. L’eau est saine, la nourriture naturelle, et le tissu social solide. Je vis de mon labeur, (n'hésitez pas à acheter mes livres, c'est la meilleure façon de m'aider !) sans rien devoir à quiconque, et cela me permet de me sentir libre, serein et, d’une certaine manière, sauvé. Je n’ai pas l'âme d’un Saint, ni celle de Jésus, et je ne prétends pas être l'ultime solution pour ceux qui refusent de bouger, ceux qui préfèrent se vautrer sur leur canapé plutôt que d’agir pour leur avenir.
Chacun est donc responsable de sa propre libération. J’ai choisi mon chemin, je l'assume et je fais ce que je peux pour ceux qui veulent entendre et comprendre. Mais je ne vais surtout pas courir derrière ceux qui n'ont aucune volonté de changer, bien au contraire.
à bons entendeurs…
Phil BROQ.
NB: Vous trouverez toutes les bases juridiques qui m'ont permis d'écrire ce texte à cette adresse : PDF absence de l'égalité en république française
Splendide billet que je partage à 1000% ! Prenez soin de vous Phil !
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