ENTRE ASCENSEURS EN PANNE ET ÉLITES CORROMPUES, LA CHUTE EST INÉVITABLE !
La scène politique française ressemble à un théâtre de l’absurde, un lieu où les véritables enjeux du pays sont systématiquement mis de côté au profit de décisions sans impact ou carrément déconnectées de la réalité des citoyens. À la place des réformes structurantes, de la gestion rigoureuse des finances publiques ou de la réflexion sur un modèle économique durable, nous assistons à une avalanche de lois inutiles, de propositions farfelues et d’un véritable manque d’ambition pour résoudre les problèmes de fond.
Prenons par exemple la dernière proposition de loi adoptée par l’Assemblée nationale, le 23 janvier 2025, visant à lutter contre "les pannes d’ascenseur". Non pas l'ascenseur social, car celui-ci a été démonté depuis belles lurettes, mais ici nous parlons des ascenseurs pour les immeubles. Ce sujet, que l'on pourrait qualifier d’absurde par sa banalité, a été mis sur le devant de la scène comme une priorité nationale (quand je vous dis que le gauchisme est une maladie mentale, en voici encore la preuve). Le rapporteur de cette loi, Philippe Brun, ne manque pas de qualifier cette problématique de "sujet orphelin de la vie politique française" et d’affirmer qu’il est à l’origine de "nombreux drames quotidiens". Car dans un pays exsangue où les individus sont rackettés à hauteur de 3.300 milliards de dette artificielle, pour payer les salaires abusifs des politiciens qui ne récitent que les conseils de McKinsey, il est difficile de prendre au sérieux ce genre de déclarations comme les déclarants, dans un contexte où la France est en proie à des crises économiques, sociales et industrielles majeures. Mais peut-être est-ce là tout le problème de la France. Car nos parlementaires semblent plus préoccupés par des détails insignifiants et de préserver leurs privilèges de petits marquis, que par les réelles souffrances du peuple français à l'agonie. Après tout, il est plus facile de débattre sur l’entretien des ascenseurs que d’affronter les véritables fractures économiques et sociales du pays.
En revanche, l'ascenseur social en France, jadis symbole de la possibilité pour chacun de s'élever grâce à son travail et son mérite, est aujourd'hui en ruines totale. Les inégalités se sont exacerbées et la mobilité sociale est devenue un mirage pour de nombreux Français. Alors que les politiques publiques s'attardent sur des réformes de surface, comme la lutte contre les pannes d'ascenseurs, la réalité est que ceux qui sont déjà au bas de l'échelle sociale peinent à trouver des opportunités pour s'en sortir. L'éducation, censée être le levier principal de l'ascension, est aujourd'hui souvent un obstacle, avec des systèmes scolaires de plus en plus inégalitaires, creusant un fossé entre les classes populaires. En délaissant les vraies causes des fractures, la France laisse ainsi son ascenseur social se gripper, condamnant des générations à la stigmatisation et à la précarité.
Et ce même 23 janvier 2025, pendant que l’Assemblée nationale débat sur les ascenseurs, les sénateurs, eux, se sont empressés d’adopter un budget proposé par l'incompétent François Bayrou. Un budget qui une fois encore a bien peu à voir avec les priorités des Français. Avec un Gérard Larcher, Président du Sénat aussi obèse que la dette, ayant récemment pris soin de s’offrir un fauteuil à 34.000 euros, pensant surement réitérer la surfacturation du gouvernement de Michel Barnier ayant contracté une dépense de 155 milliards d’euros pour les achats publics de post-it en 2023... Continuant à mépriser le peuple par ce symbole presque caricatural de l’absurdité de la politique actuelle, où les élus sont plus intéressés par leur confort personnel que par la gestion des finances publiques. Alors qu’à l’international, le monde s’enflamme et que la France doit faire face à des défis géopolitiques majeurs, on se demande légitimement comment des politiciens peuvent encore se concentrer sur des dépenses aussi futiles, comme pour les français de persévérer à rémunérer cette caste de nantis ignobles, et payant des impôts et taxes toujours plus abusives.
Mais cela ne s'arrête pas là. Le 30 janvier prochain, une Commission Mixte Paritaire (CMP) sera chargée de tenter de trouver un compromis sur ce budget, avant de l'imposer comme toujours par un 49-3 suicidaire. Et comme on peut s’y attendre, cela se fera encore à huis clos, avec seulement 14 parlementaires autour de la table. L’ironie cynique de la situation est que ce processus, qui pourrait théoriquement permettre de traiter des questions cruciales pour l'avenir du pays, ressemble à un exercice de sauvegarde d'une bureaucratie vidé de toute ambition. Les concessions entre les différents partis, comme la suppression de 4.000 postes d’enseignants, tout en achetant plus de matériel de rétorsion destinés aux forces de l'ordre, ou la réduction des crédits d'impôts pour la transition énergétique, témoignent de l’impasse dans laquelle se trouve le pays. On ne parle même pas de réformes véritablement structurantes qui auraient pu relancer l’économie ou apporter une solution aux problèmes de notre système social. Non, l’essentiel semble résider dans des tractations entre partis pour gagner quelques voix de plus, ou un peu de temps avant la tempête populaire qui se lève, quitte à surtout sacrifier des postes d’enseignants, car les enfants sont si intelligents chez nous, ou à renoncer à des projets industriels vitaux, avec plus 65.000 entreprises détruites seulement l'an dernier.
D’ailleurs, le sujet de la transition énergétique, disons plutôt la ruine de notre industrie par des procédés escrologiques, qu’on nous présente toujours comme l’un des grands chantiers de notre époque, ne fait que dévoiler l’hypocrisie, l’incohérence et le mensonge des politiques actuelles. Les Verts, dont la couleur n'est que celle des billets destinées aux subventions allouées à cette arnaque, bien que prêts à crier au scandale contre la baisse des crédits pour la transition énergétique, sont en réalité entièrement responsables de cette situation énergétiques basée sur la corruption. Après tout, l’écologie, dans sa forme actuelle, est une priorité pour le gouvernement mondialiste, car elle coûte cher, très cher en subventions, sans que l’on perçoive d'autres résultats tangibles que le suicide de nos industries et permettant la mise en place du crédit social. Les mesures prises jusque là, bien plus symboliques et déconnectées des réalités économiques, ont conduit à un gâchis financier colossal sans effet réel sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre ou sur la transition vers un modèle énergétique durable. Car ce ne sont pas avec des moulins à vent ou des miroirs aux alouettes que nous allons développer l'industrie du XXIème siècle.
Le problème est qu’à force de vouloir plaire aux oligarques, nos politiciens finissent par ne plus répondre à aucun besoin véritable et vital. La question escrologique, servant l'agenda totalitaire des mondialistes, est un terrain de jeux idéologiques où les partis s’affrontent dans le néant, avec notre argent mais sans jamais prendre les décisions qui s’imposent, comme redevenir souverains en électricité avec nos 56 centrales dont la moitié est à l'arrêt et l'autre partie surtaxée. Les promesses d’un monde plus "vert" se heurtent plus aux manigances des multinationales - qui intoxiquent notre air au quotidien (par les chemtrails), notre eau (par les polluants médicamenteux et industriels), notre terre (par les engrais et OGM), notre nourriture (par la malbouffe chimique), notre santé (par les injections ARNm) - qu'aux exigences d’une économie affaissée sous la pression d'une dette publique abjecte. Le peuple, lui, avachi et hypnotisé par les meRdias de propagandes, n’y comprend toujours rien, mais persiste dans son déni.
Mais, dans ce contexte de chaos total et de lente agonie politique, un peu de nouveauté positive apparaît avec l’adoption par le Sénat d’un amendement visant enfin à supprimer certains privilèges des anciens chefs de l’exécutif. Cela pourrait sembler une avancée symbolique modeste, mais dans un contexte où les politiciens ne cessent d’étendre leurs privilèges personnels, c’est peut-être un début de prise de conscience... Cette adoption de loi contre les anciens présidents de la République, fossoyeur d'un pays qui était il y a encore 20 ans la 5ème puissance mondiale - avec leurs appartements de fonction, leurs voitures, leurs collaborateurs payés par l'État, leurs privilèges d'un autre temps et leurs bracelets électroniques planétaires -, serait un symbole appréciable envers cette classe politique déconnectée du peuple et du réel. En supprimant donc ces privilèges, même modestement (ils ne sont pas fous non plus !), on amorce peut-être le début d’un retour à une gestion de la "raie-publique" plus juste, plus égalitaire et plus logique surtout. Mais ne nous réjouissons pas trop vite. Ces économies, bien qu’elles paraissent significatives (2.8 millions d'euros par an), sont une goutte d'eau dans un océan de corruption, au regard de l’ampleur des problèmes à résoudre.
Cependant, l’essentiel reste la question de la souveraineté, de la désindustrialisation, du pouvoir d’achat, des inégalités sociales, du chômage, des retraites, de l’éducation et de la santé... pour le moment, contenus par la violence policière et le chantage judicaire. Des sujets qui ne sont jamais abordés par nos parasites "poly-tiques", avec la même urgence que les ascenseurs en panne. En effet, pendant que nos élus se perdent, dans ces débats inutiles et cette mascarade parlementaire, la France sombre un peu plus chaque jour dans une crise insolvable faute d'opposition populaire musclée. Les fractures sociales, énergétiques, industrielles se creusent, et les (cons) citoyens sont de plus en plus nombreux à perdre confiance dans ces dirigeants qui pratiquent la haute trahison en se gavant de nos deniers. Car on le sait, les vraies réformes promises ne viendront jamais, comme les véritables solutions structurelles qui sont sans cesse repoussées !
Il est grand temps que ces parasites prennent conscience de la gravité de la situation, au risque de voir s'ériger prochainement des guillotines sur les grandes places publiques. Et au lieu de se concentrer sur des lois inutiles et des compromis sans envergure, il est impératif pour nous, et bientôt vital pour eux, qu’ils se retroussent les manches et qu’ils abordent les vrais problèmes de la France avec la responsabilité et l’ambition nécessaires, sans compter sur les power point de McKinsey. Car ce n’est qu’à ce moment-là que nous pourrons espérer retrouver une véritable stabilité, tant économique que sociale. Mais pour cela, il faudra d’abord que nos Zélus cessent de se laisser distraire par des sujets futiles, corrompre par le chantage, et qu'ils prennent enfin leurs responsabilités, en cherchant ce qui est réellement bon pour le pays et le peuple.
La France ne peut plus attendre. Le déclin est déjà bien entamé, et si nos dirigeants continuent à se vautrer dans leurs petites querelles politiciennes et leurs lois dérisoires, ce pays sera irrémédiablement perdu par la faute de ces Zélites politiques ayant scellé l’avenir d’une nation déjà en train de mourir sous le poids de sa propre inaction. Le temps des compromis est révolu et nous sommes à l’instant où il faut choisir !
Phil BROQ.
Merci Phil pour ce billet qui résume parfaitement et avec précision où nous en sommes réellement en France. Il faut choisir , c'est une évidence, mais je crains qu'encore une fois, le choix ne soit pas celui que nous souhaitons mon cher Phil. Nous sommes les Don Quichotte de l'éveil des consciences. Il faut continuer, inlassablement, avec humilité et dignité, et par là même, être complètement en phase avec notre conscience . Prenez bien soin de vous Phil.
RépondreSupprimerIl est vrai que face à des choix difficiles, la voie de la prise de conscience est souvent semée d'embûches. Comme Don Quichotte, nous pouvons nous sentir isolés dans notre lutte pour éveiller les consciences, mais chaque geste, aussi modeste soit-il, contribue à un changement plus vaste. L’humilité et la dignité, que vous mentionnez, sont des principes essentiels pour rester fidèles à nos valeurs et à notre conscience, même lorsque la route semble incertaine. Effectivement, continuer sans relâche est la seule façon d’espérer que le choix final soit celui que nous attendons. Prenez bien soin de vous également.
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