LE GREEN DEAL OU LA CHRONIQUE ANNONCÉE D’UN NAUFRAGE AGRICOLE PROGRAMMÉ
Au fil des décennies et des présidents truands, l’agriculture française, autrefois source de fierté nationale et pilier de notre souveraineté, a été méthodiquement sacrifiée sur l’autel du libre-échange imposé par un gouvernement plus prompt à signer des traités qu’à défendre ses paysans pour se soumettre à des politiques européennes déconnectées du réel. Aujourd’hui, le traité UE-Mercosur, fer de lance d’une mondialisation débridée amenant au totalitarisme plus abject que celui des communistes de la grande époque, s’apprête à porter un coup fatal à un secteur déjà agonisant et pour autant vital pour chacun d'entre nous. Derrière les promesses illusoires d’ouverture et de compétitivité (mensonge classique de l'Union Européenne mafieuse), ce sont des fermes qui ferment, des éleveurs désespérés et une filière en ruines tenue en asphyxie par des subventions abusives versées sous condition d'empoisonnement des denrées. Tandis que les fous de Bruxelles (et pas les choux) accélè