03 octobre 2024

Les Rats

Dans l’ombre des pavés, une rumeur se lève,
Des rats, aux yeux flamboyants, arrivent sans trêve.
La poudre et la foudre, en échos dans leur dédale,
Sont les armes qu’ils brandissent, cruels vandales.
 
Avec ruse et agilité, dans la nuit, ils avancent.
Des hordes affamées, prêtes à l'ultime danse.
Leur nombre comme une nausée, sur le bitume s’étale,
Leur mépris pour la vie est la base d’une guerre fatale.
 
Ils grignotent nos rêves, ces rongeurs d’espérances,
D’une morsure acérée ils entachent l’existence.
Sous les cris de la ville, leur ricanement s’élève,
dans un concert d’indifférence, où l’humanité s’achève.
 
Oh, ces rats, tyrans aux instincts belliqueux.
Exploitant le chaos en affûtant leurs vœux.
Dans les sombres ruelles, ils trament leur dessein,
Foulant nos terreurs, leur règne se veut sans fin.
 
Ils s’immiscent partout, dans les cœurs et les têtes,
Ravageant nos peines, jouant les marionnettes.
Car la poudre et la foudre, pour eux, n’est qu’un jeu.
Quand le monde tremble, ils en rient, audacieux.
 
Sous leur emprise sourde le temps se suspend.
Chaque ombre qui passe est un souvenir déchirant.
Mais dans cette bataille, une lueur d’espoir,
Où l’humanité, unie, saura surprendre le soir.
 
Dans la brume des nuits leur souffle est poison.
Les âmes enchaînées frémissent sous leur oraison.
Leur goût du sang frais, tel un nectar funeste,
Éveille en eux la haine comme une fièvre manifeste.
 
Ces rats, au cœur sourd, tels des rois déchus,
Se pavanent en tyrans, aux rêves perdus.
Jalousie dévorante, leur seul compagnon,
Dans ce monde qu'ils rongent, où tout est déraison.
 
Ils s'érigent en maîtres, sous un ciel en furie,
Imaginant un dieu vulgaire et sans magie.
Foulant la terre, où nul ne veut les voir,
Ils gangrènent la vie, échos d'un cauchemar.
 
Chaque pavé souillé, chaque ruisseau troublé,
Est le témoin muet de leur règne enflammé.
Leurs yeux, tels des abîmes, ne brillent que de mépris,
Pour chaque souffle humain, pour chaque cri de vie.
 
Sous un ciel de colère, leur empire s’entasse.
Se forgeant un dieu, vulgaire et sans grâce.
Ils festoient dans l'ombre, insatiables et fous.
Dans la putréfaction, leur règne fait des remous.
 
Leurs ombres s’étendent, obscurcissant nos jours,
Tandis que l’humanité lutte pour son retour.
Chaque souffle de vie, chaque rêve égaré,
Est un défi lancé à leur pouvoir démontré.
 
Leurs murmures sourds, tel un poison larvé,
S’insinue dans les cœurs, y laissant ses déchets..
Mais sous cette oppression, une flamme se lève,
Un cri de révolte, une promesse sans trêve.
 
Aucun repos mérité, sous les cieux étoilés,
Ils salissent chaque vie, chaque rêve étouffé.
De pestes insidieuses qu'ils sèment dans leur sillage,
Tel un poison indélébile, un cruel héritage.
 
Les pleurs des innocents sont leurs plus belles chansons,
Nos rires, une cacophonie de désillusions.
Nulle terre pour eux, nulle paix à espérer,
Car leur empire de ténèbres ne sait que dévorer.
 
Ainsi, dans la nuit noire où la douleur s’impose,
Reste un espoir fragile, une lueur grandiose.
Car l'humanité, debout, peut renverser son sort,
Unissant ses voix, pour chasser les remords.
 
Dans l’ombre des ruelles, où la lumière se fane,
Les rats, spectres sourds, se nourrissent de drame.
Leur goût du sang épais, comme un vin de malheur,
Fait vibrer dans la nuit un écho de terreur.
 
Sans cœur ni remords, ils avancent en dédain,
Sur les cris des enfants, leur cruauté se maintient.
Jalousie dévorante, sur les cendres des vies,
Ils s’érigent en rois d’un royaume maudit.
 
Nulle paix à attendre, nulle grâce à espérer,
Car leurs ombres nocturnes sont des chaînes d'acier.
Des pestes insidieuses, ils sèment sans pitié,
Poison insatiable d'un cruel héritage à porter.
 
Leurs rires, tels des huées sourdes, résonnent dans l’espace,
Délivrance absente où la tristesse s’entasse.
Pas de terre pour eux, ni de trône à revendiquer,
Car leur empire funeste sait seulement dévorer.
 
Pourtant, dans cette lutte où l’espoir se fige,
Un murmure d’amour comme un souffle s’érige.
L’humanité, unie, peut faire trembler leurs murs.
Chassant les ombres noires, restaurant les plus purs.
 
Dans le fracas des âmes où les douleurs s’entrelacent,
Les rats se faufilent tissant leur menace.
Leurs huées, telles des échos d’un banquet de fureur,
Résonnent dans les poubelles, prophètes du malheur.
 
Ils avancent, obsédés par une rage infinie,
Infectant l'esprit d'une peur sourde, leur amie.
Leurs griffes, comme des serres, effleurent l’obscurité,
Et l'humanité, tremblante, vacille en sa majorité.
 
Leur regard, froid et vide, ne connaît ni pardon,
Chaque vie qu'ils consument est un triste abandon.
Pour eux, la compassion est un mot en désuétude,
Et la joie d’un sourire, une lueur de solitude.
 
Des ombres grouillantes, infestant chaque coin,
Ils bâtissent leur empire, sur les ruines du destin.
Leurs rituels macabres, en danses grotesques,
Fêtent l'effondrement, de leur triomphe funeste.
 
Dans la nuit sans étoile, les pleurs s’entrelacent,
Tandis que l’humanité ploie, se débat et se casse.
Mais dans cette obscurité, un murmure se lève,
Un souffle de révolte, espoir d’un renouveau qui s’achève.
 
Les cœurs battent en rythme, à l’unisson des luttes.
Unis face à l’horreur, leur courage s'exécute.
Rassemblant leurs forces, leurs âmes enchevêtrées,
Pour chasser les rats et recouvrer la clarté.
 
Car si la nuit s’étend, si la douleur s’impose,
La lumière persiste, même au cœur du morose.
L’humanité, en marche, élève sa voix,
Face à la noirceur, elle refuse le froid.
 
Les villes engluées, témoins muets d'un règne abominable,
Renaîtront sous les pas d’un peuple vrai et inaltérable.
Les rêves  dérobés retrouveront leur essence,
Et l’aube qui se lève annoncera notre délivrance.
 
Ainsi, des cendres, une flamme se crée,
Dans le combat des âmes, la vie va s’imposer.
Pour chaque larme versée, une force renait
Et le chant des vainqueurs scellera l’été.
 
Contre l’ombre des rats, l’humanité se dresse,
Éclairant les ruelles de sa douce promesse.
Car sous le ciel étoilé, un avenir s’esquisse,
Où l’amour triomphe, où le cœur s’immisce.

 

Nous ferons front ensemble, unis dans la fureur,

Chassant ces spectres, redonnant la ferveur.

Car le temps est venu, l’aube annonce le jour,

Où l’humanité, debout, écrira son parcours.

 

Nous serons la tempête, le vent qui les brise,

Nos voix résonnantes, la fin de leur crise.

Sous les pavés vibrants, nos pas seront des coups,

D’un peuple en marche, déterminé jusqu’au bout.

 

Avec la force du temps, nous ferons trembler,

Ces créatures maudites, pour enfin les chasser.

Dans la lumière éclatante, leur ombre se dissipe,

Les rats, sous nos pieds, ne seront qu’un souvenir qui s’effrite.

 

Car de tout temps, l'humanité a triomphé,

Des tyrans de l'ombre ou des démons déchainés,

Elle brise les chaînes, déchire les voiles,

Chaque victoire résonnant comme une leçon s’emballe.

 

Les rires des enfants, mélodie d’espoir,

Réveillent en nous la force du véritable pouvoir.

Leur règne s’effondre, leur empire s’efface,

Nous écrivons l’histoire, nous tenons la place.

 

Ainsi, sous un ciel pur où la vie renaît,

Les rats se dissipent, vaincus à jamais.

L’humanité s’élève, unie et libérée,

Pour bâtir un avenir où elle pourra régner.

 

Ils fuiront la lumière, s’enfonçant dans les brumes,
Où les cris des enfants, résonnent comme des plumes.
La vie à nouveau reprendra ses droits,
Et l’humanité, unie, éclairera enfin le Saint bois.

 

 Phil BROQ.




L'AGENDA MAUDIT : - Acte 3- : LES ARCHITECTES DANS L'OMBRE

Mes chers lecteurs, alors que vous vous laissez emporter par le doux flot de votre flux numérique, où chaque like et chaque partage semblent vous rapprocher d’un semblant de liberté, n’oublions pas ceux qui orchestrent toute cette symphonie lugubre. J'ai nommé les familles Rothschild et Rockefeller. Ces noms résonnent comme une douce mélodie dans les couloirs de l’histoire, tels des chefs d'orchestre discrets, mais ô combien influents.

Derrière ces mouvements, ces dynasties sont les véritables architectes de la domination par la dette. Depuis des siècles, elles ont élaboré une stratégie subtile, presque artistique, pour nous maintenir dans les chaînes de l’endettement, rendant les masses à la merci de leurs manigances financières. N’est-ce pas fascinant ? Pendant que nous cliquons et scrollons, ils tissent patiemment leur toile, nous piégeant dans une danse mortelle dont nous ne sommes même pas conscients. 

Accrochez-vous, car nous allons explorer comment ces familles historiques continuent de tirer les ficelles, transformant la dette en un instrument de contrôle aussi efficace qu'un marionnettiste maniant ses fils invisibles. Préparez-vous à un voyage captivant au cœur de la finance et du pouvoir, car la suite de cette odyssée promet d’être encore plus savoureuse !

Derrière ces mouvements, les dynasties Rothschild et Rockefeller continuent de faire la pluie et le beau temps. Ces familles historiques de la finance ont, depuis des siècles, élaboré une stratégie subtile de contrôle par la dette. Elles sont à l’origine de la création des grandes banques centrales, et continuent à jouer un rôle clé dans le contrôle des mécanismes monétaires internationaux. À travers leur influence sur des institutions comme le FMI ou la Banque Mondiale, ces familles sont responsables de l’appauvrissement de nations entières, piégées dans des cycles de dette perpétuelle.

Ces familles immortelles, véritables vampires du pouvoir, qui depuis des siècles jouent aux échecs avec le monde, en déplaçant les pions avec l’assurance d’un grand maître amoral. Les Rothschild, les Rockefeller, et bien sûr, leur joyeuse bande de treize familles, ces aristocrates du capitalisme qui, dans l’ombre, tiennent la planète entière par les cordons de la bourse. Que dire d'eux, sinon qu'ils ont maîtrisé l'art de la manipulation comme personne d'autre ?

Leur stratégie ? Oh, c'est d’une simplicité enfantine, mais d’une efficacité redoutable : le contrôle total par l'usure. Pourquoi se fatiguer à conquérir des territoires par la guerre, avec tout ce sang et ce désordre, quand on peut simplement les acheter en appauvrissant les nations ? Un petit coup de pouce par ici, un prêt à taux d’intérêt exorbitant par là, et hop ! Les voilà en train de se servir au buffet à volonté des ressources des pays qu’ils ont mis à genoux. Qui a besoin de fusils quand on a des contrats ?

Bienvenue dans leur jeu millénaire, un jeu où les règles sont établies par les vainqueurs et où tout le monde perd, sauf eux. En effet, pendant que nous, simples mortels, nous débattons pour savoir quel type de café acheter ou si nous devrions opter pour le dernier smartphone à la mode, ces titans de la finance s’amusent à tirer les ficelles de notre quotidien. 

Les crises économiques, les famines, les guerres ? Oh, ce ne sont que des pions sur leur échiquier, des événements soigneusement orchestrés pour assurer leur profit. Et pendant ce temps, nous applaudissons leur spectacle, bercés par des illusions de liberté et d'autonomie. Et que dire du piège de la dette : une nouvelle forme d'esclavage où chacun participe grâce aux impôts, dorénavant prélevés à la source, au cas où certains se réveilleraient et donc refuseraient ce Hold-up. Vive la Gôôôche, merci Hollande !

Mais pas de panique ! Restez bien assis, car nous avons encore beaucoup à découvrir sur ces architectes de la domination mondiale. Prenez un verre de champagne (parce qu’ils l’ont probablement fourni) et préparons-nous à plonger encore plus profondément dans leur machiavélique ballet. Après tout, qui n’aime pas un bon drame ?

Les Rothschild et Rockefeller sont donc les grands penseurs de ce système machiavélique. Ces deux familles, souvent désignées comme les piliers de la finance mondiale, sont à l’origine des grandes banques centrales modernes. Vous pensez que vos gouvernements contrôlent l’argent ? Eh bien, détrompez-vous. Les banques centrales ne sont que des marionnettes entre les mains de ces élites. Depuis la création de la Banque d'Angleterre, puis de la Réserve Fédérale américaine, les Rothschild et Rockefeller ont perfectionné l’art de créer de la dette ex nihilo et de l’utiliser pour manipuler les nations.

Le FMI et la Banque Mondiale ! Ces institutions se présentent comme des sauveurs des nations en détresse, comme des chevaliers en armure brillante, prêts à secourir les pays dans le besoin. Mais attention, mes amis, ne vous laissez pas duper par cette façade charismatique ! Ils offrent des prêts, mais avec un petit détail sournois : ces prêts sont conçus pour ne jamais être remboursés et ainsi générer ad vitam eternam des intérêts. Oui, vous avez bien entendu, un tour de magie financier qui ferait pâlir d’envie le plus habile des illusionnistes !

Pourquoi, me demanderez-vous ? Parce que l’endettement perpétuel est la clé du contrôle. Une fois qu’un pays est pris dans ce cercle vicieux, il devient la marionnette idéale pour nos dynasties bien-aimées. Imaginez un peu la scène : un pays, les mains liées par ses dettes, obligé de se soumettre aux exigences des créanciers. Que doivent-ils faire pour se sortir de cette situation ? Privatiser leurs ressources naturelles, réduire leurs services publics, et ouvrir leurs marchés aux multinationales qui, oh surprise, sont toutes détenues par ces mêmes familles qui orchestrent ce grand spectacle de l’endettement !

Vous voyez, c'est un jeu parfaitement huilé, où les règles sont rédigées par ceux qui détiennent le pouvoir économique. Pendant que les peuples se débattent, essayant de survivre avec des miettes, les élites rient aux éclats, savourant le goût sucré de leur victoire. En fin de compte, ces pays, une fois prospères, deviennent de simples variables d'ajustement dans la danse macabre de la finance mondiale.

Alors, chers lecteurs, restez vigilants, car cette partie d’échecs ne fait que commencer. Préparez-vous à explorer les ramifications de ce système parfaitement orchestré, où la misère d’un peuple est le terrain de jeu d'un autre. On ne peut pas dire que l’avenir semble radieux, mais n’est-ce pas là toute la beauté de ce grand drame que nous sommes en train de vivre ?

Or, les Rothschild et Rockefeller ne sont que la face visible de l'iceberg. Ils ne sont pas les seuls à orchestrer ce plan de domination mondiale. Treize familles, les véritables architectes de Vanguard, se partagent le contrôle des multinationales, des sociétés d’armement et des banques qui dirigent ce monde. Et là, on touche au cœur du pouvoir, au vrai club privé auquel personne ne peut accéder.

Voici donc la liste de ces 13 familles qui, dans l’ombre, détiennent Vanguard et, par extension, contrôlent le destin de milliards d'êtres humains :
Rothschild (Europe)
Rockefeller (USA)
Morgan (USA)
DuPont (USA)
Bush (USA)
Carnegie (USA)
Orsini (Italie)
Warburg (Allemagne)
Habsbourg (Autriche)
Kuhn (USA)
Leopold (Belgique)
Sinclair (UK)
Goldman Sachs (USA)

Ces noms ne vous rappellent rien ? Ils sont, depuis toujours, de toutes les guerres. Ces dynasties, certaines ayant des siècles d’histoire, sont les véritables maîtres du monde. Elles ne contrôlent pas seulement des banques ou des entreprises ; elles contrôlent des nations entières. Avec leurs multinationales, leurs sociétés d'armement et leurs conglomérats financiers, elles dirigent l'économie mondiale comme un jeu de Monopoly géant où tout est à vendre… sauf, bien entendu, leur propre pouvoir.

Ces familles ne se contentent pas de prêter de l’argent aux gouvernements. Non, ce serait trop simpliste. Elles s’assurent que cet argent ne pourra jamais être remboursé. Comment ? Par des taux d'intérêt étouffants, des conditions draconiennes et des réformes imposées. Le résultat ? Les pays se retrouvent coincés dans un piège, forcés d'adopter des politiques économiques favorables aux multinationales contrôlées par ces familles.

Une nation, autrefois riche de ses ressources naturelles, devient un vassal moderne. Elle doit vendre son pétrole, ses minerais, ses terres agricoles, et même ses systèmes de santé et d'éducation à ces corporations, qui n’ont qu’un seul but : le profit. Et qui se cache derrière ces corporations ? Toujours les mêmes noms : Rothschild, Rockefeller, Morgan, DuPont, et compagnie. À travers leurs entreprises, ces familles pillent les richesses des nations et réduisent les populations à la pauvreté, et si vous refusez, ils vont font faire la guerre. C’est une forme d'esclavage moderne, où les peuples ne sont plus maîtres de leurs terres, de leurs richesses, ni même de leur destin.

Et voici la cerise sur le gâteau : ces familles jouissent d'une impunité totale. Elles opèrent au-dessus des lois, protégées par leurs connexions, leur argent, et leur pouvoir. Qui pourrait les arrêter ? Elles contrôlent les gouvernements, les médias, les banques, et même les institutions internationales. Vous pensez que les Nations Unies ou le G20 ont un quelconque pouvoir ? Faux. Ce sont des pantins entre les mains de ces élites.

Et elles ne s’arrêtent jamais. Leur objectif est simple : contrôler tout le vivant sur Terre, des ressources naturelles aux êtres humains. Ces familles ont déjà pris le contrôle de l'argent, des marchés, des gouvernements, et maintenant, elles s’attaquent à la nature elle-même. Avec leurs brevets sur les semences, les ressources génétiques, et leurs investissements dans les technologies d'intelligence artificielle et de surveillance, elles cherchent à transformer la planète en un gigantesque camp de travail où chaque ressource, chaque être vivant, est sous leur contrôle.

Leur folie n’a pas de limite. Et pourquoi s’arrêteraient-elles ? Elles ne risquent rien, protégées par les lois qu’elles font elles-mêmes, manipulant les médias pour maintenir les masses dans l'ignorance ou la complaisance. Les peuples, aveuglés par des distractions numériques et des faux semblants démocratiques, ne voient même pas qu’ils sont déjà enchaînés, prisonniers d’un système conçu pour enrichir une poignée d’individus au détriment de l’humanité entière.
Bienvenue dans l'ère du contrôle total, chers lecteurs. Les Rothschild, les Rockefeller, et leurs 11 autres familles complices ne sont pas là pour négocier. Ils ont déjà gagné, et nous, nous sommes les spectateurs désabusés de leur chef-d'œuvre de domination mondiale. Mais ne désespérons pas trop vite, il y a toujours pire. Car derrière ce tableau sombre se cache une armée de jeunes idéologues, tout aussi dévoués à leur cause.

Tout ceci est possible, avant tout, grâce aux Young Global Leaders, ces petits soldats bien dressés du Forum Économique Mondial de Davos, élevés à la sauce néolibérale, prêts à tout sacrifier sur l'autel du globalisme. Ils portent leurs costumes taillés sur mesure comme une armure, prêts à défendre leur vision du monde avec la ferveur d’apôtres en mission. Leur objectif ? Répandre la bonne parole du progrès technologique et de l'interconnexion mondiale, tout en masquant habilement les conséquences dévastatrices de leurs actions sur les sociétés et les économies locales.

Ces jeunes leaders sont formés pour convaincre, persuader, et, si nécessaire, manipuler. Ils ont été élevés dans le grand bain du capitalisme débridé, où l’argent coule à flots et où l’idée même de souveraineté nationale est traitée comme une relique du passé.

Préparez-vous, car dans notre prochain billet, nous plongerons dans l’univers fascinant et effrayant de ces Young Global Leaders, découvrant comment ils jouent un rôle crucial dans la mise en œuvre de cette domination mondiale, tout en faisant passer leurs manigances pour des actes de progrès et d’innovation. Parce qu’après tout, qui n’a pas envie d'un peu de contrôle, n'est-ce pas ?


Phil BROQ.



02 octobre 2024

L'AGENDA MAUDIT : - Acte 2- : LES GAFAM, ARME DU CONTRÔLE TOTAL

Les GAFAM ! Ces cinq lettres résonnent comme une mélodie entêtante dans notre quotidien. On pourrait penser qu’elles représentent l’avenir radieux de la technologie et de l’innovation, mais soyons francs : elles sont plutôt les bâtisseurs d’un Nouvel Ordre Mondial où le contrôle est la clé de voûte. Parallèlement à BlackRock, qui manœuvre dans l’ombre avec l’adresse d’un illusionniste, les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) jouent un rôle clé dans la mise en place de cette toile d’araignée géante.

Ces titans du numérique ne sont pas là pour faire des câlins à l’humanité ; non, leur mission est bien plus pragmatique : ils aspirent à digérer chaque aspect de notre existence. De nos habitudes de consommation à nos préférences politiques, tout devient matière à exploitation, transformant nos vies en une marchandise que l’on peut monnayer. Alors, attachez vos ceintures, car nous allons explorer comment ces géants technologiques se transforment en véritables armes du contrôle total, façonnant le monde selon leur bon vouloir, tout en nous faisant croire que nous avons encore une once de libre arbitre. Préparez-vous, le spectacle ne fait que commencer !

Les GAFAM, avec leurs ressources illimitées et leur contrôle des technologies de l’information, ces entreprises détiennent les clés de la surveillance mondiale. Grâce à leur omniprésence dans nos vies, ils contrôlent non seulement l’accès à l’information, mais aussi les données personnelles de milliards de personnes. Ces données sont utilisées pour influencer, manipuler et finalement contrôler les opinions publiques et les choix politiques.

Ah, les GAFAM… Ces géants du numérique qui, non contents de dominer le marché technologique, sont devenus les bâtisseurs invisibles du futur totalitaire qui se dessine. Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, c’est le quintet infernal qui transforme lentement notre réalité en un immense panoptique digital, un monde où chaque geste, chaque pensée, chaque rêve est soigneusement surveillé, catalogué et monétisé pour servir leurs ambitions… et celles de leurs camarades mondialistes.

Avec leurs ressources illimitées, ces géants contrôlent déjà tous les flux d'information. Vous pensez que vous êtes libre de rechercher ce que vous voulez sur Internet ? Pauvre naïf ! Ce que vous voyez, ce que vous lisez, ce que vous apprenez, tout cela est soigneusement filtré, manipulé et régurgité par des algorithmes conçus par Google et ses acolytes pour façonner vos opinions, influencer vos décisions et, au final, diriger vos pensées. Les GAFAM ne sont pas juste des entreprises ; elles sont les nouveaux dieux, omniprésents et omniscients, dictant les croyances et le comportement de milliards de personnes hypnotisées par leurs smartphones.

Et puis, il y a les données personnelles. Ah, les données, ce pétrole du XXIe siècle ! Ce n'est plus seulement ce que vous achetez, où vous voyagez, mais aussi ce que vous pensez, ce que vous ressentez, ce que vous désirez. Chaque recherche Google, chaque like sur Facebook, chaque achat sur Amazon est une pièce du puzzle que ces entreprises assemblent pour créer une image complète et terrifiante de qui vous êtes. Et croyez-moi, ce n’est pas pour vous offrir une meilleure expérience utilisateur. Non, c’est pour mieux vous contrôler, pour vendre vos choix à ceux qui détiennent les rênes du pouvoir.

Ils savent tout de vous, et ça les amuse. Vous pensez que vous avez une vie privée ? Non, tout cela n’est qu’une illusion délicieusement entretenue. Vous êtes un rat dans un labyrinthe numérique, et eux, les GAFAM, tiennent la carte du labyrinthe, et le font évoluer grâce à cette IA nommée ChatGpt, et dont "Wikimossad" était les prémices. Vous tournez à gauche, vous tournez à droite, mais à la fin, vous arrivez toujours à l’endroit qu’ils avaient prévu pour vous. Et si, par malheur, vous deviez oser vous écarter du chemin tracé, s’il vous prenait l’idée saugrenue de penser par vous-même, eh bien, ne vous inquiétez pas : ils sauront vous remettre dans le droit chemin.

Mais la technocratie des GAFAM ne s’arrête pas à la surveillance. Non, ce serait trop simple. Il ne suffit pas de savoir ce que vous faites. Ils doivent aussi contrôler ce que vous pouvez faire. Avec la numérisation forcée des sociétés, chaque transaction financière, chaque interaction sociale, chaque aspect de la vie humaine est désormais cadenassé dans un écosystème digital qu'ils contrôlent entièrement.

Vous voulez payer vos courses ? Mieux vaut avoir un compte chez Amazon. Vous cherchez un emploi ? Mieux vaut être sur LinkedIn, propriété de Microsoft. Vous voulez discuter avec des amis ? Facebook se charge de tout. Les GAFAM ne vous laissent plus le choix : si vous ne passez pas par eux, vous n’existez tout simplement plus. Et si vous résistez, ils vous bannissent !

Et même l’éducation n’échappe pas à cette prise de pouvoir insidieuse. Avec la mise sous tutelle technologique forcée des écoles et des universités, Google Classroom et Microsoft Teams sont devenus les nouveaux maîtres de l’apprentissage. Adieu, la diversité des pensées. Adieu, la liberté intellectuelle. Les élèves du futur seront formés à suivre les normes économiques imposées par ces géants, devenant des citoyens modèles, dociles, prêts à servir les intérêts du Nouvel Ordre Mondial.

Bienvenue dans la bulle de surveillance totale, où chaque pensée est suivie, chaque action est analysée, et surtout, chaque dissidence est réprimée. Si vous avez l’audace de remettre en question ce système parfait et bienveillant, alors bonne chance pour être entendu, lu ou vu. Vos posts disparaîtront, vos comptes seront suspendus, et votre voix sera noyée dans un océan de censure algorithmique. Le dogme mondialiste ne tolère pas la "divergence". Vous pensez différemment ? Vous êtes effacé.

Mais la beauté de ce système réside dans sa subtilité. Ce n’est pas une dictature brutale avec des camps de rééducation. Non, c’est bien plus raffiné. Vous êtes surveillé, mais vous avez le droit de continuer à vous sentir libre. Vous êtes manipulé, mais on vous fait croire que vous êtes le maître de vos choix. C’est la tyrannie la plus douce qui soit, une tyrannie qui sourit, qui vous caresse, mais qui vous contrôle de la tête aux pieds.

Et le chef-d’œuvre de ce contrôle mondial est Vanguard. Cette société n’est pas une simple entreprise. C’est une boîte noire inaccessible, détenue par les oligarques les plus puissants de la planète. Vous ne pouvez pas acheter d’actions Vanguard. Vous ne pouvez pas y accéder. Pourquoi ? Parce que Vanguard possède tout. Cette société est l’outil ultime des 13 familles pour garder un contrôle absolu sur le monde. Ils contrôlent les plus grandes entreprises de la planète, des géants de l’énergie, de la technologie, de l’agroalimentaire, des banques et des sociétés d’armement.

Avec BlackRock, sa fidèle alliée, Vanguard décide de l’avenir économique de chaque nation. Ils manipulent les marchés financiers, pèsent sur les décisions politiques et s’assurent que personne n’échappe à leur contrôle. Vous pensez que votre gouvernement a le dernier mot ? Non, votre gouvernement, comme tous les autres, est coincé dans la toile d’influence tissée par Vanguard et ses propriétaires.

Et n’oublions pas, tout cela n’est qu’un élément de la grande symphonie de contrôle global, orchestrée par les même élites qui tirent les ficelles. Ces géants financiers, main dans la main avec les GAFAM, veillent à ce que rien ne leur échappe. Ensemble, ils s’assurent que le système fonctionne à la perfection : les GAFAM vous espionnent, vous conditionnent et vous formatent, tandis que BlackRock et Vanguard possèdent chaque centime que vous dépensez.

Et le plus drôle ? Personne ne dit rien. Tout le monde est là, confortablement installé, scotché à son smartphone ou à son ordinateur, offrant joyeusement ses données, ses pensées, ses préférences à ces seigneurs digitaux. Qui aurait cru que l'esclavage pourrait être si… confortable ? Et c’est bien là tout le génie du plan. Vous êtes esclave, mais un esclave heureux, trop distrait par Netflix, trop dépendant de vos notifications Instagram, pour vous rendre compte que vous n’êtes plus libre. "Vous n'aurez plus rien et vous serez heureux", dixit Schwab !

Alors, amusez-vous bien dans ce Nouvel Ordre Mondial digital, mes amis. Continuez à scroller, à acheter, à poster, à liker. Chaque notification est une petite victoire pour eux, un pas de plus vers la soumission totale, tandis que les GAFAM, BlackRock, Vanguard et leurs camarades oligarchiques rigolent tranquillement dans l’ombre, sirotant leur champagne, en admirant leur œuvre parfaite. Le contrôle total ! Oui, mes amis, ce grand chef-d'œuvre de manipulation et d’aliénation est à la fois tragique et hilarant, comme un mauvais film dont on ne peut s'empêcher de regarder la suite, bien que l’on sache déjà comment cela va se terminer...

Mais ne désespérez pas, car ce n’est que le début du spectacle ! Dans notre prochain billet, nous plongerons dans les profondeurs de cette machination tordue pour explorer les ramifications de cette domination insidieuse. 

Nous mettrons en lumière comment ces oligarchies s’entrelacent, créant un réseau complexe de pouvoir et de contrôle qui menace de nous engloutir. Préparez-vous à découvrir les fils cachés qui relient ces acteurs obscurs et leurs manœuvres, car il reste encore tant à déterrer dans cette comédie tragique ! Restez à l'affût, le meilleur est à venir !

Phil BROQ.




01 octobre 2024

L'AGENDA MAUDIT DE LA SECTE DU MAL - Acte 1-

Mes chers lecteurs, préparez-vous à plonger dans un tourbillon d’absurdités et de manigances où les enjeux sont aussi grands que l’avidité de nos élites ! Bienvenue dans cette série de billets qui va vous éclairer sur ce que nous pourrions appeler "L’ Agenda Maudit de la Secte du Mal". Un titre qui, avouons-le, n’est pas sans un certain humour noir.

Dans le premier acte, nous explorerons comment des institutions comme l’ONU, l'OMS, le Forum Economique Mondial et des géants financiers tels que Black-Rock sont devenus les architectes d’un plan qui ne vise rien de moins que le contrôle total de nos vies et l'asservissement de tous. On parle de mettre en place un véritable empire de l’absurde, où la souveraineté nationale se plie comme une serviette sur une table de banquet pour nos élites.

Ensuite, nous entrerons dans le royaume technologique des GAFAM, ces titans numériques qui, avec un clic, transforment nos vies en un vaste laboratoire d’expérimentation. Qui aurait cru que la quête de la commodité quotidienne nous mènerait tout droit vers une surveillance sans précédent ?

Puis, nous décortiquerons les stratagèmes des Rothschild et de leurs treize familles complices, véritables marionnettistes tirant les ficelles dans l’ombre. Ces architectes du mal, invisibles sur les pages de Forbes, orchestrent un plan séculaire d’une précision diabolique. Leur arme favorite ? La dette, cette chaîne dorée qui transforme les nations en esclaves dociles. Chaque guerre, chaque crise économique, est un coup de pinceau dans leur chef-d’œuvre occulte. À ce niveau de richesse et d'influence, leur jeu se joue dans une autre dimension, où même les milliardaires ne sont que des pions sur leur échiquier.

Dans notre quatrième acte, nous dévoilerons leurs maîtres d'œuvre : les milliardaires "philanthropes". Ces visages publics de la bienfaisance moderne, tels que Bill Gates, Elon Musk et Jeff Bezos, incarnent l'idéale couverture pour des manœuvres plus sombres. Sous les projecteurs, ils sauvent le monde avec un sourire éclatant ; dans les coulisses, ils exécutent scrupuleusement les directives de leurs mentors invisibles. Leur pouvoir ne réside pas seulement dans l’argent, mais dans leur capacité à masquer un contrôle global sous une façade de charité et d'innovation.

Puis viendra le tour de leurs œuvres avec leurs fondations méphitiques. Ces entités soi-disant philanthropiques, comme la Fondation Bill & Melinda Gates ou la Rockefeller Foundation, sont les outils avec lesquels ils façonnent le monde à leur image. Officiellement dédiées à la santé et au bien-être global, elles cachent toujours des projets aux conséquences éthiques douteuses. Ces fondations ne paient évidemment pas d’impôts, échappent à toute régulation, et se délectent d’une opacité qui ferait rougir n’importe quel gouvernement digne d'Al Capone. Elles ne servent qu'un seul maître : l'Agenda Maudit des 13 familles.

Et pour notre sixième acte, nous exposerons leurs bâtisseurs : les "Young Global Leaders". Ces jeunes loups, soigneusement formés et triés par le Forum Économique Mondial, sont les maçons de ce monde dystopique en devenir. Ils n'ont pas encore le poids de leurs aînés, mais ils façonnent déjà l'avenir, implantant discrètement les valeurs et les idéologies qui permettront à cette machine infernale de continuer à tourner. Leur rôle ? Bâtir brique par brique, un monde où liberté individuelle et vie privée ne sont plus que des reliques du passé.

Et enfin, nous conclurons notre voyage dans l’obscurité avec une analyse de l’asservissement de l’humanité, un plan parfaitement orchestré, où chaque note est soigneusement réglée pour que le concert de la servitude se déroule sans accroc, en coulisse de cette pièce jouée par la Secte du Mal.

Alors, préparez-vous à déguster cette série sur le cynisme et l’absurde, car nous allons nous plonger tête la première dans cet univers fascinant et dérangeant. Restez attentifs, car le spectacle ne fait que commencer !

Mais si vous pensiez que ces réflexions sur l’absurdité du monde étaient un simple divertissement, détrompez-vous ! Toutes ces analyses croustillantes et révélations sur l’agenda de la secte du mal, ainsi que ses manigances, se trouvent dans ma série de livres intitulée "Chroniques amères d'un monde à l'agonie", prêts à illuminer les esprits obscurcis par les notifications incessantes de vos smartphones et le poids écrasant de vos factures. Oui, ces analyses littéraires sont à votre disposition sur le site thebookedition.com à cette adresse :

https://www.thebookedition.com/fr/34715_philippe-broquere

Et en attendant de vous compter parmi mes soutiens, voici en détail ce qu'est cet Agenda Maudit ! 

Le Pacte pour l'Avenir, l'Agenda 2030, les actions de l'OMS, de l'Union Européenne, et la montée en puissance de BlackRock, des GAFAM et des dynasties financières telles que Rothschild et Rockefeller ne sont que les instruments d’un plan bien plus vaste. Derrière ces initiatives, une stratégie sombre se dessine : supprimer les souverainetés nationales et imposer un nouvel ordre mondial fasciste, dirigé par une poignée d’individus et de conglomérats qui, grâce à une dette fictive, parviennent à enfermer les peuples dans un esclavage moderne. Ce plan est soutenu par des figures-clés, des politiciens zélés comme Emmanuel Macron et une génération de Young Global Leaders, formée pour servir ces intérêts mondialistes.

L’ Agenda 2030 est vendu comme une solution pour "éradiquer la pauvreté" et "sauver la planète", mais en réalité, il s’agit d’un plan machiavélique pour imposer une dictature de la dette. Les Objectifs de Développement Durable (ODD), qui semblent sur papier des promesses de justice sociale, ne sont qu’un mécanisme de contrôle sophistiqué. Pour financer ces projets soi-disant humanitaires, les pays, notamment les plus pauvres, se retrouvent contraints d’emprunter massivement auprès d’institutions financières contrôlées par des élites privées, comme le Fonds Monétaire International (FMI), la Banque Mondiale, et bien sûr les banques d’affaires détenues par les dynasties Rothschild et Rockefeller.

Évoquons ensemble la dette fictive, ce chef-d'œuvre des élites financières ! Quel génie ! Imaginez une arme tellement subtile, tellement élégante, que ses victimes ne la voient même pas venir. Pas besoin de chars d'assaut ni de coups d'État. Non, ces méthodes-là sont bien trop grossières. Pourquoi s’embarrasser de telles brutalités quand on peut tout simplement gonfler une bulle de dette artificielle et regarder les gouvernements se noyer dans les intérêts composés ?

Les Rothschild, les Rockefeller, et consorts ont vraiment perfectionné l'art de la soumission par la dette. C’est simple : vous prêtez de l’argent à un pays, en sachant très bien qu'il ne pourra jamais rembourser. Le piège se referme doucement, mais sûrement. Le gouvernement, tout heureux de recevoir ces montagnes d'argent, signe les contrats les yeux brillants, sans se rendre compte qu'il est en train de vendre son âme. Et voilà, une fois endetté jusqu’au cou, ce pauvre pays devient un jouet, un pion dans le grand échiquier mondial. Tel que nous l'a imposé Macron...

Adieu, souveraineté nationale. Place à la soumission complète. Les élites n’ont même pas besoin de lever le petit doigt pour que les gouvernements, réduits à de simples exécutants, commencent à privatiser leurs ressources naturelles. Du pétrole au lithium, tout est mis en vente au plus offrant. Forcément, les acheteurs ? Toujours les mêmes conglomérats internationaux, ces charmantes entreprises qui siègent confortablement dans les salons feutrés des grandes capitales mondiales.

Et ce n’est que le début ! L’étape suivante ? "Réformer" les systèmes de protection sociale. Parce que, bien sûr, protéger les citoyens, c'est trop coûteux ! Les pensions, les retraites, les hôpitaux publics... Il faut réformer tout ça, c'est-à-dire démanteler, brader, privatiser. On dégraisse l'État, on réduit les dépenses sociales, et les citoyens n'ont plus qu'à compter sur le marché libre. Un marché, évidemment, contrôlé par ceux qui ont provoqué cette crise.

Mais la cerise sur le gâteau, c’est l’ouverture totale des marchés. Après tout, pourquoi un pays aurait-il besoin de protéger ses industries locales ou ses travailleurs quand les multinationales peuvent tout gérer pour lui ? L’agriculture ? Importons tout. L’industrie ? Délocalisons. Le pays devient un terrain de jeu pour les conglomérats, un supermarché à ciel ouvert où tout est à vendre, sauf peut-être la dignité nationale et encore, ça reste négociable.

Et tout ceci, mesdames et messieurs, avec une dette fictive, un simple tour de magie comptable. Une bulle qui n’existe que dans les livres des banques mais qui parvient à mettre des nations à genoux sans qu'une seule goutte de sueur ne perle sur le front des élites. Pourquoi prendre le risque d’une guerre quand on peut tout avoir avec un clic de souris sur une feuille Excel ?

Quel spectacle ! Les élites regardent tout cela, amusées. Les gouvernements rampent, quémandent une restructuration de leur dette, suppliant pour un peu plus de temps. Mais non, le jeu est trop amusant pour s’arrêter là. Ils appuient un peu plus, juste pour voir jusqu’où un pays peut plier avant de rompre. Et quand il est à terre, ils lui vendent la solution : plus de dettes, plus de privatisations, plus de soumission. Le cycle continue, et les profits — ah, les profits pour lesquels ils sont prêts à vendre leurs âmes ! — continuent de gonfler, tout comme cette bulle de dette fictive qui, finalement, est peut-être la seule chose réelle dans ce grand cirque mondial.

Le "pacte pour l'avenir", une nouvelle folie mondialiste, qu'ils ont une fois encore décidé pour nous, ou plutôt contre nous, est très simple : adopté à New York par les Nations-Unies, 193 nations, par une procédure appelée "la procédure du silence", est l'aboutissement du traité initial de l'OMS qu'elle n'avait pas réussi à faire adopter. Voici, en substance, un tout petit aperçu du "bonheur carcéral" qui nous attend :

- Une structure de pouvoir entièrement numérique et maximisée par l'IA, pour le contrôle total des masses et géré uniquement par ces cancrelats. Pour son fonctionnement, bien entendu, tout le monde devra disposer d'une ID numérique et biométrique. De plus, afin d'éviter de faire émerger la vérité sur ce "pacte de l'avenir suicidaire", toutes personnes aux opinions dissonantes seront étiquetées avec un historique conservé et utilisable à tout moment. Si le secret des affaires reste d'une opacité sans nom, celui sur le secret de vos pensées sera en "Open bar" pour ces truands de la dictature. Et donc, les auteurs d'informations "non approuvées", c'est à dire celles qui informent véritablement sur leurs méfaits, seront largement punis par le système, aidé en cela par l'I.A. Et ces sanctions comprendront tout un panel d'incération et d'ostracisation du candidat à la liberté, à savoir, le blocage de comptes bancaires, interdiction de certains achats, interdiction de certains déplacements - avion, voiture, train, et surement interdiction d'utiliser le net ! Voilà, à présent, vous savez ce qu'est le Pacte Pour l'Avenir. C'est un pacte de plus, entre personnes malfaisantes bien connues de tous et vivant dans l'opulence et l'impunité pour imposer leur tyrannie technologique et spirituelle.

Et tout cela avec un sourire bienveillant, bien sûr. Parce que ces élites, ne l’oublions pas, ne font que "travailler pour un monde meilleur", où "vous n'aurez plus rien mais serez heureux !". Quelle chance n'est-ce pas de payer des impôts et des taxes en tous genres pour entretenir ce cancer mondialiste, basé sur le mensonge, la corruption et la punition violente des opposants.

L’un des acteur-clés dans ce processus de corruption à outrance est Black-Rock, la plus grande société de gestion d’actifs au monde. Black-Rock, avec ses 9 000 milliards de dollars d’actifs sous gestion, a infiltré chaque coin de l’économie mondiale. Non content de gérer des fortunes colossales, Black-Rock utilise ses algorithmes d’intelligence artificielle pour influer sur les décisions des gouvernements et des entreprises, façonnant ainsi l'économie mondiale à son image. Et sanctionnant ceux qui désobéissent. Black-Rock n’est pas un simple gestionnaire d’investissements : c’est un véritable pouvoir dans l'ombre, capable de décider quel secteur prospère ou s'effondre, contrôlant littéralement d'une main de fer la destinée des nations par ses participations massives dans les entreprises stratégiques. Sans omettre la corruption des membres des instances internationales.

BlackRock et Vanguard, ces deux titans insatiables qui façonnent le destin du monde. D'un côté, BlackRock, le maître de la finance moderne, qui tisse méthodiquement sa toile de contrôle sur les gouvernements et les économies mondiales. De l'autre, Vanguard, cette mystérieuse société, presque fantomatique, tenue par les oligarques et grandes familles comme les Rothschild et les Rockefeller, pour laquelle aucun commun des mortels ne peut acheter d’actions. Il n'y a pas de marché public pour Vanguard, et pour cause : Vanguard est le marché. C’est la main invisible qui contrôle tout, sans jamais se montrer. Ils ne veulent pas être achetés, parce qu’ils ont déjà tout acheté.

Donc, Black-Rock. Ce géant de la gestion d’actifs qui dépasse le PIB de la plupart des nations. Grâce à des connexions privilégiées avec des personnalités politiques et des institutions internationales, cette succursale du mal a trouvé le moyen de s'infiltrer dans tous les coins et recoins des gouvernements. Mais comme tout grand stratège, Black-Rock ne le fait pas tout seul. McKinsey, cette entreprise de conseil omniprésente dans les pays où la corruption règne en maître, est son fidèle bras droit. C'est McKinsey qui orchestre les réformes économiques et politiques nécessaires pour ouvrir la voie à l’empire financier de son président, Larry Flint. L'ONU, le FMI, L'OMC, l'OMS, etc. N'ont plus qu'à valider ce qui se décide en conseil d'administration, afin de donner le vernis de la légalité et utiliser ensuite les milices d'état à l' envie.

Ils imposent des politiques d’austérité sans l'ombre d'une hésitation. Leurs conseils ? Toujours les mêmes : coupez dans les services publics, privatisez, réduisez les protections sociales. C’est un plan classique de domination par la dette, mais à une échelle mondiale. Et pourquoi cette austérité ? Pas pour sauver les économies, non, mais pour permettre à Black-Rock d'acquérir les infrastructures publiques à moindre coût. On commence par "conseiller" les gouvernements de vendre leurs actifs, leurs entreprises d'État, leur eau, leur électricité, sous prétexte de combler le déficit budgétaire. Ensuite, BlackRock arrive en "sauveur", prêt à tout racheter pour une bouchée de pain.

Mais attendez, tout cela n'est que la première couche du gâteau.

Le vrai pouvoir, celui que personne ne voit mais qui contrôle tout, c’est Vanguard. Vanguard, c'est l'ombre derrière chaque décision, la société des oligarques, qui détient des parts dans toutes les entreprises qui comptent, dans toutes les banques, et dans tous les secteurs stratégiques. Mais vous, pauvre mortel, ne pourrez jamais acheter une action Vanguard, parce que Vanguard ne se vend pas. Ils n'ont pas besoin de votre argent ; ils ont déjà le vôtre. Ils volent votre argent pour vous le reprêter ensuite, en attendant que vous leur remboursiez avec intérêts, bien entendu !

Ce n’est plus un secret : Vanguard détient Black-Rock. Et donc, toute cette vaste machinerie de privatisation, de soumission des États, d'endettement global ? Tout cela revient, en dernier recours, à Vanguard et ses maîtres oligarchiques. Ces familles historiques, toujours discrètes mais omniprésentes, sont les véritables architectes du plan mondial. Leur projet ? Contrôler non seulement les gouvernements, mais par-dessus tout, la totalité du vivant sur Terre.

Et c'est là que leur folie sans limite se dévoile. Ce n'est plus seulement une question de contrôler l'économie, non, ce serait trop facile. Ces élites veulent tout contrôler, absolument tout, jusqu'au dernier souffle d’air que vous respirez. Il ne suffit plus de posséder vos infrastructures ou de dicter vos politiques économiques, il leur faut aussi posséder la nature, brevetée, privatisée, sous leur contrôle absolu.

Imaginez un monde où chaque graine, chaque goutte d'eau, chaque ressource naturelle serait protégée par des brevets détenus par ces mêmes groupes. Si vous voulez cultiver votre terre ? Vous paierez une redevance. Si vous voulez boire de l'eau ? Préparez vous à être facturé par des multinationales dont Black-Rock et Vanguard possèdent les parts majoritaires. Le contrôle est total, de la terre jusqu’au ciel. Et toutes les institutions que l'on nous présente comme unies pour "un monde meilleur"

Et bien sûr, tout cela est fait avec une impunité absolue. Qui oserait se dresser contre eux ? Ils contrôlent les médias, les gouvernements, et même les organisations internationales. Chaque tentative de dénonciation est soit étouffée, soit dénigrée comme une "théorie du complot". Et ils le savent. Ils savent qu'ils sont intouchables, parce qu’ils ont bâti un réseau si complexe de connexions et d'influence, que personne ne peut remonter jusqu'à eux. Vanguard, c'est la boîte noire de l'élite mondiale. Personne ne sait exactement qui en détient les parts, mais tout le monde sait qui en tire les ficelles.

Et quand vous ajoutez à cela des agents zélés comme Emmanuel Macron et d'autres Young Global Leaders, formés et placés là précisément pour exécuter ce plan global, vous obtenez un système parfait. Ces leaders ne sont pas au pouvoir pour leurs peuples, non. Ils sont là pour ouvrir les portes des États, pour faciliter l’arrivée de Black-Rock et Vanguard, pour s’assurer que chaque pays cède ses richesses, ses libertés, et, ultimement, son autonomie.

Et bien sûr, tout cela se fait sous un masque de bienveillance. On vous dit que c'est pour "réduire les inégalités", "sauver la planète", "réformer les systèmes inefficaces". Mais la réalité est beaucoup plus sombre. L'impérialisme financier de Vanguard et Black-Rock n'a qu'un seul but : accumuler le pouvoir jusqu'à ce qu'il n'en reste plus une miette à quiconque d’autre. Les États deviennent des marionnettes, manipulées à travers la dette et la dépendance financière, et les peuples se retrouvent coincés dans un piège invisible, où chaque action, chaque produit, chaque ressource est contrôlée par une poignée d’individus.

Leur folie, leur soif de contrôle, n’a pas de limite. Ils savent qu’ils ne risquent rien, et ils avancent sans honte, sans gêne, convaincus que personne ne pourra jamais les arrêter. Le futur ? Une planète gouvernée non par des lois démocratiques, mais par des algorithmes financiers et des groupes d’intérêts privés. Et nous, spectateurs impuissants, ne faisons que suivre le spectacle, fascinés par leur audace.

Et pourquoi s'arrêteraient-ils ? Ils ont déjà tout : les banques, les multinationales, les gouvernements. Et bientôt, ils auront nos âmes. Oui, mes amis, on pourrait penser qu’avec un tel empire, un soupçon de scrupule pourrait les freiner, mais que nenni ! Pour eux, c'est un peu comme un buffet à volonté, où chaque plat est plus savoureux que le précédent. Pourquoi se contenter de contrôler nos portefeuilles quand ils peuvent également régner sur notre esprit et nos désirs les plus profonds ?

Et c'est là que nos chers GAFAM entrent en scène, tels des héros aux capes scintillantes, mais avec des intentions qui feraient rougir le plus machiavélique des tyrans. Ces géants technologiques sont devenus les armes fatales du contrôle total, et ils ne s’en cachent même plus. Alors restez bien accrochés, car demain, nous plongerons dans cet univers fascinant, où chaque clic, chaque "j’aime", et chaque donnée que nous offrons sur un plateau d’argent les rapprochent un peu plus de leur objectif ultime : capturer notre essence même. Ne manquez pas la suite de ce captivant feuilleton, car croyez-moi, ce n’est vraiment que le début de la grande saga de notre soumission joyeusement acceptée !

Phil BROQ.






30 septembre 2024

HADDAD ET ELNET : L'ART DES BI-NATIONAUX POUR RUINER LA FRANCE

Haddad, ministre délégué chargé de l'Europe. Le genre de personnage qui illustre à merveille la façon dont la France est devenue le terrain de jeu favori des intérêts étrangers et surtout israélites. Bi-national (juif séfarade tunisien), et toujours prêt à servir, mais pas vraiment là où on l'attend. Sa loyauté ? Elle ne va pas aux citoyens français, évidemment. Haddad, c’est le type qui, en douce, manipule les coulisses politiques de la France au profit d’intérêts étrangers bien établis, bien mafieux et utilisant tous les ressorts de la corruption pour atteindre ses buts. Un pion, certes, mais un pion qui maîtrise parfaitement l’art de détourner l’attention tout en aidant ses amis à siphonner ce qui reste des ressources nationales.

Benjamin Haddad, lui, fait son petit bonhomme de chemin dans ce système. Il sait parfaitement sur quel pied danser pour plaire à ses maîtres. Ne nous voilons pas la face : ELNET, avec sa façade respectable, s’assure que les dirigeants français ne puissent jamais remettre en question leur allégeance. Ce qui compte, c’est qu’Israël garde son emprise. Et Benjamin Haddad, en fidèle exécutant, s’en fait le garant. Cet homme-là ne se contente pas de jouer les seconds rôles. Il grimpe, imperturbable, dans les cercles du pouvoir. Et qu’a-t-il pour lui ? ELNET, évidemment, une organisation qui l’a pris sous son aile et qui s'assure que ses intérêts priment sur ceux de la nation. Le tout, bien sûr, avec l’argent du contribuable. Ça fait mal ? Attendez, ce n'est que le début.

Et que dire alors de son partenariat discret avec ELNET, ce groupe de lobbying pro-Israël qui, sous couvert de "renforcer les relations entre l’Europe et Israël", opère en réalité comme une pompe à fric. Et devinez qui finance leurs petites sauteries, leurs voyages de parlementaires, et leurs rencontres si "constructives" ? Eh oui, les contribuables français. Le même contribuable qui peine à voir ses services publics fonctionner correctement parce qu’une partie de son argent part... ailleurs. Et si on vous disait que tout cela relève bien plus du chantage international que de la diplomatie classique ? Accrochez-vous, parce que la pilule est difficile à avaler.

ELNET, fondée en 2007, ne fait pas vraiment dans la discrétion. C'est l'arrogance de l'impunité qui les guide. Enfin, sauf quand il s’agit de parler de ses financements et de ses véritables objectifs qui n'ont rien d'humanitaires, loin s'en faut. ELNET, c’est l’art de la façade ! Des dîners, des colloques, des voyages tous frais payés pour nos décideurs politiques, le tout au nom d’un dialogue "constructif", mais toujours avec nos impôts, et pour Israël. 

Alors oui, ELNET, sur le papier, c’est un groupe de lobbyistes tout ce qu’il y a de plus respectable. Après tout, ils ne font "qu’aider" à renforcer les liens entre la France et Israël. Mais en vérité, ELNET agit comme une véritable machine de chantage, manipulant nos élus en coulisses pour que la France reste bien sage. La sécurité ? La paix ? La démocratie ? Des mots creux utilisés pour dissimuler l’influence tentaculaire qu’exerce cette organisation sur la politique française.

Et comment ELNET garde-t-il une telle mainmise ? Le chantage, bien sûr. Souvenez-vous de l’affaire Epstein. Ce bon vieux Jeffrey ne se contentait pas d’organiser des fêtes extravagantes, il était aussi un agent du Mossad, manipulant politiciens et élites à coup de photos compromettantes. Le lien avec ELNET ? Évident. Cette organisation fonctionne avec les mêmes méthodes, jouant des failles humaines et des petites faiblesses pour s'assurer que leurs marionnettes politiques, à l'instar de Haddad, obéissent sans broncher.

Ces organisations savent jouer sur plusieurs tableaux. Elles se présentent sous un jour angélique, défendant des valeurs universelles, tout en utilisant des méthodes dignes des plus grands réseaux mafieux. Le tout, sous couvert de légalité, bien sûr. Et si quelqu’un a l'audace de trop poser de questions, il finit vite par se retrouver mis à l’écart, voire derrière les barreaux, comme Hervé Ryssen. Un peu trop curieux ? Un peu trop insistant ? Pas de problème, on l’enferme, et le silence est garanti.

Bruno Le Maire, lui, en a bien profité en 2023 de ELNET, en se retrouvant bien confortablement installé avec des leaders israéliens, qui ont noyauté totalement notre pays. Mais la vraie question est de savoir pourquoi diable les contribuables français paient-ils encore pour ce cirque diplomatique qui ne sert en rien leurs intérêts ? Ah, mais attendez, c’est peut-être parce que les français, à cause d'Hollande sont rackettés directement à la source, sans pouvoir ni l'empêcher, ni choisir ce qu'ils financent avec leurs impôts. 

Vous croyez que tout cela est un délire conspirationniste ? Demandez donc à Jean-Luc Mélenchon ce qu’il en pense. Oh, mais attendez… on ne veut pas qu’il en parle trop fort, n’est-ce pas ? Quand il a osé critiquer la nomination d’Haddad, la machine médiatique s’est immédiatement mise en marche pour le faire taire. Son crime ? Avoir souligné que ce ministre était "acquis à la politique de Netanyahu". Car oui, Haddad n’a jamais caché sa proximité avec l’agenda israélien, et ELNET veille au grain pour que cette allégeance ne soit jamais remise en question.

Mélenchon l’a pourtant dit haut et fort : "Le ministre désigné pour s’occuper de l'Europe est acquis à la politique de M. Netanyahu. Or, si l'Europe décidait de ne plus livrer d'armes européennes, la guerre s'arrêterait. Si l'Europe stoppait les rapports commerciaux, il ne pourrait pas tenir." Voilà des mots que personne n'ose prononcer sur la scène politique, et pour cause. La vérité fait mal. Derrière cette déclaration se cache une réalité dérangeante : la France est prisonnière d'un réseau d'influence où les intérêts israéliens passent avant ceux de la nation.

En fait, Haddad et ELNET sont les symboles d’une ère où la souveraineté nationale n’a plus aucun sens. Nous sommes en plein dans le règne de l'influence étrangère, et personne n'ose lever le petit doigt. Parce que le système est verrouillé. Parce que ceux qui osent parler sont rapidement neutralisés.

Alors certes, on nous dira qu’ELNET ne reçoit pas de subventions directes de l’État. Mais qu’en est-il des financements indirects ? Des donations privées ? Voilà qui mériterait un peu plus de lumière, vous ne trouvez pas ? Parce qu’en fin de compte, c’est toujours l’argent du contribuable qui finit par nourrir ces entreprises d’influence déguisées en ONG. Et tout cela se fait dans un flou artistique soigneusement entretenu. Pas étonnant que la méfiance monte chez les citoyens. Qui peut encore croire que ces organisations œuvrent pour le bien commun lorsqu'elles opèrent avec une opacité aussi criante ?

La France, ce mille feuille de mafieux, inconnus du grand public, stationnés à tous les postes clés et ses politiciens tous plus véreux les uns que les autres, cette grande puissance souveraine (on y croit encore) est clairement infiltrée, voire ficelée jusqu’à la moelle, par des réseaux mafieux et quasi terroristes, qui n’ont plus aucun souvenir de ce que signifie "servir la nation". Mais heureusement le truand Laurent Fabius fait passer toutes les lois iniques, allant à l'encontre non seulement de la constitution mais des intérêts de la France ! D'origine juive, lui aussi, il a eu une longue carrière délétère dans la vie politique française, ayant été Premier ministre, Ministre des affaires étrangères, et actuellement Président du conseil constitutionnel depuis 2016 (Quand même, Merde ! comme dirait l'inénarrable Manuel Valls) !! Mais grâce à ces amis, bien qu'il ait fait l'objet de nombreuses controverses et d'enquêtes, aucune n'a jamais conduit à des condamnations pénales directes contre lui. "Allez Hop! Circulez y'a rien à voir !!" Tout est légal du moment que ça touche la "Famille" !

Ah, la légalité ! Ce mot si pratique. ELNET et ses semblables, comme le CRIF, la LDJ, ou encore B'nai B'rith, sont des experts dans l’art d’opérer en toute "légalité". Associations, ONG, lobbying ? Appelez ça comme vous voulez. Ils ont trouvé le moyen de rester dans les clous légaux, à condition de ne pas trop creuser, tout en faisant passer leurs intérêts israélites avant tout et surtout en pillant les caisses de l'état. Et pourquoi pas, après tout, puisque la France est archi-corrompue depuis des décennies, pourquoi ne pas en profiter puisqu'ils ont l'impunité totale grâce à leur carte magique "SHOAH" !

Ces organisations hautement toxiques dans l'environnement Français, grâce à cette petite couverture légale et la grande couverture de leur réseau de complices qu'ils font plus ou moins chanter, peuvent influencer sans crainte, jouer au jeu du lobbying avec nos politiciens (corrompus ou menacés, on se demande bien lequel des deux prédomine), et tout ça, sans jamais avoir à faire avec la justice, trop occupée à libérer les violeurs sous OQTF, défendre les assassins illégaux et protéger les pédophiles dans ses rangs. Ils se protègent tous entre eux, évidemment.

On en arrive à une situation où la France, au lieu de défendre ses propres intérêts, les plus élémentaires et vitaux, devient la marionnette d’un État étranger que ce soit le Qatar (avec Sarkozy & Dati) ou alors directement la maison mère avec Israël, c'est la même chose. Et ce ne sont pas les grandes déclarations de nos politiciens qui y changeront quoi que ce soit. Haddad, avec ELNET en embuscade, continue tranquillement son travail de sape, assurant qu'Israël garde sa place au sommet de l'agenda diplomatique français. Et si la France veut jouer un rôle indépendant dans le monde ? Il va falloir commencer par couper les grosses ficelles qui manipulent notre pays depuis des décennies… Pensez à Attali, arrivé en 1981 avec Mitterrand et regardez objectivement le déroulé de cette engeance sioniste...

Ce qu’il faut surtout comprendre, c’est que tout cela n’est pas le fruit du hasard. Le lien entre Haddad et ELNET n’est pas juste une "collaboration fructueuse". C’est un véritable outil de domination. Domination des esprits, des décisions politiques, et, in fine, de notre politique étrangère. Tout cela sous couvert de belles valeurs, de relations bilatérales, et de défense des droits de l’homme. C’est une farce, mais une farce qui coûte cher. Très cher. Elle nous ruine depuis toujours, et détruit tout ce qui reste de justice et de liberté depuis des années. Nous sommes, je le glisse comme ça, le seul pays au monde où il est interdit de remettre en cause la SHOAH, et pire, de faire des recherches sur la seconde guerre mondiale... Dixit la loi Gayssot. Demandez-vous pourquoi ?! Qui est le marionnettiste d'après vous ?

Ces groupes, parés de leurs discours sur la "démocratie", la "paix", ou encore la "sécurité", détournent subtilement des millions d’euros de nos impôts pour financer ce que l’on peut appeler sans gêne l’entretien d’un autre État ou plutôt une colonie sanguinaire et suprématiste. Un État où, soit dit en passant, 80% de la population exerce dans des professions libérales. Mais bien sûr, tout cela se fait dans la légalité la plus totale. Pourquoi ? Parce qu’ils sont malins, retords mais malins, et savent comment s’assurer que les politiciens français restent bien dans leurs petits souliers (photos, vidéos, chantages et corruption sont leurs mamelles). Et si jamais l’un d’entre eux fait mine de vouloir ouvrir sa grande bouche, il se souviendra certainement d’un certain Epstein, cet agent du Mossad, dont les soirées arrosées et les photos compromettantes sont devenues une arme de chantage plus qu’efficace. Une véritable mafia, en somme, qui n’a besoin ni d’enfreindre la loi, ni de menacer ouvertement car le chantage, la corruption et la manipulation font tout le travail.

Ce qui est fascinant avec ces organisations israélo-sionistes, c’est qu’elles ne reçoivent pas toujours de subventions directes de l’État. Ah non, bien sûr que non, ça serait trop flagrant ! Sauf pour les 66% de défiscalisation si vous allez manger au diner du CRIF ou si vous aider TSAHAL...  66% ! déjà le chiffre devrait vous faire tiquer, mais si en plus vous saviez que nos propres soldats doivent s'acheter leurs propres gilets pare-balles, on touche le fond ! Mais elles profitent aussi allègrement de financements indirects, de dons privés mystérieusement très généreux, tout en s’assurant que la transparence, cette notion pourtant essentielle en démocratie, reste un concept aussi flou que possible. Demandez donc à un citoyen moyen ce que fait réellement ELNET avec ses fonds, et vous verrez un haussement d’épaules désabusé. Parce que tout est savamment orchestré pour que le grand public ne voit jamais rien.

Et c’est là toute l’efficacité de leur stratégie. Pendant que vous vous demandez pourquoi les routes de votre ville sont en ruine et pourquoi les hôpitaux manquent de moyens, pourquoi les vieux perdent leurs retraites et les jeunes leurs allocations, ELNET et consorts organisent des dîners pour décider, entre autres, de l’avenir des relations entre la France et Israël. Relations qui, par un étrange hasard, semblent ne jamais aller dans le sens des intérêts français.

En clair, combien d'argent ils vont nous prendre pour garder le silence sur les agissements de nos politiciens plus préoccupés par le renflement brun de leur rondelle, que par le suicide économique imposé par Bruxelles. Par ailleurs, je vous signale, encore, pour ceux qui l'ignorerait qu'il existe aussi le Conseil Juif Européen... Le saviez-vous, qu'Israël est un pays européens dorénavant ? Mais si voyons, ils sont aussi à l'Eurovision !

Il suffit de regarder les faits bruts, sans grande clairvoyance, ni complotisme. Ces organisations fonctionnent ni plus ni moins comme des entreprises mafieuses. Chantages, extorsions, violences sont leur quotidien. Mais bien sûr, tout cela dans un cadre "légal". La LDJ se permet d’organiser des actions ultra violentes contre les Français, tout en restant intouchable. Ils soutiennent "theinglouriousbasterds.com", qui se donne pour mission de traquer et faire punir les personnes responsables de propos antisémites sur le web. Ce n'est pas l'arrêt du racisme qu'ils veulent, ce sont des sous, du fric net d'impôts grâce à une pseudo justice française à leurs ordres. En clair, ce sont des truands, racistes et suprématistes affichés qui terrorisent ceux qui veulent dire la vérité.

Vous connaissez le Betar ? Un simple mouvement de jeunesse sioniste qui, sous le couvert de l’activisme, exacerbe les tensions en France en utilisant systématiquement la violence. Fondé en 1923 par Vladimir Ze’ev Jabotinsky, le Betar est lié au parti politique israélien "Likoud" en France, sioniste révisionniste, qui prône la création d’un État juif en Palestine, mandataire sans condition ni compromis. Les membres du Likoud ont des relations avec des organisations juives en France, telles que le KKL (Keren Kayemeth LeIsrael), un fond qui participe au "reboisement" d’Israël. Reboisement nécessaire après le "no mans land" que leurs colonies meurtrières et sanguinaires ont créé pour s'installer. La bonne blague pour détourner notre argent légalement !

Puis, il y a le B’nai B’rith ? Ah, eux, ils sont encore plus malins. Ils manipulent directement la mémoire de la Shoah pour justifier des politiques israéliennes douteuses, sans jamais avoir à répondre de leurs actions. C'est de la souffrance, vous comprenez ?! Ce sont tous des champions de la manipulation, toujours prêts à utiliser la carte "Shoah", qu'aucun d'eux n'a jamais vécu, mais très utile pour excuser leurs manœuvres délétères présentes.

En conclusion, il est clair que nous assistons à une véritable farce bien orchestrée où la France, autrefois fière de sa souveraineté, n'est plus qu'un terrain de jeu pour des mafias déguisées en associations et ONG "respectables". Sous couvert de "relations bilatérales", ce sont en réalité des réseaux étrangers qui tirent les ficelles, vidant les caisses de l'État Français et manipulant nos dirigeants avec une aisance effrayante. Et tout cela dans une légalité savamment ficelée, bien entendu. Nos impôts ? Ils financent les petites sauteries diplomatiques et les voyages de nos élites corrompues, pendant que les services publics s'effondrent sous nos yeux. Mais ne vous inquiétez pas, c’est tout à fait légal ! Un fléau bien enraciné qui, sous prétexte de sécurité et de démocratie, se moque ouvertement de la France et de ses citoyens. Il y a actuellement, à l'Assemblée Nationale, de très nombreux députés ayant la double nationalité franco-israélienne, est-ce que notre pays peut vraiment rester impartial dans ce cas de figure ?

Pour couronner le tout, ceux qui osent lever le voile sur cette mascarade se voient muselés, emprisonnés ou réduits au silence par un système complice. Mais il est peut-être temps de sortir de cette torpeur et de comprendre que cette mafia invisible, soutenue par des élites véreuses, est en train de détruire le pays par l'intérieur. La question n'est plus de savoir "si", mais "quand" cette imposture prendra fin !

Il est temps de dire les choses clairement : la France est devenue un jouet dans les mains d’organisations israélites qui comme toujours agissent dans l’ombre, manipulant nos politiciens, détournant nos impôts, et ridiculisant notre souveraineté nationale. Mais tant que tout se passe "dans la légalité" établie par Fabius et soutenue par ces juges dont on ne peut pas dire les noms, qui osera lever le petit doigt ? Si par malheur vous êtes l'un de ces rares courageux à insister, à gratter sous la surface, vous risquez de finir derrière les barreaux, comme Ryssen. Pendant ce temps, ELNET et ses acolytes continuent leur sale besogne, étouffant toute résistance, saccageant les fondements mêmes de la démocratie française pour mieux la soumettre à leur agenda international.

Alors, Français, il est peut-être temps d'ouvrir les yeux.

Phil BROQ.



Au fait, au regard de cet article, voici une liste, non exhaustive, mais relativement indicative de ceux qui défendent, au même titre qu'Haddad, ces intérêts étrangers, enfin... israélites, qui pillent la France économiquement et spirituellement.

Et demandez-vous surtout pourquoi, si pour certains qui ne sont même pas juifs, ils sont aussi véhéments. Pensez à l'affaire Epstein ou récemment celle de P. Diddy (avec le fils Sarkozy) et vous aurez un début de piste : 

Présidents Français :

  Georges Pompidou
Fonction : Président de la République (1969-1974).
Origine : Son épouse, Claude Pompidou, avait des racines juives. Pensez à la loi de 1973.
  Nicolas Sarkozy
Fonction : Président de la République (2007-2012).
Origine : Sa mère, Esther, est d'origine juive hongroise.
 François Hollande
Fonction : Président de la République (2012-2017).
Origine : Des rumeurs insistantes circulent sur ses origines, mais il n'y a pas de preuve définitive qu'il soit d'origine juive.
Emmanuel Macron
Fonction : Président de la République française depuis mai 2017. 
Origine : Avant de se lancer en politique, Macron a travaillé comme banquier d'affaires chez Rothschild & Cie, où il a été impliqué dans les transactions pour la fusion de la société de produits laitiers Lactalis avec la société de chocolat et de confiserie Nestlé. certains l'accusant d'être trop proche du monde des affaires et des élites financières israélites.

Assemblée nationale :

1. Yaël Braun-Pivet - Présidente de l'Assemblée nationale, d'origine juive.

2. Benjamin Haddad - Député LREM, ancien conseiller à l'Élysée.

3. David Lisnard - Député LREM, ancien maire de Cannes.

4. Hervé Berville - Député LREM, engagé dans les relations franco-israéliennes.

5. Gilles Le Gendre - Ancien président du groupe LREM à l'Assemblée.

6. Sylvain Maillard - Député LREM, favorable à Israël.

7. Jean-Pierre Brard - Ancien député, a exprimé des opinions pro-israéliennes.

8. Bruno Le Maire - Ministre de l'Économie, favorable à Israël.

9. Éric Ciotti - Député LR, a souvent exprimé son soutien à Israël.

10. Laurent Wauquiez - Ancien ministre, favorable aux relations avec Israël.

11. François de Rugy - Ancien ministre, a soutenu des initiatives pro-Israël.

12. Céline Calvez - Députée LREM, favorable aux relations avec Israël.

13. Philippe Gosselin - Député LR, pro-Israël.

14. Olivier Faure - Député PS, a exprimé des opinions sur Israël.

15. Sophie Taillé-Polian - Députée, favorable aux relations avec Israël.

16. Laurent Fabius - Ancien ministre, engagé dans les relations franco-israéliennes.

17. Nathalie Kosciusko-Morizet - Ancienne ministre, a des liens avec Israël.

18. Marion Maréchal - Ancienne députée, favorable aux relations avec Israël.

19. Boris Vallaud - Député PS, favorable à Israël.

20. Jean-Christophe Lagarde - Député UDI, pro-Israël.

21. Jean-Pierre Raffarin - Ancien Premier ministre, pro-Israël.

22. Eric Diard - Député LR, favorable aux relations avec Israël.

23. Patricia Mirallès - Députée, favorable à Israël.

24. Jean-Pierre Dufau - Député, a des relations avec la communauté juive.

25. Laurence Sailliet - Députée LR, favorable aux relations avec Israël.

Sénat :

1. Alain Finkielkraut - Philosophe et membre du Sénat, pro-Israël.

2. Philippe Bas - Sénateur LR, engagé dans les relations franco-israéliennes.

3. Élisabeth Guigou - Ancienne ministre, favorable aux relations avec Israël.

4. Catherine Dumas - Ancienne sénatrice, d'origine juive.

5. Jean-François Rapin - Sénateur, pro-Israël.

6. David Assouline - Ancien sénateur PS, a exprimé des opinions sur Israël.

7. Pierre Louault - Sénateur, soutient les relations avec Israël.

8. Jean-Pierre Sueur - Sénateur, a des liens avec la communauté juive.

9. Muriel Jourda - Sénatrice, engagée dans les relations avec Israël.

10. Hélène Conway-Mouret - Ancienne sénatrice, favorable à Israël.

11. Dominique de Legge - Sénateur, soutient les relations avec Israël.

12. Frédérique Espagnac - Sénatrice, engagée dans le dialogue inter-religieux.

13. Robert Badinter - Ancien ministre, favorable aux relations avec Israël.

14. Nathalie Goulet - Sénatrice, a des liens avec Israël.

15. Pierre Laurent - Sénateur, a exprimé des opinions sur Israël.

Membres du Conseil constitutionnel :

1. Robert Badinter - Ancien garde des Sceaux, il est connu pour son engagement en faveur des droits de l'homme et a joué un rôle clé dans l'abolition de la peine de mort en France.

2. Lionel Jospin - Ancien Premier ministre, il a été nommé membre du Conseil constitutionnel et a contribué à plusieurs réformes importantes.

3. Jacques Attali - Économiste et ancien conseiller de François Mitterrand, il a également été membre du Conseil constitutionnel.

4. Eliane Houlette - Ancienne procureure générale, elle a été membre du Conseil constitutionnel et est reconnue pour son travail dans le domaine juridique.

5. Laurent Fabius - Ancien Premier ministre et ancien ministre des Affaires étrangères, il a également été président du Conseil constitutionnel.

Autres personnalités politiques :

1. Manuel Valls - Ancien Premier ministre, avec des liens familiaux.

2. Jean-Luc Mélenchon - Bien qu'il critique souvent les politiques israéliennes, il a des origines juives.

3. Gil Taieb - Ancien vice-président du CRIF, influence dans le milieu politique.

4. Rachida Dati - Ancienne ministre, a des relations avec la communauté juive.

5. Ségolène Royal - Ancienne ministre, a des relations avec la communauté juive.

6. Nicolas Sarkozy - Ancien président, a de nombreuses relations avec Israël.

7. Dominique Strauss-Kahn - Ancien directeur général du FMI, a des liens avec la communauté juive.

8. Richard Ferrand - Ancien ministre, pro-Israël.

9. Yves Jégo - Ancien ministre, favorable aux relations avec Israël.

10. Frédéric Lefebvre - Ancien ministre, a exprimé son soutien à Israël.

11. Anne Hidalgo - Maire de Paris, a souvent soutenu des initiatives pro-Israël.

12. Laurent Cathala - Ancien député, pro-Israël.

13. Patrick Balkany - Ancien député, pro-Israël.

14. David Douillet - Ancien ministre, a exprimé son soutien à Israël.

15. Jean-François Copé - Ancien président de l'UMP, pro-Israël.

16. Éric Zemmour - Candidat à la présidentielle, a des opinions pro-israéliennes.


Voici les sources, notes et références de cet article, au cas où la 17ème chambre correctionnelle prendrait la mouche pour encore et toujours défendre systématiquement ces mafieux en bande très organisée, tout en faisant croire que ce serait du racisme ! 

1.Alina Polyakova et Benjamin Haddad, « Europe Alone: What Comes After the Transatlantic Alliance », Foreign Affairs, vol. 98, no 4, 2019, p. 109–120 (ISSN 0015-7120).

2.« Benjamin Haddad. [archive] », Assemblée nationale, juin 2022 (consulté le 24 juin 2022).

3.« Qui suis-je ? | Benjamin Haddad [archive] », benjaminhaddad.fr (consulté le 22 septembre 2024).

4.« Des Voix Juives Françaises s'opposent à LFI et au RN Pour Les Prochaines Élections Législatives [archive] », The Times of Israel, 10 juin 2024.

5.« Législatives : Benjamin Haddad Peut-il Remporter Son Pari [archive] », Actualité Juive, 17 juin 2022.

6.« ELNET brings delegation of new French MPs to Israel (ELNET Apporte Une Délégation de Nouveaux Députés Français en Israël) [archive] », The Jerusalem Post, 7 janvier 2023 (consulté le 22 septembre 2024).

7.« Une délégation de députés français Renaissance en visite en Israël [archive] », The Times of Israel, 6 janvier 2023 (consulté le 22 septembre 2024). « European Lay-Leadership Network [archive] », sur Federal Public Justice Service, Belgium, 12 octobre 2007 (consulté le 24 décembre 2023)

8.David Rose, « Speak to Israelis and you’ll understand why no-one is talking about two states », The Jewish Chronicle,‎ 12 janvier 2024 (lire en ligne [archive], consulté le 15 janvier 2024)

9.« ELNET plans initiative to expose Hamas crimes against humanity », The Jerusalem Post,‎ 21 novembre 2023 (lire en ligne [archive], consulté le 15 janvier 2023)

10.« Our Mission [archive] », sur ELNET (consulté le 24 décembre 2023)

11.Guttman, Nathan, « New European Pro-Israel Group Aims for Low Profile [archive] », sur The Forward, 12 juin 2008 (consulté le 24 décembre 2023)

12.Alan Rosenbaum, « Israel, Europe need to proactively face similar strategic challenges – ELNET official », The Jerusalem Post,‎ 9 juillet 2023 (lire en ligne [archive], consulté le 24 décembre 2023)

13.Ryan Torok, « Moving & Shaking: Friends of ELNET, StandWithUs and More », The Jewish Journal of Greater Los Angeles,‎ 14 décembre 2017 (lire en ligne [archive], consulté le 24 décembre 2023)

14.Dain Sharon, Alina, « Non-Partisan Network Works to Bolster Europe-Israel Bonds [archive] », sur Algemeiner Journal, 17 novembre 2015 (consulté le 23 décembre 2023)

15.Ambassador Stuart E. Eizenstat, The Future of the Jews: How Global Forces are Impacting the Jewish People, Rowman & Littlefield, 2012 (ISBN 978-1442216280, lire en ligne [archive])

16.« deux nouvelles délégations d'élus français vont se rendre en Israël », sur Marianne - magazine, 24 novembre 2023 (consulté le 20 septembre 2024)

17.«3e Conférence d’Elnet, réflexions internationales à 360° », sur Lespectacledumonde.fr, 26 juin 2023 (consulté le 24 septembre 2024)

18. Sonia Bertrand, « La « Ligue de défense juive » continue de frapper impunément », Politis,‎ 13 juillet 2012 (lire en ligne [archive])

19.« La LDJ dans le Marais à Paris (Meir Kahane) [archive] » [vidéo], sur Dailymotion (consulté le 24 juillet 2020).

20.Un Israélien agressé par la Ligue de Défense Juive [archive], 6 avril 2012, Centre communautaire laïc juif

21.« Un militant israélien de la paix violemment expulsé d'un rassemblement parisien des "amis d’Israël" », France 24,‎ 6 avril 2012 (lire en ligne [archive])

22.Revenir plus haut en :a et b Soren Seelow, « Quand la justice oublie une agression de la Ligue de défense juive », Le Monde,‎ 27 février 2015 (lire en ligne [archive])

23.« Des extrémistes juifs mis en cause après la manifestation du CRIF [archive] », sur Le Monde.fr (consulté le 25 avril 2018)

24.« Procès d'un site raciste : des témoins menacés », Le Nouvel Obs,‎ 2 octobre 2003 (lire en ligne [archive])

25.« La Licra et le Mrap menacés par le "loup blanc" », Le Nouvel Obs,‎ 20 novembre 2003 (lire en ligne [archive])

26.R. B., « Le responsable du Mrap molesté », Le Parisien,‎ 15 novembre 2003 (lire en ligne [archive])

27.« Prison avec sursis pour l'agresseur des étudiants », Le Parisien,‎ 27 septembre 2004 (lire en ligne [archive], consulté le 29 mars 2018)

28.« La porte-parole des indigènes de la république agressée à Paris », Libération,‎ 25 octobre 2012 (lire en ligne [archive]).