CES VAUTOURS QUI MENTENT, QUI VOLENT... MAIS QUI GOUVERNENT !
Derrière les dorures républicaines se déroule un pillage méthodique du pays France. Ceci est un énième acte d’accusation contre une classe dirigeante devenue une caste de parasites tueurs ; contre un État dévoyé en comptoir d’intérêts privés ; contre un régime qui maquille la trahison en technocratie; contre la république des vautours ; contre un régime devenu légalement criminel.
Des lois sont sabotées en silence, des milliards s'évaporent en toute impunité, les institutions sont vampirisées par des banquiers et des bureaucrates interchangeables. Et le peuple paie tous leurs délires pendant que les puissants et leurs amis encaissent le pactole. La démocratie n’est plus qu’un simulacre. Ce n’est plus une crise que nous vivons, c’est une prise d’otage. Ce n’est d'ailleurs plus un État qui nous dirige, c’est un cartel.
Une bande de technocrates arrogants, de ministres vides, de parlementaires ventriloqués par les lobbies, qui jouent à la République comme d'autres jouent à la marchande. Ils avancent masqués, feignant la vertu, drapés dans leur hypocrisie comme dans une toge d'apparat. La France, ce vieux pays de Lumières, est tombée entre les mains d’une oligarchie cynique, habile à trahir sans rougir, à saigner le peuple en chantonnant la Marseillaise, à camoufler l’infamie sous les oripeaux de la légalité. Ils mentent en souriant, trichent en costume trois pièces, se gavent d’indulgences fiscales pendant que le peuple, lui, compte les centimes à la pompe et serre les dents à la caisse du supermarché.
On nous vend la morale tout en livrant les clefs du pays aux fraudeurs. On nous parle d’État de droit pendant qu’on détricote la loi à coups de décrets nocturnes. On nous jure que la démocratie est solide, alors même que ses fondations tremblent sous le poids des renoncements. Les crapules ne sont plus à la marge du pouvoir, elles sont au centre, elles tiennent le stylo, la caisse, la caméra, et parfois même la matraque. Elles édictent les règles du jeu et s’en exonèrent à volonté. Elles font mine de servir la France, alors qu’elles ne servent que leur caste.
La prospérité n’est plus un objectif, c’est une menace pour eux, car un peuple autonome n’a pas besoin de tuteurs. Ils préfèrent des citoyens appauvris mais obéissants, sous perfusion d’aides qu’on retire à la première incartade. Ils détruisent l’initiative au nom de l’égalité, tuent la croissance au nom de l’écologie, diabolisent la réussite au nom de la justice. Ce sont des pompiers pyromanes, des moralistes sans morale, des gestionnaires incompétents qui maquillent leur lâcheté en rigueur budgétaire.
Les gouvernants d’aujourd’hui, héritiers directs de ce système, en sont devenus les plus bruyants défenseurs, tout en jouissant des fruits de leur pouvoir. La classe politique, déconnectée et dénuée de tout scrupule, se permet de nous vendre des discours de "sacrifice" et de "rationalisation des dépenses publiques", comme si ces termes n’étaient pas en réalité des euphémismes pour des politiques qui détruisent systématiquement les services publics.
Au fil des interviews de nos ministres, on découvre, entre les murs feutrés d’un ministère des finances trop silencieux pour être honnête, un sabotage d’État, un viol méthodique de la démocratie, perpétré avec la froideur bureaucratique des régimes autoritaires. Une loi votée, portée par une volonté populaire et républicaine, réduite en poussière par un simple décret, cousu main pour les banques, offert sur un plateau d’argent à ceux qui n’en ont jamais assez. Un mécanisme ignoble, sorte de tour de passe-passe fiscal, qui permet à des fonds étrangers de se gaver de dividendes tout en crachant à la figure du fisc français. Trente-trois milliards d’euros sont partis en fumée, et dans les cendres des repas et autres privilèges des élus, sans une seule trace de honte. Pire encore concernant cette caste de malfaisants où l’aveuglement n’est finalement pas une erreur mais bien une consigne.
Jean-François Husson, rapporteur général LR de la commission des finances du Sénat, hurle dans le désert de la raison, mais ses mots tombent dans un silence complice, à peine dérangé par quelques battements d’ailes d’oiseaux charognards. Après cinq heures d’audition musclée au ministère de l’Économie, ce 19 juin dernier, l’élu livre une enquête accablante où une loi anti-fraude votée démocratiquement a été sabotée en catimini. Les services fiscaux avaient prévenu, le Parlement avait tranché, mais à Bercy, on préfère obéir à ceux qui tiennent la laisse plutôt qu’à ceux qui tiennent l’urne. On écrit la loi en langage bancaire, on gomme les interdits, on creuse la brèche et on y pousse le chariot du capital mondialisé, sans scrupule, sans frein. Le gouvernement s’aplatit, courbe l’échine, et dans le grand théâtre démocratique, la représentation continue, mais la pièce a changé d’auteur. Et de metteur en scène.
Alors que la France croule sous un déficit public abyssal, le gouvernement macroniste, fidèle à sa rhétorique de rigueur, s’apprête à imposer un énième tour de vis budgétaire. Dans un ballet bien rôdé entre l’exécutif et ses relais parlementaires, les sénateurs, dociles soutiens du pouvoir, ont ficelé un plan d’économies drastiques pour 2026, avec pour objectif de ramener le déficit à 4,6% du PIB. Mais derrière ces chiffres froids et ces promesses de responsabilité budgétaire, c’est un véritable carnage social qui se prépare. Réduction des dépenses publiques, coupes dans les services essentiels, pressions accrues sur les plus fragiles avec une politique d’ajustements brutaux, maquillée en gestion vertueuse, où les Français ordinaires paieront le prix fort pendant que les grands intérêts des milliardaires subventionnés, eux, restent intouchables.
Et pendant ce temps, sur les bancs de l’Assemblée, on joue la comédie sociale. Eric Coquerel s'improvise juge des riches, mais avec la subtilité d’un procureur populiste. Il classe les citoyens selon un filtre aussi abscons que dangereux entre les bons et les mauvais. Toujours l’autre, jamais soi. La démagogie en étendard, la calculette en main, il distribue des coups de marteau fiscal avec l’enthousiasme d’un inquisiteur, tout en se gardant bien de toucher à ses propres privilèges. L’indécence n’a plus de limite quand un député au salaire confortable ose parler d’efforts, sans jamais remettre en question les siens. Ils vivent d’argent public et dénoncent la richesse privée ; ils hurlent contre les yachts mais voyagent en avion de la République ; ils font mine de souffrir avec le peuple tout en méprisant sa sueur.
Ils veulent faire croire que taxer plus, c’est redistribuer mieux. Mais à force de prendre, il ne reste plus rien à créer. À force de punir ceux qui réussissent, on décourage ceux qui essaient. À force d’étouffer les moteurs de l’économie sous les impôts, on fait caler tout le véhicule. Ils ne veulent pas voir que la France est déjà championne du monde de la fiscalité, et qu’elle en meurt doucement. Ce n’est pas la solidarité qu’ils défendent, c’est leur propre survie politique, à coups de slogans, de lois idéologiques et de budgets votés à l’aveugle. Rien de rationnel, tout est dogmatique, toxique, comme cette poussière blanche qui circule jusque dans les travées de l’Assemblée, et qui semble altérer plus que les narines. Elle atteint le jugement, obscurcit l’esprit, dissout la morale.
Il ne s’agit plus de débat politique, mais de décadence institutionnelle. Ce pays, qu’ils prétendent gouverner, ils le trahissent chaque jour un peu plus. Non par idéologie, mais par paresse, par opportunisme, par confort. Ils se battent pour leurs sièges, pas pour la France. Ils protègent leurs réseaux, pas les citoyens. Ils légifèrent en faveur des banques, puis s’étonnent que le peuple n’ait plus foi dans la justice. Et quand vient le temps de rendre des comptes, ils regardent ailleurs, jurent qu’ils ne savaient pas, ou accusent le peuple de ne pas comprendre. Mais le peuple comprend. Et il n’oubliera pas.
Le spectacle quotidien offert par la macronie, cette caste de mandarins embourgeoisés et d'opportunistes cyniques, est un poison qui se diffuse lentement dans tout le pays, nourrissant un système financier où l'avidité se marie avec l'incompétence. Chaque jour qui passe sous cette gouvernance est un jour de plus où les Français se voient rackettés, fauchés de leur dignité, volés sans même un frisson de remords de la part de ceux qui se jouent de la République comme d'une vieille bête lasse. Mais dans ce grand théâtre du pouvoir, il est une vérité qui ne cesse d'émerger visant à démontrer que la France est sous domination, non pas d’un gouvernement souverain, mais d'une bande de crapules liées par des intérêts privés, alimentant un système qui ne laisse place qu’à une classe privilégiée, insensible aux pleurs des masses, trop occupée à engranger les profits de leur collusion.
Les chiffres sont aussi durs que des clous dans la gorge. En 1973, une loi a été instaurée sous la houlette de Georges Pompidou, et cette décision, décidée entre deux coulisses de la banque Rothschild, a jeté la France dans la gueule béante des marchés financiers. La loi du 3 janvier 1973 a scellé le destin de la nation en condamnant l’État à se financer auprès des banques privées. L'État, autrefois maître de ses finances, est devenu, à dater de ce jour funeste, une simple courroie de transmission pour les profits d’un système bancaire vorace. Cela signifie que chaque euro que nous payons en impôts, loin de servir à la collectivité, est siphonné pour engraisser ces grandes institutions qui n’ont pour seul souci que de faire gonfler leur fortune personnelle et leur pouvoir. La dette française est un piège soigneusement mis en place, un racket institutionnalisé où chaque génération voit sa part de richesse transférée vers ceux qui gouvernent en coulisse.
Le dernier exemple en date est bien entendu celui de Sébastien Lecornu, Premier ministre, qui ose se frotter à la scène publique avec une langue de bois impassible pour vanter les mérites d’une politique de "courage budgétaire". De Courage ?! Quelle farce ! À quelle hauteur de cynisme faut-il grimper pour appeler "courage" ce qui n’est en réalité qu’une asphyxie systématique des institutions publiques, une extermination lente et méthodique du service hospitalier, de l’éducation, des transports publics, tout cela au profit d’une bande de privilégiés dont les appétits ne connaissent plus aucune limite.
Pendant que la France se débat, étranglée par la dette, que les pompiers, les soignants, et les enseignants se battent pour un peu de reconnaissance, ces mêmes politiciens festoient sur l’argent du contribuable avec des indemnités parlementaires monstrueuses, des privilèges insensés. Un député, qui n’est jamais qu’un bureaucrate plus ou moins incompétent, reçoit plus de 6 000 euros par mois, une somme dont le tiers seulement fait l’objet d’un contrôle. Mais cela ne s’arrête pas là car ils ont aussi les transports en première classe, les hôtels luxueux, les taxes et les indemnités qui s’enchaînent sans fin. Autant de symboles de cette machine à voler le peuple, qui s'engraisse comme jamais, tout en prétendant être à son service.
Et puis il y a ces véritables scandales, ces petites magouilles bancaires que l’on nous cache sous des airs de "réformes fiscales". Éric Lombard, grand argentier de la nation et actuel ministre des Finances, incarne à merveille l’absurdité de ce système où l'optimisation fiscale - ce mot devenu synonyme de fraude légalisée - devient l’art suprême des élites. Prenons par exemple sa société Halmahera, une perle de l’ingénierie financière, qui, bien qu'elle ne compte qu’une seule salariée - sa femme - et n’ait absolument aucun client, génère des dividendes annuels de plus de 6 millions d'euros. Une société "d’investissement", disent-ils, dont l’activité semble tourner uniquement autour de la gestion de participations détenues par un autre groupement économique, Greenstock ; ce qui, selon Lombard, justifie ce juteux profit. Tout cela, bien entendu, est parfaitement légal. Un chef-d'œuvre d'optimisation fiscale qui semble défier les lois de la décence tout en restant dans les marges d’une légalité de façade. Et pendant ce temps, on nous demande de se serrer la ceinture. Mais ne soyons pas dupes, il n'y a là aucune mystification ni miracle financier, juste une machine parfaitement huilée qui engraisse ceux qui en tirent les ficelles et vide les poches de ceux qui n’ont même pas la possibilité d’optimiser leur misérable salaire.
Passons à sa résidence à La Trinité-sur-Mer. Acheter un bien à 1,8 million d’euros en 2004 pour le déclarer à 600 000 euros aujourd'hui, tout en restant dans les clous, semble un exploit que peu d’entre nous seraient capables d’imiter. Et pourtant, pour Lombard, tout cela n’est que de l’"usufruit" et une simple question de déclarations minutieuses, calculées au centime près. Comme si les 4 millions d’euros estimés par les agents immobiliers locaux n’étaient qu’une simple erreur de leur part, une maladresse dans l’appréciation de la valeur du bien. Un petit tour de passe-passe, sans doute, mais tout à fait dans les règles de l'art. Et ce n’est pas tout, son appartement à Paris, acquis pour 2,8 millions d’euros, est déclaré à 1,4 million, mais ce n'est qu'une "partie" de l’appartement qu’il possède, la moitié étant détenue par sa femme. Tout cela n’est rien de plus qu’une broutille, un détail insignifiant dans un patrimoine personnel de plus de 21 millions d’euros.
Pendant ce temps, Éric Lombard continue de prendre des décisions qui pèsent sur la vie des Français, leur demandant de se sacrifier pour sauver une économie qu’il a lui-même contribué à manipuler. Après tout, le vrai prix à payer dans ce jeu de pouvoir et de finances, c'est celui des pauvres hères qui, eux, n’ont pas la chance de faire fructifier leur fortune à coups d’optimisation fiscale et de sociétés fictives. La réalité, c’est qu’il n'y a pas de sacrifices pour ces élites, il y a juste un festin à leur table. Un festin que nous payons, et pour lequel on nous accorde des miettes, tout en nous accusant de vivre au-dessus de nos moyens. Que reste-t-il donc de cette éthique publique, lorsque ceux qui nous gouvernent vivent en dehors des lois qu’ils imposent au peuple, jouissant d’une impunité de plus en plus flagrante, tout en organisant leur propre enrichissement ? Tout cela, bien entendu, est "légal", mais si cela est la loi, il est grand temps de revoir ce que signifie vraiment la justice dans cette république.
La véritable perversion de ce régime macronien se trouve dans cette guerre invisible mais impitoyable que le gouvernement mène contre les citoyens, car chaque année, les finances publiques sont écorchées au profit d’une poignée de financiers qui œuvrent dans l’ombre pour défiscaliser, pour placer leur argent là où il est à l’abri des regards. Et ce n’est pas une dérive isolée. C’est un système. Une pyramide inversée où les derniers paient pour que les premiers festoient. Le mécanisme CumCum, par exemple, en est l’incarnation la plus obscène avec une fraude légalisée par le pouvoir lui-même, un hold-up fiscal sous protection gouvernementale. Ce n’est pas un dysfonctionnement, c’est le cœur battant de cette République prostituée. Ce n’est pas un écart, c’est la norme. Le mécanisme CumCum est un cas d’école de cette fraude institutionnalisée, un tour de passe-passe juridique où les actionnaires étrangers échappent à l’impôt sur les dividendes. Cette fraude, qui prive l’État de dizaines de milliards d’euros, se fait sous la bénédiction même des instances gouvernementales. En coulisse, l’ombre des banques veille, prêt à exécuter leur volonté car ce sont elles qui dictent la politique, ce sont elles qui manipulent les leviers économiques comme des marionnettistes invisibles.
Sous ses atours de neutralité bienveillante et de respectabilité feutrée, le système bancaire s’est métamorphosé en bras armé du nouveau despotisme occidental. Loin des scandales de 2008, où on les croyait au bord de la faillite, ces établissements financiers se sont relevés, non pas pour servir l’économie réelle, mais pour imposer une doctrine impitoyable du contrôle par l’argent. Désormais, la sanction n’est plus judiciaire, elle est économique. On ne vous met plus en prison, on vous coupe vos accès, on vous raye des circuits, on vous interdit de vivre. Elles censurent, elles punissent, elles décident. Une idéologie totalitaire s’impose, où l’on ne vous met plus en prison, mais hors du système. Plus de compte, plus de vie. Plus d’accès, plus de droits. C’est le "terrorisme bancaire", froid, chirurgical, voire létal. Et pendant que les dissidents sont étranglés, les multinationales criminelles prospèrent, sanctuarisées par leur puissance. L’argent n’a plus d’odeur, il a une ligne politique.
Plus besoin de censure officielle, il suffit de désactiver une carte bancaire, de résilier un compte, d’invoquer le sacro-saint "risque de réputation" pour priver un citoyen de son droit fondamental à l’existence financière. C’est une peine de mort silencieuse, moderne, propre, sans juge ni procès, rendue possible par une connivence sordide entre gouvernements soumis et institutions bancaires en roue libre. Et pendant qu’on suspend les comptes de chaînes indépendantes ou de penseurs iconoclastes, les multinationales qui blanchissent, polluent ou exploitent, peuvent dormir sur leurs deux oreilles car elles sont du bon côté de la censure.
Dans cette nouvelle ère de répression sournoise, l’argent ne sert plus à créer, à échanger ou à bâtir ; il sert à punir. Il devient l’instrument d’un ordre moral inversé, où les déviants ne sont plus les corrompus, mais ceux qui pensent autrement. L’affaire Donald Trump, dont l’administration Biden a tenté de couper les vivres, n’est pas une anecdote américaine mais bien le modèle qui finance tous ces parasites. Ici même, en France, la banque devient l’outil d’un musellement idéologique. Qu’un économiste comme Marc Touati ou un média comme TV Libertés soient ciblés révèle une stratégie délibérée de disqualification par étranglement financier. Ceux qui dérangent, on les empêche de payer leur loyer, de recevoir des dons, de vivre. Cette tactique n’épargne que les vrais criminels, ceux qui se confondent avec les mécènes du pouvoir. Il ne s’agit plus de défendre l’ordre public, mais d’écraser toute dissidence, en silence, à coups de notifications bancaires et de contrats rompus. Ce n’est pas de la gouvernance, c’est du chantage institutionnalisé. Et dans ce monde où les banques font la loi, où le droit s’incline devant le soupçon, il ne reste qu’un constat à faire : l’argent a changé de visage ! Il n’a plus d’odeur, mais il a choisi son camp depuis longtemps et c'est celui du pouvoir contre les peuples.
Et derrière cette mascarade de réformes, cette supercherie de "juste" politique, c’est le peuple qui est sacrifié, abandonné sur le bord du chemin. Pendant que ces banquiers et ces hommes de pouvoir s’enrichissent, accaparant le fruit du travail des autres, ceux qui tentent de briser le silence sont muselés, éliminés par le système bancaire. La France est désormais gouvernée par une oligarchie financière, qui n’a plus rien à envier à celle des plus grandes dictatures économiques. C’est un "terrorisme bancaire" silencieux, une censure économique, où l’argent est devenu le seul critère de valeur, et où toute voix dissidente est brutalement étouffée.
La vieille France est tombée, assaillie par tant de parasites. Elle est dirigée non plus par un État, mais par une meute, une caste de vautours unis par la peur de perdre leur rente. Ils ne gouvernent pas, ils exploitent. Ils ne dirigent pas, ils vampirisent. Et ils n’arrêteront que lorsqu’il n’y aura plus rien à prendre.
Alors il faut arrêter de croire qu’on pourra les convaincre. Il faudra les déloger. Non pas les remplacer par d’autres visages dans le même jeu, mais briser la table. Réécrire les règles. Rendre le pouvoir à ceux qui le méritent et avant tout au peuple. Le vrai ! Celui qu’on méprise, qu’on taxe, qu’on saigne, mais qui, tôt ou tard, se souviendra. Et il est grand temps de réveiller cette bête assoupie qu'est le véritable peuple de France, car les fondements mêmes de notre démocratie sont en train d’être vendus au plus offrant. La France ne mérite pas de sombrer dans cette servitude volontaire, dans cette spirale où la corruption se cache sous le masque de "l’ordre" et de la "gestion". Il est encore temps de reprendre le contrôle.
Phil BROQ.
Merci mon Cher Phil pour ce billet extraordinaire ! Que des vérités que nous vivons tous les jours. Il faut renverser complètement la table. Nouvelle constitution qui doit être écrite par le peuple et pour le peuple. Étienne Chouard en parle magnifiquement.
RépondreSupprimerMerci ! et Oui, E.Chouard ou V.Bugualt aussi, mais avant cela il va falloir nettoyer les écuries d'Augias !
SupprimerEminent phénomène de nasse que vous décrivez méticuleusement dans tout son champ de perspective, avec la mention cruciale de la démoniaque loi du 3 janvier 1973 qui se trouve en étrange coïncidence avec l'inauguration, à partir de 1974, d'un chronique déficit budgétaire à l'exponentiel creusement ...
RépondreSupprimerVaste escroquerie dont le continuum ainsi caractérisé traduit l'inébranlable mainmise de la secte de Bercy à laquelle s'inféode l'intégralité de la classe politique au regard d'éventuelles sévères et unilatérales procédures de contrôle/rétorsion de nature à être validées in fine par la béate sanctification du Conseil d'Etat, lequel refuse au reste d'admettre, au gré d'une appréciation purement discrétionnaire, près de 80% des pourvois lui étant adressés, ce qui n'empêche pas les avocats fiscalistes de facturer, en toute collusion fraternelle, de conséquents honoraires ...
Effectivement, la boucle est bouclée et le système parfaitement vérouillé par l'intérêt privé bien compris, la terreur et la contrainte.
Une "laisse" éminemment anti-démocratique, tenue par de serviles fondés de pouvoir, petits hommes gris dont un maillon historique venait déjà en son temps de la Banque Rotschild en la personne de l'éminent Georges Pompidou, disciple lointain de Hayek et des précheurs évangélistes néolibéraux, éminemment anti-nationaux, fondateurs de l'influente société du Mont Pèlerin.
Briser la laisse nécessitera de rétablir de réels principes républicains, seuls susceptibles de rétablir une force qui ne soit pas un pouvoir.
Problème vieux comme l'Antique ...
Merci d'avoir (ré)ouvert la fenêtre d'Overton sur cet angle crucial pour toute révolution qu'est la question fiscale.
Bien à vous.
Merci pour vos excellents commentaires, dont je me régale à lire !
SupprimerTout est dit ici ,merci d'avoir synthétisé ce qui se passe dans cette ripoublique , je me sent moins seul
RépondreSupprimerMerci pour vos commentaires, car grâce à vous, moi aussi je me sent moins seul ! Bien à vous
SupprimerExcellent condensé de ce qui est notre quotidien . L avenir s annonce sombre.
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