27 février 2022

PREFET UN JOUR, TRUAND TOUJOURS...

    Instituée par Napoléon en 1800, l’institution préfectorale a vu son rôle profondément transformé au fil des années. En créant la fonction de préfet, Napoléon Ier place à la tête du département un fonctionnaire qui sache à la fois garantir l’ordre public et faire appliquer les décisions impériales contre le bien du peuple. Il demeure un élément central dans la mise en œuvre des politiques publiques de l’État et dans la gestion des situations de crise. Le préfet est un haut fonctionnaire nommé en conseil des ministres, par décret du président de la République, sur proposition du Premier ministre et du ministre de l'intérieur. En France, un préfet est donc un haut fonctionnaire dont la fonction est définie par l'article 72 de la Constitution de la Vème République. Son rôle est déterminé ainsi : Il est "dans les collectivités territoriales de la République, le représentant de l’État, représentant de chacun des membres du Gouvernement, a la charge des intérêts nationaux, du contrôle administratif et du respect des lois"

    Le préfet de région est au-dessus du préfet de département et le préfet de département est au-dessus des sous-préfets. Le préfet de département est responsable de la préparation et de l’exécution des mesures "non militaires" de défense. Il peut toute fois requérir la force armée si il estime que la situation l’éxige. Or l’article 121-7 du code pénal précise : "Est complice d'un crime ou d'un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en a facilité la préparation ou la consommation. Est également complice la personne qui par don, promesse, menace, ordre, abus d'autorité ou de pouvoir aura provoqué à une infraction ou donné des instructions pour la commettre." Le risque est aujourd’hui clairement élevé de voir des Préfets, parfaitement informés de prise illégales d’intérêts, d'être poursuivis pour complicité de ces atteintes à la probité, tout comme lorsqu'ils donnent des ordres illégaux afin de persécuter les manifestants pacifistes réclamant leurs droits. Le préfet de région dirigeant la zone de défense et de sécurité devient ainsi maître d’œuvre de la préparation et de la gestion de crise sur son territoire. Il est le personnage qui décide ou non de "punir" les habitants en fonction de sa seule volonté et dorénavant pour justifier le totalitarisme de ce gouvernement de malfrats.

    Staline a dit: "C’est la dernière personne qui compte les voix qui fait l’élection"... En l'occurence, en France, ce sont les préfets, devenus des truands assermentés et malfaiteurs iniques devant l'éternel qui auront le dernier chiffre à communiquer et à valider, pour justifier le mensonge électoral et le détournement des voix. Ce sont aussi eux qui déterminent la tendance politique d'un parti et qui donnent les feuilles d'émargements lors du comptage des votes... Et dans la mesure où ils sont tous rétribués en fonction de leur acceptation à la malversation et à la corruption d'état , dont celui de Paris nommé Didier Lallement est un exemple flagrant de ce qui se fait de pire dans l'intégrité et la probité, on tremble à l'idée de ce que sont devenus les scores électoraux depuis 20 ans au moins, le respect de la loi et la légitimité des agents qui agissent sous leurs ordres. Car il faut bien être conscient qu'un préfet de police n'est rien d'autre qu'un coupe-circuit, c'est juste un guignol de la raie-publique programmé pour griller comme un vulgaire fusible au moindre problème qui pourrait éclabousser l’exécutif. Il n'est qu'un second couteau assumant son rôle d'ignoble pare-feu au service d'une mafia étatique, mais sous couvert de respectabilité obligatoire puisque assermenté. Et lorsqu'on parle des préfets dans la Vème raie-publique, c’est même des vrais "paratonnerres" dont il s'agit, tant les malversations et les détournements sont nombreux. Sans honneur, ni amour propre, c'est un homme sans consistance à qui les "parrains" médiatisés on donné un exercice du pouvoir afin de compenser sa médiocrité naturelle tout en glorifiant sa hautaine prétention narcissique. 

    Il faut savoir que celui de Paris, toujours pour exemple, ne doit sa fonction de prestige qu'à de bons vieux pistons politiques, c'est à dire à sa capacité à mentir et à couvrir les méfaits des élus dans sa circonscription. Il à couvert les détournements de fonds publics dans les hauts de Paris a hauteur de plusieurs milliards. Il n’a jamais passé aucun concours, ne sort pas d’une grande école ou de l’ENA (ce qui parfois, mais rarement, peut devenir une qualité ou au moins un gage de savoir). C’est ce qu’on appelle un  "préfet hors cadre", que l’on peut désigner sans autre formalité plus poussée qu’un simple décret validé en conseil des ministres. Sa casquette, si grande sur ses épaules de criquet, il l’a obtenue pour "services rendus" grâce à un ministre, en l’occurrence Jean-Pierre Chevènement, premier flic de France entre 1997 et 2000, pour lequel Lallement fut l’un des conseillers techniques. Et en 2014, il bénéficiera des mêmes passe-droit lorsqu'il devient conseiller à la Cour des comptes au "tour extérieur" (terme consacré pour désigner une nomination arbitraire et politique ). D'ailleurs il présidait la commission des appels d’offres à la Société du Grand Paris... Et en 2017, un audit a émis de sérieux doutes sur la régularité de passation des marchés publics (lu dans Marianne, 25/03/2019). En clair, Lallement est un sous-fifre, avide de notoriété, qui couvre toutes les malversations financières possibles mais qui se contente d'une casquette et d'un salaire de minable pour couvrir les milliards que détournent nos politiciens à l'insu du peuple. Bien entendu, son poste vient aussi du fait qu'il fréquente aussi à cette époque la loge maçonnique du Grand Orient (qui fut dirigée plus tard par un certain Alain Bauer, autre aficionado de Chevènement), et levier toujours très efficace pour faire marcher l’ascenseur social des minables sans capacité réelles cooptés dans les ténèbres des loges. Et comme le coquelet poudré de l’Élysée, Didier Lallement n’a pas fait son service militaire. Ce qui est plutôt incongru lorsqu’on prétend incarner le commandement, l’ordre et la force, vous en conviendrez. Car, il est le symbole à lui tout seul de la dérive autoritaire et violente de l’État soumis aux dictats des labos comme Pfizer. D'ailleurs le préfet Lallement pérorait encore récemment devant le siège de Pfizer pour justifier l'emploi d'engin de guerre contre les manifestants résolument pacifistes refusant le pass et l'injection souvent mortelle mais obligatoire (voir photo). Et contrairement à ce que beaucoup pensent, le Régime totalitaire initié par le petit poudré de l'Elysée ne panique absolument pas, puisqu'il a le "monopole de la violence" et les médias dans la poche, il a d’ailleurs fabriqué le consentement des moutons pour tout justifier et invoqué le secret défense pour se rassurer.

    Dés lors, on imagine comment les autres préfets ont été placés dans nos régions et ce qu'ils ont réalisé comme malversations, mensonges et autres délits de corruption, pour être aussi bien traités et rémunérés avec nos deniers pour empêcher le peuple de revendiquer ses droits légitimes. Un préfet c'est donc surtout un con, peu éduqué mais très corrompu, qui ne doit son poste qu'a sa duplicité et sa capacité à être un malfrat de bas étage qui couvre ses chefs. Sachant aussi que le criquet Parisien à la casquette démesurée a menti de façon éhonté devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les obstacles à l’indépendance du pouvoir judiciaire, on se doute de la culpabilité et de la duplicité de l'ensemble de ses confrères. Car Lallement n'est qu'un pur produit de la méritocratie triomphante, celle qui récompense le zèle, l’agressivité et la subordination. Méprisé, mais efficace et loyal, comme Benalla, il était programmé, au mieux, pour devenir épicier ou petit manager, mais il a atteint ce niveau uniquement pas manque de conscience et surtout par soumission totale. Car dans la préfectorale, on apprend avant toute chose à faire acte d’allégeance. La compétence première ce n’est même pas la soumission mais l’obséquiosité la plus obscène. Et ils sont tous sélectionnés sous le même moule , sachant que nous avons 101 départements et 250 préfets en fonction. Soit 250 petits capos payés avec nos deniers pour nous maltraiter, ça fait du monde ! de plus, en 2013, sur 250 préfets gérés par le ministère de l’Intérieur, 127 étaient affectés à un poste territorial (préfet de département, préfet de région…), 37 étaient en position de détachement, 12 en disponibilité, 1 en dehors des cadres et surtout 75 “hors cadre”...  Et depuis tout s'est empiré ! N'oublions pas que cette personne pourra "cumuler" ses régimes de retraite spéciaux. Pas comme vous, vil contribuable larbin, qui si vous avez plusieurs jobs dans votre carrière n'avez qu'une seule retraite en plus limitée au seuil sécu. Sachant que depuis des années, de nombreux rapports de la cour des comptes dénoncent les dérives pour le contribuable de ces préfets fantômes.

    Ainsi brossé le portrait de ces préfets toujours prompts à réprimer les droits et autres demandes légitimes des peuples, on comprend que l’Etat et les institutions ont été méthodiquement colonisés et ceinturés, depuis des décennies, par les intérêts privés, c’est-à-dire par l’oligarchie mondialiste qui s'est réunie à Davos afin de contrôler le monde par l'intermédiaire de ces cafards toujours prêts à exécuter les ordres "venus d'en haut". On constate qu'il n’y a plus rien de viable dans la "politique Française", qui n'est plus qu'un agrégat de marionnettes dociles et manipulées pour assouvir les dictats des multinationales. Il n’y a plus, dans leur idéologie mortifère et totalitaire,  que la volonté de chaos, la corruption systématique, l’incompétence flagrante, l'entre-soi décadent et surtout la haine assumée envers le peuple des Francs qui font recette, pour cette catégorie de manges-miettes méprisables. Mais le danger vient aussi et surtout du fait que ce sont ces êtres vils et malléables qui comptent les voix des électeurs et qui en assument le détournement flagrant !  Une simple recherche sur Google vous rappelle de nombreux articles sur tous ces préfets sans préfectures et leurs rôle de mafieux au service des élites pour empêcher le peuple de revendiquer ses droits ou pour prendre, par exemple des intérêts sur la validité des dossiers de permis de construire comme dans l'affaire de l’installation des parcs éoliens, pour ne citer que ceux-là.

    Il est donc urgent de statuer rapidement sur le rôle malfaisant de ces êtres sans scrupules, payés bien souvent à ne rien faire sinon couvrir les magouilles des élus, tout en relayant les désidératas de la mafia gouvernementale. Ces maillons pourris mais essentiels à la mise en place du totalitarisme dans notre pays, sont pourtant simples à trouver et à mettre face à leurs responsabilités et surtout à leurs méfaits perpétuels. Les préfets jouent dans la cour de l’exécutif, pas dans celle du législatif ! Il va bien falloir, au bout d’un moment, qu’ils l’admettent et reviennent  à de plus modestes ambitions. Car nous sommes chaque jour qui passe les témoins impuissants d’actions iniques et infondées entreprises à l’encontre des citoyens. Ils sortent de pseudo-nouveaux textes de leur chapeau, ils tentent d’impressionner le citoyen honnête par des démonstrations de force abusives où ces préfets s’estiment même parfois fondés à faire des diagnostics sur l’état psychique de certains comme dans le cas du Pr Fourtillan, frôlant ainsi l’exercice illégal de la médecine. En bref, ils interprètent à leur sauce le Code de la sécurité intérieure et n'ont de compte à rendre à personne. 

    Or, le chef hiérarchique, comme le préfet, en usant de son autorité et de ses prérogatives, dispose d'indéniables moyens de pression pour pousser un subordonné à exécuter un acte illégal comme dans le cas des répressions lors des manifestations. Ainsi, si les préfets n'ont pas officiellement d'autorité hiérarchique sur les commandements territoriaux de la gendarmerie, ces derniers n'étant pas des services déconcentrés de l'État, ils ont en pratique une autorité de fait. Et bien que certains ordres émis par un dépositaire de l'autorité publique font l'objet d'incriminations pénales spécifiques, comme les ordres donnés d'attenter à la liberté individuelle, les ordres donnés d'attenter au secret des correspondances, etc. et bien sachez que d'éventuels ordres d'attenter à la vie ou aux biens d'autrui, ne sont paradoxalement pas prévus...

    Alors que la loi 72-662 du 13 juillet 1972, portant statut général des militaires, donc des gendarmes, précise que si les militaires doivent obéissance aux ordres de leurs supérieurs, il ne peut leur être ordonné d'actes contraires aux lois. Si de tels ordres leur étaient cependant donnés, ils n'auraient pas à accomplir les actes illégaux demandés. Car si les détenteurs de l'autorité publique, les représentants de l'ordre, les militaires ou les fonctionnaires chargés de réprimer les atteintes à la légalité, peuvent être amenés à commettre sciemment des faits qualifiés de crimes ou de délits par la loi pénale et ce en toute connaissance de cause, sont normalement sanctionnés. En effet, ils avaient aussi le droit de refuser, ils en avaient même le devoir, mais ils n'en avaient tout simplement pas l'envie. Dés lors, on peut s'interroger sur le recrutement, la formation, les relations interpersonnelles des hommes en cause. Comme on peut douter de leur valeur morale ou même de leur santé mentale dans de nombreux cas et à la vue de leurs agissements... Les causes de tels manquements sont évidemment multiples. Et si les développements sont centrés sur la Gendarmerie nationale, institution militaire dont la mission première est justement de faire respecter la loi, ils sont aisément transposables à toute autre hypothèse où un dépositaire de l'autorité ou de la force publique, militaire ou civil, recevrait d'un supérieur hiérarchique un ordre manifestement illégal relevant alors du domaine pénal. Le droit pénal, les lois et règlements propres aux militaires se rejoignent donc pour punir, interdire ou dissuader de commettre l'acte illégal ordonné par un supérieur. Le subordonné est cependant seul responsable de l'appréciation juridique de la situation. Or, en l'état actuel du droit, le fait de donner un ordre illégal, uniquement verbal, ne constitue généralement pas une infraction, dès lors que cet ordre n'est pas écrit ou suivi d'un commencement d'exécution matérielle. À ce stade, le supérieur ne court aucun risque majeur, surtout s'il a l'appui d'autres échelons hiérarchiques impliqués ou informés de la préparation de l'acte délictueux tels que l'utilisation d'armes de guerre contre les peuples souverains.

    La création d'urgence d'un texte pénal réprimant les ordres illégaux renforcerait donc considérablement la position du subordonné qui souhaite résister à la pression illégitime de son supérieur. Ceci devient une priorité lorsque l'on observe l'attitude violente et illégitime des forces de l'ordre contre les populations qui assurent leurs salaires comme l'achat des dites armes. De fait la création d'une incrimination autonome, visant l'ordre illégal de commettre une infraction pénale, donné par un dépositaire de l'autorité publique, serait cependant de nature à mieux garantir le respect de la légalité des actions de forces dites de l'ordre qui ne sont plus que des milices à la solde du pouvoir. Elle renforcerait aussi la responsabilité du détenteur de l'autorité et élargirait les droits des personnes placées dans une position de subordination en vue de faire respecter, en toutes circonstances, les lois de la République et donc les droits de tout un chacun face à ces velléités totalitaires dont nous sommes tous témoins et victimes. Car tout fonctionnaire est tenu de se conformer aux ordres qu’il reçoit de ses supérieurs hiérarchiques, sauf si ces ordres sont manifestement illégaux et de nature à compromettre gravement un intérêt public. Or c'est bien l’intérêt du public qui est dorénavant systématiquement bafoué afin de protéger une mafia d'état sans foi ni loi dont les préfets sont le symbole et l’exécutant docile...

    En tant que dépositaire de l’autorité de l’État dans le département, le préfet détient aussi des pouvoirs de police. De plus, le préfet, comme le sous-préfet, font partie des autorités habilitées à faire sommation. Or, selon Amnesty International France, "en France, le droit donne un pouvoir trop large aux autorités pour interdire des manifestations dès qu’elles estiment que celle-ci est de nature à troubler l’ordre public. Cette formulation laisse trop de marge aux maires ou aux préfets pour interdire, car l’atteinte à l’ordre public n’a pas besoin d’être vraiment prouvée, des "craintes" ou un risque théorique sont "suffisants". Or, troubler l'ordre public de nos jours, c'est simplement mettre en lumière les malversations et les détournements de notre argent par cette caste.  

    De plus, concernant la séquence "plandémique" que nous vivons depuis 2 ans, le cas des A.R.S avaient pour mission de faire travailler ensemble hôpitaux, cliniques, médecins de ville et maisons de retraite et un trouble flagrant à cet ordre public. Car en aucun cas, ces agences n’avaient pour but, ni la légitimité, de décider d‘une politique sanitaire dans une région. Elles étaient juste chargées de coordonner la politique sanitaire en passant par l’interlocuteur officiel et nommé de l’Etat, c'est à dire le Préfet. Et les préfets sanitaires et les A.R.S n’avaient au départ aucun pouvoir de décision légitime non plus, et la façon qu’ils ont eu d’ignorer les lois et leur rôle est à la fois illégale et anticonstitutionnelle car nulle part dans la Constitution, ces organismes ne sont nommés pour de tels rôles. Ils auraient dû travailler en coordination avec les élus de terrains qui les tiennent au courant avec plus de précision en cas d’épidémie et transmettre les informations, ni plus ni moins. Après ce travail de coordination, le préfet est normalement le seul habilité à transmettre des données fiables à l’A.R.S et non l'inverse. Là encore la hiérarchie est complice sinon malfaisante.

    Alors pour conclure, dans ce temps d’incertitudes où les préfets semblent livrés à eux-mêmes, sans aucun contre-pouvoir ou simple contrôle et avec chacun une position différente selon les départements, il apparait d'une importance vitale de clarifier les choses pénalement une bonne fois pour toute, notamment en ce qui concerne la responsabilité administrative et pénale de ces Préfets, de tous ces maillons pourris qui se cachent derrière une pseudo-hiérarchie inexistante afin de couvrir leurs actes délictueux autant que d'assouvir leurs perversions narcissiques. Car ces personnages, souvent et surtout très corrompus, qui n'assurent en rien leur rôle de garant des droits et des libertés, mais qui au contraire contribuent à détruire ce que notre pays à de plus essentiel, à savoir la liberté de tous et le droit de chacun à vivre en paix, sont justement les instigateurs des troubles publics. Or, avec de tels guignols aux manettes, personne ne peut prédire ou ne sait dans quelle situation catastrophique va se trouver le pays en avril 2022, date à laquelle les Français vont devoir se rendre aux urnes pour "élire" ou plutôt faire semblant de sélectionner leur nouveau chef de l’Etat, bourreau et superviseur de leurs libertés, déjà adoubé par l'oligarchie mafieuse qui dirige notre société. 

    Et si après cette pseudo-épidémie les citoyens ne se lèvent pas pour intenter un procès à l’Etat pour abus de pouvoir et viol de la Constitution, nos dirigeants auront bien réussis à tuer tout un peuple sans jamais rien risquer grâce au travail de ces préfets. Ainsi, il n'est pas nécessaire de se nasser à paris pour revendiquer nos droits, mais bien de s'occuper des préfectures en région pour commencer à faire cesser cette agression totalitaire quotidienne. Sachant que l'état n'a nullement les moyens de protéger les 101 préfectures le même jour, alors qu'il peut sans problèmes protéger Paris des manifestants ainsi regroupés comme des cons. Car il est plus facile pour le chien de garder un troupeau serré que de courir derrière toutes les brebis éparpillées...

    Donc, seuls les fous peuvent être aussi cons que les français, ou inversement, pour accepter encore cet état de faits et ces ordres mafieux afin donner une direction à leur vie de moutons, sacrifiables sur l'autel du saint Pognon, sans jamais chercher à stopper efficacement cette folie par des actions simples, efficaces mais réfléchies ! 

 Phil BROQ.



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