Blog de l'éveillé...

Tandis que le monde vacille sous le double joug d’une dette publique colossale et d’un système financier parallèle totalement hors de contrôle, deux chiffres identiques surgissent comme des coups de massue avec le chiffre faramineux de 97 000 milliards de dollars…  Une première fois comme dette publique mondiale, officiellement comptabilisée ; une seconde comme dette cachée, dissimulée dans les arcanes des produits dérivés, en particulier les swaps de change, selon la Banque des règlements internationaux (BRI). Deux dettes, deux visages d’un même cancer économique venu d’un capitalisme financiarisé, dérégulé, devenu prédateur. Face à cela, deux figures se dressent, opposées en tout, unies seulement par leur puissance politique. D'un coté, Emmanuel Macron, ancien larbin de la banque Rothschild, propulsé à la tête de l'État grâce à une élection aussi transparente qu'un miroir de salle de bain après une douche. Incarnant  la silhouette fluette d’une petite princesse servile, p...

 Il arrive, dans l’histoire des peuples, un moment où l’évidence crie si fort qu’elle transperce même les tympans des sourds volontaires. L’épisode dit "Covid", ce théâtre mondial d’ingénierie sociale, s’inscrit désormais non pas dans le registre de la médecine, mais dans celui de la criminalité. Et non d’un crime ordinaire, mais d’un crime d’État, globalisé, méthodiquement orchestré par une caste de puissants aux mains souillées de profits et de sang. Car c’est bien cela que révèlent les chiffres, les études, les autopsies, les fuites scientifiques. Car ce qu’on a appelé avec une obscénité feutrée des "vaccins à ARNm" n’est en réalité rien d’autre qu’une série d’armes biologiques injectées à l’échelle planétaire. Non pour soigner, mais pour conditionner, stériliser, empoisonner, soumettre. Le prétendu remède s’est mué en fléau. Derrière le masque bienveillant de la science, une entreprise de destruction méthodique s’est abattue sur des milliards d’êtres humains. Il...

"La face cachée de l’actualité" , c’est l’antidote à la désinformation de masse. Animée par Claude Janvier sur la chaîne d’Éric Montana, cette émission jette un pavé dans la mare tiède du prêt-à-penser médiatique. Ici, pas de langue de bois, pas de filtres.  Chaque déclaration fouille ce que l’on enterre, éclaire ce que l’on masque, démonte les narratifs officiels pour en exposer les rouages cachés. Endettement programmé, agenda technocratique, manipulation géopolitique...  Tout y passe, avec rigueur, audace et un refus catégorique de courber l’échine devant le mensonge. Une émission pour ceux qui veulent comprendre le dessous des cartes et non pas se contenter des légendes. Dans cette émission, M. Sanchez frappe fort et vite. Avec un débit vif et une pensée acérée, il relie les points que d’autres feignent d’ignorer. Politiques, financiers, industriels, lobbys occultes… il dévoile les réseaux, les logiques, les intérêts qui s’entrecroisent et sacrifient notre monde et nos vi...

Tandis que les bombes s’abattent, que les civils tombent et que le droit se tait, la scène internationale continue de dérouler ses rituels creux. Les institutions censées protéger les peuples semblent n’exister que pour préserver les équilibres géopolitiques. Dans ce théâtre d’apparences, les bourreaux défilent à la tribune, les victimes disparaissent des radars, et la justice devient un outil de tri entre les morts légitimes et les morts tolérées. Voici l’envers d’un ordre mondial où la neutralité masque la complicité. Regardez bien cette mécanique honteuse qui maintient l’ordre mondial debout sur une arête de compromissions. D’un côté, une juridiction pénale surgit pour exhiber ses mandats comme on dégainait jadis les lettres de cachet. Elle est rigoureuse, prompte, inflexible, dès lors que la cible est politiquement commode. De l’autre, la même institution, soudain sujette à une prudence étrange, tergiverse, tempère, s’efface. Ce contraste n’est pas une aberration mais bien un systè...

Et si tout ce que vous pensiez savoir sur la guerre en Ukraine était faux ? Loin du récit calibré des grands médias occidentaux, un autre regard émerge – plus brut, plus humain, plus dérangeant aussi. Voici, un regard de terrain, de ceux qui prennent le risque d’aller voir, de traverser les lignes, d’écouter les oubliés, les bombardés, les survivants... D’abord, avec le témoignage poignant de Claude Janvier : "Trois jours en immersion dans le Donbass" (ci-dessous). Un récit sans fard, écrit avec les tripes, qui expose la brutalité du quotidien à Donetsk, Gorlovka et Marioupol. Mais aussi la résilience incroyable de ceux qui, sous les bombes, refusent de courber l’échine. Ensuite, par le biais de l’émission d’Éric Montana, " Où va ce monde. Les médias indépendants de retour du Donbass ", à laquelle j’ai eu l’honneur de participer. Autour de la table, des journalistes, des écrivains, des analystes, tous témoins directs de ce que les caméras officielles ne montrent jam...

Dans un monde où l'humanité est sacrifiée sur l'autel du capitalisme sauvage, Trump ose briser le silence et dénoncer les mascarades d'un système construit sur l'exploitation et la manipulation. il expose l'ONU et ses institutions multilatérales pour ce qu'elles sont réellement. C'est à dire des instruments de soumission et de domination mondiale, au service des élites géopolitiques et économiques. Loin d'être des garants de la paix et de la coopération internationale, ces entités sont devenues les bras armés d'un ordre mondial globaliste, manipulé par une poignée de puissances qui écrasent les nations souveraines sous le prétexte de solidarité. Donald Trump a peut-être dit des vérités gênantes, mais il a, sans aucun doute, raison. Son discours à l’ONU ne fut pas qu’une simple diatribe populiste, mais bien un cri de vérité dans un monde dominé par une mascarade mondialiste où la soi-disant "coopération internationale" n’est en réalité qu’un...