CES COÏNCIDENCES QUI FONT DES EVIDENCES !
Alors que les médias traditionnels se contentent de relater le chaos, la destruction et les pertes humaines, un examen plus approfondi des circonstances entourant ces feux met en lumière un complot d'une ampleur colossale, parfaitement aligné avec les ambitions mondiales des "Smart Cities", comme définis par le World Economic Forum (WEF). Ces catastrophes ne sont en rien des accidents du destin, mais font partie d'un plan méthodiquement orchestré pour réorganiser la société, imposer une surveillance de masse et transformer Los Angeles en une vitrine mondiale d’un nouvel ordre urbain strictement contrôlé.
Lorsque huit incendies éclatent simultanément, se propageant à une vitesse fulgurante à travers Los Angeles, cela dépasse largement la simple coïncidence. Ce n’est ni le hasard ni la nature qui sont en cause ici. Ces flammes semblent suivre une trajectoire délibérément définie. Ce qui est un phénomène totalement incompréhensible d’un point de vue naturel. La synchronisation parfaite de ces feux, qui se déchaînent en une furie incontrôlable, soulève des interrogations légitimes. Non seulement elles ont détruit des quartiers entiers, mais elles ont également épargné des éléments tels que les arbres, les clôtures et même les poubelles bleues. Comment les jantes en aluminium des voitures peuvent-elles fondre alors que le bitume est intact ? Comment le béton peut se retrouver pulvérisé en cendres à cause de la chaleur et que les haies à coté restent intactes ? Cela ressemble à l'effet micro-onde qui cuit l'aliment mais pas le plat. Ces feux semblent donc être plus que sélectifs dans leur destruction, ne laissant derrière eux que des ruines là où des projets de développement immobilier sont prévus.
Le gouvernement californien, déjà sous le contrôle des grandes puissances économiques et politiques, utiliserait donc ces incendies comme catalyseur pour "dégager" des zones entières, afin de faire place à des projets immobiliers futuristes, bien loin de la vie urbaine actuelle. Les quartiers dévastés, comme celui de Pacific Palisades, un lieu prisé par les célébrités, sont précisément les zones où la transformation vers une "Smart City" est déjà envisagée, mais visiblement pas assez rapidement pour atteindre l'objectif fixé en 2028 par le WEF. Ces projets incluent des complexes d’appartements géants, une gestion centralisée et, surtout, une surveillance de chaque aspect de la vie des habitants qui se fera surement, à l'instar de Paris, au moment des JO 2028. L'objectif limpide est donc de créer des villes totalement contrôlées, où chaque mouvement, chaque action, chaque décision est surveillé et analysé par des intelligences artificielles omniprésentes. Le tout sous un déluge de cérémonies décadentes pour fêter l'évènement.
Des éléments troublants, souvent ignorés, étayent cette thèse qui démontre qu'un mois avant même l’éclatement des incendies, des compagnies d'assurance avaient annulé les couvertures incendie pour des milliers de propriétés dans la région. Comment ces entreprises ont-elles pu anticiper une telle catastrophe ? Plus inquiétant encore, des rapports révèlent que l'approvisionnement en eau a été mystérieusement coupé dans des zones stratégiques, deux mois auparavant, rendant la lutte contre les flammes pratiquement impossible. Pire les budgets alloués aux Pompiers ont été volontairement dévoyés vers l'aide aux migrants. Le réservoir massif de Pacific Palisades, capable de contenir des millions de gallons d’eau, était lui aussi inexplicablement vide au moment où les incendies ont éclaté. Alors, que faire face à de telles anomalies récurrentes, ou coïncidences, qui font des évidences ?
Et les spéculations ne s’arrêtent pas là. Des images radar et des vidéos amateurs ont capté des faisceaux d’énergie apparemment dirigés depuis une source inconnue dans le ciel, potentiellement liée à des installations militaires ou des technologies expérimentales, alimentant les départs de feux. En outre, des avions non identifiés ont été observés survolant la zone des incendies, soulevant des questions sur l'utilisation de nouvelles armes de détection à distance (DEW) par l'armée américaine, qui pourraient avoir été utilisées pour déclencher ou intensifier les feux. Encore une coïncidence ? Ou un indice de plus d’une manipulation systématique orchestrée par les mêmes personnes, visant à détruire certaines zones tout en laissant d'autres intouchées, créant ainsi un terrain propice à des projets immobiliers de transformation massive des lieux avec des Smart Cities ?
On constate, sans grands efforts intellectuels, que ces incendies s’inscrivent parfaitement dans cette vision plus large de remodelage de notre planète, un projet de villes mettant les habitants sous contrôle total de la technologie de surveillance et soutenu par le WEF. Ce schéma prévoit une transformation radicale des grandes villes mondiales en espaces totalement déshumanisés, où les individus sont réduits à de simples unités traçables, surveillées en permanence et coupées de toute forme d'autonomie. Paris est déjà en route, et comme pour Los Angeles, cela inclut aussi une réduction drastique de l’usage de voitures privées, un contrôle centralisé de l’énergie, de l’eau, et de l'alimentation, et bien entendu, une surveillance omniprésente des habitants par le biais d'outils technologiques avancés.
Klaus Schwab, le fondateur du WEF, a même prédit que Los Angeles serait "sans voiture privée" d'ici 2030, transformant ainsi la ville en un modèle d’urbanisme futuriste, mais profondément dystopique. Mais pour que ce projet prenne forme, il fallait d’abord libérer des espaces et préparer les citoyens à accepter ces transformations radicales. On ne construit pas du neuf sur de l'ancien. Comment rendre cela possible ? Simplement en semant la peur, la confusion et la désorientation dans la population en vue de la faire quitter les lieux ou d'y mourir. Vue sous cet angle, les incendies offrent l’opportunité de "justifier" une telle transformation. La peur des flammes et la nécessité de reconstruire, mais sans remboursement de la part des assurances, permettent de légitimer l’énorme projet de rénovation urbaine, et ce, au prix de milliers de vies et de propriétés détruites.
Le contexte de cette destruction fait écho à une manipulation sociale en cours depuis des années. Les valeurs traditionnelles sont subverties et des idéologies controversées, voire destructrices, sont imposées à la société. Les incendies ne sont pas seulement une catastrophe naturelle, mais deviennent un moyen de transformer le tissu social en effrayant les habitants, déstabilisant les communautés et facilitant l’introduction de nouvelles normes de contrôle social. La Californie, autrefois bastion de la créativité et de la liberté, semble se transformer sous nos yeux en un terrain de jeu pour les élites globalistes, un laboratoire de transformation sociale où l’individu n’est plus qu’un pion dans un gigantesque puzzle technologique.
Les feux qui ravagent Palisades et d’autres régions de Californie semblent symboliser bien plus qu’une simple perte matérielle. Ils incarnent, de façon prophétique, le résultat d’une société en déclin tels que des "Sodome et Gomorrhe" modernes. Ces feux ne sont donc pas seulement des destructions physiques mais symbolisent une dégradation morale et sociale, à l'instar du feu qui a ravagé Notre-Dame de Paris mais dont les résultats d'enquête ont été classé "secret défense", et une Californie qui semble avoir semé les graines de sa propre perte spirituelles. Pour certains, les choix politiques de l'État, ses dérives idéologiques, et son abandon des valeurs traditionnelles ont conduit cette terre autrefois prospère à son déclin. Les Anges brulent dans les flammes de l'Enfer créées par l'armée US, la DARPA et le WEF.
De plus, les politiques de l’État démocrate de Californie sont fréquemment critiquées pour avoir favorisé des dérives sociales radicales, des changements qui, selon leurs détracteurs, menacent la stabilité familiale et la pureté morale des jeunes générations. Les programmes éducatifs, la "cancel culture" et le wokisme financé par Soros, la normalisation des débats sur l’identité de genre et la sexualité, et la présence de figures controversées de Trans et de Drag-Queen dans les écoles, sont vus par beaucoup comme des indices de cette décadence totale de la société. La question qui se pose est alors de savoir jusqu’où ces dérives iront-elles avant que le peuple ne se réveille ?
Certains plus éveillés et informés voient donc ces incendies comme un acte symbolique de puissances occultes ténébreuses. Ces flammes, selon eux, ne sont que le reflet des maux qui rongent la société, un signe envoyé par des groupes puissants, dont les actions, souvent associées à des pratiques sataniques, visent à détruire les fondements mêmes de la morale et de la civilisation chrétienne. Les figures de l’élite mondialiste, comme Klaus Schwab, Georges Soros ou encore Bill Gates, sont clairement accusées de perpétuer un plan visant à effacer les valeurs traditionnelles au profit d'un ordre mondial tyrannique et déshumanisé.
Un autre aspect troublant de ces incendies est l’observation que certaines structures, comme les églises de Scientologie, soient restées totalement intactes, malgré l'ampleur de la destruction environnante. Ce phénomène particulier a attiré l'attention de plusieurs observateurs, y compris du Président Joe Biden, qui a publiquement signalé que les bâtiments ayant des toits de la bonne couleur (bleue) n'avaient pas été touchés par les flammes. Selon lui, cette couleur spécifique des toits jouerait un rôle protecteur, permettant à ces édifices d’échapper à la furie des incendies, générés depuis le ciel. Une telle déclaration, tout en semblant étrange, a alimenté des spéculations sur l’utilisation de technologies avancées, notamment des armes à énergie dirigée (DEW, micro-ondes ou lasers) capables de manipuler ou de contrôler les feux à distance, sauf sur la couleur bleu pour une question de longueur d'ondes.
Ce phénomène ne semble pas relever du simple hasard. Les églises de Scientologie, (représentées par Tom Cruise) qui possèdent de nombreux bâtiments dans la région, notamment avec ces fameux toits bleus, sont souvent perçues par certains comme étant liées à des puissances occultes ou à des réseaux d’influence puissants. Ces structures ont échappé aux flammes, tandis que les quartiers voisins, souvent habités par des citoyens ordinaires, ont été réduits en cendres. En permettant à ces églises, et à leurs bâtiments symboliques, de résister aux flammes, ces puissances souhaiteraient préserver des zones de pouvoir et de contrôle pour la mise en place de cette transformation urbaine et sociale radicale à venir. La maison de John Goodman fut totalement ravagée par les flammes, mais pas sa poubelle en plastique bleu posée sur le trottoir, par exemple. Cette différence flagrante soulève des questions pour savoir si les toits, les voitures ou plus largement les objets bleus sont une simple coïncidence, ou sont une partie intégrante d’un plan plus vaste visant à exterminer l'espèce humaine et la liberté ?
Il est donc difficile d'ignorer cette relation entre ces événements et les ambitions globalistes de créer des Smart Cities. Le phénomène des églises de Scientologie avec leurs toits bleus résistants aux flammes pourrait bien être une métaphore de ce que l’élite envisage pour l'avenir avec un contrôle précis et inaltéré sur certains secteurs, tandis que le reste de la population est soumis à la dévastation pour faciliter la réorganisation. La destruction massive et sélective des zones résidentielles, comme récemment à Maui (Hawaï), semble donc faire partie d'un plan plus large, où des technologies sophistiquées sont utilisées pour chasser les habitants et reconfigurer la ville selon les diktats des nouvelles élites technologiques.
La destruction par le feu à Los Angeles n'est pas un cas isolé. De nombreuses villes à travers le monde semblent également subir des catastrophes naturelles telles que des incendies ou des inondations, des événements qui, loin de relever uniquement du hasard, s’inscrivent dans cette stratégie destructrice de l'ancien monde soutenue par des organisations telles que le World Economic Forum (WEF), en lien avec l'agenda 2030 et 2045. Ces villes semblent donc être le terrain d'expérimentation idéal pour les forces qui cherchent à imposer un nouveau modèle d'urbanisme sous contrôle total. Tout comme à Los Angeles, l’intensité de ces catastrophes semble disproportionnée, sinon dirigée, par rapport aux phénomènes climatiques observés dans d’autres régions. Ce qui soulève des interrogations légitimes sur l’éventuelle utilisation d’outils technologiques avancés pour orchestrer ces désastres, tel que HAARP.
À Valence en 2024, en Espagne, des inondations dévastatrices ont frappé la ville, provoquant des destructions considérables dans plusieurs quartiers. Les pluies torrentielles et les crues des rivières ont submergé les infrastructures, anéantissant des dizaines de milliers de foyers. Mais ce qui est particulièrement frappant, c'est la coïncidence de ces inondations avec des projets de réaménagement urbain visant à transformer la ville en une "Smart City" à l'image des visions du WEF. Le lien entre cette catastrophe naturelle et la réorganisation des espaces urbains n’est pas anodin. Valence, une ville historiquement marquée par un climat méditerranéen relativement stable, a vu ses infrastructures d’eau et de drainage mise à mal lors de ces inondations. Des rapports ont émergé, soulignant que des projets de "résilience climatique" portés par des entreprises liées au WEF avaient transformé des zones de la ville en véritables "zones de test" pour des technologies d’assainissement de l’eau et des solutions de gestion des inondations. Ces projets se révèlent incompatibles avec la réalité du terrain, et des choix stratégiques douteux dans l’aménagement des infrastructures ont pu amplifier les dégâts, ouvrant la voie à une destruction plus large nécessaire à la redéfinition de l’urbanisme.
On a vécu la même chose avec les ouragans simultanés qui ont noyés la Floride, il y a peu de temps, mais où BlackRock avait besoin de chasser les habitants des terres pour l'exploitation de sa mine de lithium. Les ouragans récents (Hélène) qui ont frappé la Floride ont eu des conséquences dévastatrices sur la population locale, mais il est important de souligner qu'ils ont également servi des intérêts économiques stratégiques. En effet, ces catastrophes naturelles ont ravagé des régions habitées, poussant de nombreuses familles à fuir leurs foyers. Ce déplacement forcé des populations a eu pour effet collatéral de libérer des terres qui étaient auparavant occupées, mais que des entreprises comme BlackRock, investissant dans le secteur des matières premières, convoitaient pour leurs projets. Plus précisément, ces zones seraient situées près des sites potentiels de production de lithium, un minerai essentiel pour la transition énergétique. Le timing de ces événements soulève des interrogations. Bien que cela ne puisse être prouvé de manière formelle, la coïncidence entre la dévastation des ouragans et les besoins de développement de sites miniers semble suggérer un lien indirect entre les deux.
De la même manière qu’à Los Angeles, Valence subit les conséquences d’un climat de plus en plus extrême qui précipite la mise en œuvre de nouveaux modèles urbains. À São Paulo, au Brésil, des feux de forêt ont ravagé de vastes étendues de terres, détruisant non seulement la végétation, mais aussi des habitations dans des quartiers périphériques où des projets de Smart Cities sont désormais en développement. En Australie, les incendies qui ont frappé l’état de Nouvelle-Galles du Sud ont non seulement été d’une intensité inédite, mais ont aussi permis de libérer des terrains pour des projets de réaménagement qui incluent la construction de zones résidentielles connectées et surveillées. Ces catastrophes, loin d'être naturelles, qu’elles soient liées à l’eau, au feu ou à d’autres phénomènes extrêmes, peuvent être interprétées comme des mécanismes permettant de chasser les habitants des quartiers concernés, créant ainsi un vide propice à l’implantation de nouvelles infrastructures correspondant au modèle des "Smart Cities".
Ces événements ne sont absolument pas des accidents liés aux caprices de la nature. Ils sont la conséquence d’un environnement politique et économique qui utilise les catastrophes naturelles comme levier pour imposer une transformation radicale de la société et des infrastructures, où la population pauvre est éliminée. Ainsi, les incendies à Los Angeles, en Australie, au Brésil, les inondations à Valence et en Floride ne sont pas simplement des catastrophes naturelles. Ce sont clairement des étapes d’un projet mondial plus vaste, visant à redéfinir le paysage urbain selon les intérêts d’une élite globaliste. Le lien entre ces événements et les ambitions du WEF devient de plus en plus évident, et les populations concernées se retrouvent encore face au choix ultime de se soumettre à la transformation imposée, ou résister à cette tentative de contrôle total.
Ces événements tragiques, tout en détruisant des vies et des biens, révèlent une volonté de contrôler, manipuler et transformer les citoyens sous prétexte de progrès technologique. La question se pose alors : jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour accepter cette dystopie qui nous est imposée sous couvert de modernisation ? Et la réponse à cette question déterminera le futur de notre monde…
Phil BROQ.
Il existe une quantité inimaginable pour le commun des mortels de manipulations et elles sont en grande partie causées par les structures de pouvoir sous lesquelles nous vivons. Les puissants y consacrent d’énormes ressources en utilisant toutes les moyens possibles et à leur disposition pour que leurs efforts pour endoctriner les masses s'avèrent plus que fructueux. Notre civilisation est tellement saturée de propagande et notre conscience tellement endoctrinée, que nous avons beaucoup plus de chances de nous faire une idée précise du monde en faisant confiance à notre propre perspicacité qu'en faisant confiance à ceux qui ne veulent que nous écraser pour asseoir plus encore leurs pouvoirs. Encore un excellent billet mon cher Phil. Prenez bien soin de vous.
RépondreSupprimerMerci infiniment pour ce commentaire vous avez parfaitement capté l'essence de la manipulation qui se cache derrière les grandes structures de pouvoir. Continuez à nourrir cette lucidité, et surtout, n'oubliez pas que dans un monde saturé de manipulations, une pensée libre est une arme redoutable !
SupprimerJe rejoins à 100% à 100% votre thèse "complotiste. D'autant plus qu'il existe, en Antarctique, un complexe HAARP (programme de recherche sur le rayonnement à haute fréquence (High Frequency Active Auroral Research Project) hyper puissant capable de déclencher des séismes dont des incendies très ciblés (MauI) sur n'importe quelle partie du globe. Ce laboratoire (de contrôle) gigantesque à l'échelle planétaire donnerait aussi la possibilité de radiographier la terre sur une profondeur de plusieurs kilomètres (tomographie terrestre pénétrante) à la fin de découvrir les champs de pétrole et de gaz, mais aussi les équipements militaires sous-terrains, et le radar transhorizon qui identifie des objects à grande distance au-delà de la ligne d'horizon sont d'autres applications du système HAARP. Nous n'avons pas affaire à un projet fou de science fiction mais à une réalité inimaginable pour le commun des mortels. Faust n'était qu'un enfant dans un bac à sable en comparaison des néo sorciers du Haut-Château technocratique ... Pour la France, un bonne nouvelle: Candice Owen, journaliste (hyper douée) US protégée par la clique à claques de Trump, attaque de plein-fouet le couple jean-michel emmanuel. Le temps des révélations (Apocalypse) va vraiment commencé. 2025 nous en fera voir de toutes les couleurs et notre pays déjà très éprouvé n'en sortira pas indemne ainsi que l'UE nazifiante ... Le Mac avait raison au moins sur un point: nous sommes en guerre et je dois dire qu'à l'époque (Covid) où il avait prononcé cette phrase, je l'avais pris pour une fois - et peut(être l'unique - très au sérieux. "Citoyens, aux armes ! A l'amour, Citoyens !" clamait un vieux poète rebelle dans un de ses chefs d'oeuvre du début des années 70.
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire à la fois percutant et haut en couleur qui, comme un bon film d’action, me laisse à la fois suspendu et curieux de voir ce que le futur nous réserve. Votre référence à Faust et aux "néo-sorciers" du Haut-Château est très juste, et il est vrai qu'il faut parfois être un poète rebelle pour faire face à ces "grands jeux" invisibles avec dignité et garder un soupçon d'espoir. Vous avez un regard acéré sur ce qui se trame dans l'ombre et ça fait plaisir de lire ça. Si le grand réveil est pour bientôt, je crois qu'on peut déjà se préparer à une sacrée tournée de révélations… Quant à l'Apocalypse qui pointe à l'horizon, eh bien, tout ce que je peux dire, c'est que le spectacle commence ! Prenez soin de vous aussi, et restez vigilant face à la comédie humaine avec ou sans HAARP !
SupprimerVous êtes un homme bien, je veux dire clairvoyant.Je vous prie de ne pas publier ce commentaire. Je vous écrierai par voie e-mail ces prochains jours et j'ai une belle histoire à vous raconter. Une histoire de plantes.
RépondreSupprimerBonjour Philippe,
RépondreSupprimerLES VIRUS DE L'ESPRIT,
L’histoire de l’infection est longue, étrange, et sombre.
Pourtant elle conduit à l’espoir.
"Et si nous vous disions que l’humanité est au bord de l’extinction à cause d’une maladie ? Que toute la misère, la dévastation climatique, la guerre perpétuelle, et le fétichisme consumériste que nous voyons tout autour de nous s’enracinent tous dans une infection psychique de masse ? Et si nous vous disions que cette infection n’est pas seulement hautement contagieuse mais aussi qu’elle s’auto-reproduit, en accord avec les principes du darwinisme culturel, mais aussi qu’elle se dissimule si bien dans notre psychisme que la plupart des hôtes auront tendance, à cause de leur condition pathologique, à violemment nier qu’ils sont infectés ? Et si nous vous disions ensuite que ce ‘psycho-virus’ peut être décrit comme une forme de cannibalisme ? Oui, de cannibalisme. Pas nécessairement dans le sens littéral de mangeur de chair mais plutôt dans celui de consommer les autres — humains et non-humains — comme moyen d’assurer son profit personnel et sa dominance."
https://fr.sott.net/article/34933-Fiction-ou-realite-Les-parasites-de-l-esprit-ou-la-description-du-wetiko-dans-le-classique-de-science-fiction-de-Colin-Wilson
Merci et bonne journée.
Christine 🍂
Merci infiniment pour ce commentaire profond et percutant. Vous savez exprimer une réalité complexe avec une grande clarté. L’image de ce "psycho-virus" est à la fois saisissante et tragique, mais elle ouvre également la voie à une réflexion nécessaire sur notre monde et notre condition. Et l’idée de "consommer les autres" comme un moyen de survie et de pouvoir résonne profondément, dans un monde devenu fou et inhumain, où l’avidité et la domination s’installent dans tous les recoins de notre existence. Ce texte est une invitation à prendre conscience de notre responsabilité collective et à imaginer un avenir plus juste et harmonieux. Merci ! Bien à vous !
SupprimerPas tout à fait d’accord, reconsidérons votre proposition « fait exprès » par une explication géo magnétique plus large : actuellement le noyau de notre planète se liquéfie et s’accélère. Parlons d’un phénomène trop peu cité, voire là pour le coup super mega « complotiste »….: « Nibiru ».
RépondreSupprimerA l'ouest des USA, la partie continentale Nord-américaine est poussée fortement vers l'ouest et le Pacifique Sud créant un phénomène de "Terre chaude" avec des feux de forêt qui démarrent dans les failles (remontée de magma liquide) qui deviennent ensuite ingérables à cause des tempêtes de vent dues à l'oscillation sévère : (la terre oscille sur elle même : un peu comme une toupie en fin course).
Pendant ce temps, toujours à cause de l'oscillation sévère, la Côte Est se retrouve plongée sous un froid polaire avec de fortes chutes de température et de neige toxique (les résidus des réactions chimiques d'essence et d'oxyde de fer de la queue de Nibiru). Aussi des émanations de SO2 et de méthane qui s'échappent de l'étirement des roches arrachées tout le long de la faille de New Madrid ( et San Andreas) délimitant la frontière occidentale de la portion Sud-Est fermement attachée à la plaque Africaine qui la tire vers l'est.
La Californie brûle plusieurs fois par an depuis 2013... En 2017 comme les autres années... Cependant, pour expliquer ces événements hors normes, les médias y vont de leurs dingueries plus fausses les unes que les autres …(Trump, l’Etat profond, Musk, Poutine, le réchauffement climatique, la petite souris…. ) Bref, Passons.
Pourquoi les voitures calcinées sans que les arbres à proximité ne soient brûlés ? Réponse : une voiture, c'est sec, contrairement aux arbres ou au gazon (court, donc peu exposé aux flammes qui s'élèvent), surtout en hiver (en plus en Californie, ils gardent leurs feuilles la plupart, donc ne brûlent pas)...
De plus, les voitures métalliques surchauffent lors du passage des EMP (impulsion électro magnétique) sorte de laser venant du sol par les failles (San Andreas en Californie, qui bouge beaucoup en ce moment) ou les cheminées volcaniques (comme à Hawaï), alors que les arbres, non-conducteurs de l'électricité, y sont totalement insensibles : l'aluminium fond par courant de Foucault à plusieurs centaines de °C (concentrés dans le métal), alors que le tronc à côté reste à température ambiante et ne bronche pas. C'est ce phénomène qui donne ce fameux métal peint en bleu, qui reflètent le rayonnement électromagnétique le plus énergétique, et donc ne chauffe pas.
Ça ressemble à Mauï ?Oui, et aux précédents incendies californiens : normal, les incendies de Mauï ont les mêmes causes, la compression du Pacifique qui fait remonter le magma et/ou chauffer le sol par subduction. Mêmes causes, mêmes effets...
En plus, il y a des failles, donc probablement pleins d'EMP qui ionisent les dégagements de méthane du sous-sol, donnant ces piliers de lumière ressemblant à des rayons lasers géants sortant du sous-sol.
En gros, cet incendie ressemble à tous les incendies californiens depuis 2013 (des maisons en bois sec qui brûlent, avec la pelouse mouillée devant qui n'a pas brûlée).
Il ressemble aussi à tous ceux qui se trouvent ailleurs (Madagascar, nouvelle-Calédonie et Amazonie) en ce moment même, et personne n'en parle : des cabanes en tôle qui brûle, c'est moins émouvant...
Est-ce que ce sont des histoires d'État profond en pleine Amazonie ou à Madagascar ? Non.
Sans parler des incendies électriques qui font rage en ce moment, comme une voiture s'auto-enflammant dans un parking souterrain (un classique d'EMP amplifiée dans les sous-sols) à Tulles, ou encore ces câbles électriques aériens qui ont fait des arcs électriques impressionnant pendant une heure sans que personne ne puisse rien y faire (très récemment à Brest).
je ne suis pas du tout d'accord avec votre analyse. En premier lieu, si c'était naturel, pourquoi cela aurait commencé qu'en 2013 ? ensuite, cela se produit non pas sur l'ensemble de la cote mais exactement à l'endroit ou les projets smart cities sont prévus, de plus, les mouvements tectoniques auraient empêché l'émergence de ces villes depuis des siècles s'il avait s'agit de subduction. Pour ce qui est du sec ou de l'humide, pourquoi les voitures et pas le bitume dans ce cas ? Si cela vient du sous sol, les arbres bruleraient de l'intérieur et enfin, oui, l'Amazonie comme Madagascar et plus généralement les iles sont convoitées par le deep-state pour l'après 2030... Donc je reste a ma première théorie des DEW ( armes a énergie dirigées qui me semble plus que convaincante.
SupprimerPour dire les autrement et en rester sur le territoire français, celui de ma naissance :
RépondreSupprimerLa France cocufiée, confiée à des destructeurs et des traitres atlantistes a considérablement perdu de sa superbe ces dernières années. Le phare des nations s'est lugubrement éteint et les navires de la prospérité passent au large sans s'y arrêter.
Quand des populations anesthésiées confient le pouvoir à des imbéciles et des débiles, ils ne produisent que des imbécillités et des catastrophes en série … Et si par ailleurs ces maniaques sont aussi des grands bourgeois à prétention écolo-bobo, leurs fantaisies se transforment rapidement en ruines … Nous en sommes chaque jour qui passe les témoins stupéfiés et les victimes consentantes, par inertie ! Le grand problème de tous ces grands serviteurs de l'état vassalisé aux puissances financières, est surtout qu'ils bénéficient d’un environnement protégé les séparant totalement et volontairement de la réalité des “autres” mortels, les gueux et les manants. Ils jouissent de « privilèges royaux» pour lesquels ils ont fait carrière envers et contre toute logique du bien commun afin d’occuper des “positions envieuses”, sans se salir eux-mêmes les mains.
Le pire c’est qu'ils ils prétendent occuper toutes les plus hautes responsabilités sans en prendre aucune... Ils fuient les responsabilités comme des cafards la lumière. Nous les citoyens lambda en sommes réduits à dépérir dans un environnement en péril où il faudrait s'inquièter pour les "prouts" de vaches hyper vaccinées alors que tout part en capilotade. Le climat du pays va-t-il enfin commencer à se réchauffer pour de bon? J'ai rêvé cette nuit que je plantais des cactus dans les jardins de l'Elysée, des grenadiers autour de l'Arc de Triomphe et des palmiers-dattiers place de la Concorde...
Votre commentaire souligne avec une grande acuité les dérives de notre époque, où une élite déconnectée de la réalité semble en permanence échapper à ses responsabilités tout en maintenant un pouvoir démesuré, souvent au détriment de l'intérêt général. Ce décalage entre les dirigeants et la réalité quotidienne des citoyens est un phénomène inquiétant qui nourrit la frustration et l’impuissance collective.
SupprimerL'image de la France, autrefois phare des nations, qui semble désormais dériver sans cap, est en effet frappante. La politique menée par ceux que vous décrivez comme des "destructeurs" et "traîtres atlantistes" contribue à cet affaiblissement. En préférant des alliances de pouvoir à des politiques bénéfiques pour le peuple, et en cultivant des préoccupations idéologiques déconnectées des enjeux réels (comme les symboles écolo-bobos que vous évoquez), cette élite semble non seulement ignorante des souffrances des citoyens, mais aussi complice de la lente dégradation du pays.
Il est vrai que l'inertie est un grand mal. Cette tendance à laisser les choses se dégrader plutôt que de chercher des solutions courageuses et réalistes, dans une époque où chaque décision semble dictée par des intérêts financiers ou géopolitiques étrangers à la souveraineté nationale, renforce le sentiment de nonchalance qui enveloppe les pouvoirs en place. Cette classe dirigeante, en quête de "privilèges royaux", est prête à fuir toute confrontation avec la réalité, préservant ses avantages tandis que les citoyens doivent supporter les conséquences de leurs décisions, ou plutôt leur absence de décisions...
En ce qui concerne les inondations à Valence, il semblerait que les écolos aient imposé, via l'UE, de redonner leur "liberté" aux rivières. Ainsi, plus de 200 ouvrages (digues, barrages, ...) auraient été détruits en 2024 dans l'UE dont plus de la moitié en Espagne.
RépondreSupprimerC'est un fait et non pas une théorie... Ils ont bien détruit Valence, comme ils l'ont fait pour Mauï ou récemment Los Angeles afin d'y implanter leurs futurs camps de concentration 2.0 nommé "smart cities". ceci est largement documenté. Bien à vous !
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