27 août 2024

DICTATURE 2.0: L'OLIGARCHIE EUROPÉENNE À L'ASSAUT DE LA LIBERTÉ.

 L'Europe, autrefois berceau de la démocratie et des droits de l'homme, glisse aujourd'hui vers une répression inquiétante. Cette dérive autoritaire, orchestrée par une oligarchie technocratique enragée, menace les fondements mêmes de la liberté d'expression. Les élites dirigeantes, terrifiées à l'idée que leurs manigances soient exposées au grand jour, s'emploient à réduire au silence toute dissidence. Le cas récent d'Elon Musk, menacé de censure pour ne pas se conformer aux règles de l'Union européenne, illustre cette folie répressive. Mais cette attaque contre la liberté dépasse largement l'affaire Musk : elle s'inscrit dans un schéma plus large de persécution des voix indépendantes, comme en témoignent les pressions exercées sur les patrons de Telegram et de Rumble. Dans ce contexte, les médias, gangrenés par la corruption, jouent un rôle central dans la propagande d'État, diabolisant ceux qui osent défier l'ordre établi.

Les événements récents montrent clairement que la France, sous l'égide de Macron, applique méthodiquement les consignes de Bruxelles, en particulier celles de figures comme Thierry Breton, pour réprimer toute forme de liberté d'expression. La menace de bloquer X (anciennement Twitter) si Elon Musk refuse de se plier aux règles de censure européennes est emblématique de cette tendance autoritaire. L'Union européenne révèle ici son véritable visage : celui d'une dictature technocratique qui cherche à contrôler l'information pour protéger ses intérêts. Cette attaque contre Musk s'inscrit dans une série de violations des droits fondamentaux, qui suscitent une vague d'indignation parmi la presse alternative et les opposants de tous bords.

Ce climat de répression est exacerbé par une terreur omniprésente, qui ne se limite pas à la peur du châtiment, mais qui paralyse l'âme elle-même. Kafka avait anticipé ce phénomène : une terreur qui empêche de prononcer un mot interdit, de nourrir une pensée impensable, de défier le regard omniscient du pouvoir. Cette terreur rend les individus dociles, soumis à une surveillance constante, dans une anticipation du châtiment qui envahit chaque aspect de leur vie. Le cas d'Elon Musk, comme ceux de Julian Assange, Edward Snowden et Pavel Durov, témoigne de cette réalité sombre : l'Occident, qui se targue d'être le champion de la liberté.

Au cœur de cette machine répressive, les médias français, gangrenés par la corruption, ont abandonné leur rôle de contre-pouvoir pour devenir les relais de la propagande d'État. Plutôt que de dénoncer ces dérives autoritaires, ils se livrent à une chasse aux sorcières contre les journalistes qui osent révéler les vérités dérangeantes. Les termes utilisés par ces médias sont d'une violence inouïe : « cafards », « vermine », « gangrène », « dingos », autant de mots qui rappellent sinistrement les heures sombres de l'histoire. Nous ne sommes pas au Rwanda en 1994, mais en France, sur les ondes de TF1 ou de RTL. Figures emblématiques de cette presse corrompue, des personnalités comme Alba Ventura ou Emmanuelle Anizon, préfèrent s'attaquer à ceux qui dénoncent les mensonges du système, plutôt que de se pencher sur les véritables questions, notamment celles entourant le couple présidentiel Macron.

Cette campagne de diffamation est dirigée contre des figures comme Xavier Poussard, l'un des rares journalistes à oser défier cette omerta médiatique. Son travail, qui vise à exposer les mensonges et les manipulations des élites, est systématiquement dénigré par une presse qui préfère protéger ses maîtres plutôt que de servir la vérité. Cette mascarade médiatique est le reflet d'une corruption généralisée qui gangrène la démocratie et asservit l'opinion publique.

La menace de censure contre Elon Musk, orchestrée par une Union européenne en pleine dérive autoritaire, n'est que la pointe de l'iceberg. Derrière cette attaque, se cache une répression systématique de la liberté d'expression, alimentée par une terreur omniprésente qui paralyse la société. Les médias, complices de cette dérive, préfèrent diffamer les vrais journalistes plutôt que de défendre la liberté de la presse. Dans cette Europe en déclin, il est impératif de rester vigilant et de défendre les fondements de la démocratie. La liberté d'expression, aujourd'hui plus que jamais en danger, doit être protégée coûte que coûte, face à une oligarchie devenue folle, déterminée à imposer son contrôle absolu sur l'information et à étouffer toute voix dissidente.


Phil BROQ.



25 août 2024

L'ARRESTATION DE PAVEL DUROV OU LA CHUTE D'UN DÉFENSEUR DE LA LIBERTÉ FACE À LA CENSURE DES ÉLITES

 L'arrestation de Pavel Durov, le milliardaire cofondateur et PDG de Telegram, à l’aéroport du Bourget ce 24 aout 2024, est un symptôme alarmant du contrôle de plus en plus serré que les élites contemporaines cherchent à exercer sur toute forme de communication et de dissidence. Telegram, une des dernières plateformes où la liberté d'expression subsistait encore, est désormais dans le collimateur de ceux qui ne tolèrent aucune contestation.

Cet événement ne fait que renforcer le constat que nos institutions sont gangrenées par une corruption systémique, où une justice exsangue est au service d’une caste dirigeante décadente. En France, le pouvoir en place n’hésite plus à employer des méthodes dignes des régimes autoritaires pour bâillonner ceux qui représentent une menace pour leur monopole sur l'information. La presse, de son côté, se transforme en organe de propagande, justifiant l'injustifiable et imposant une réécriture constante de la réalité pour correspondre aux dogmes idéologiques du moment.

La censure, dans cette nouvelle ère totalitaire, ne se limite plus à l'interdiction de dire. Elle oblige désormais à formuler un discours aseptisé, où le réel est un euphémisme, masqué par une novlangue qui réécrit l'Histoire, modifie les œuvres culturelles, et impose même une langue dénaturée par l'écriture inclusive. Cette réécriture permanente est une inquisition moderne, visant à contrôler les esprits et les cœurs de manière idéologique et autoritaire. Ce qui est spécifique à notre époque et à notre pays, c’est la manière dont cette censure « sociétale », fruit du gauchisme culturel intolérant et victimaire, s’articule avec une censure politique et institutionnelle de plus en plus oppressante.

Les nouveaux censeurs, héritiers d’un libertarisme autrefois impertinent, ont troqué leurs idéaux pour une conformité mortifère. Ils oublient que leur « tolérance » n’est qu’un masque pour une censure plus insidieuse, qui s’allie aux institutions pour imposer des lois liberticides, et dicter au peuple ce qu’il convient de penser et dire. L'arrestation de Durov est un signal fort : le pouvoir est prêt à tout pour étouffer toute voix dissidente, toute plateforme qui échappe à son contrôle.

La dégénérescence des pseudos-élites touche à sa fin. Leur chute est imminente et inéluctable. Les pouvoirs illégitimes et totalitaires ne peuvent plus rien. Tout ce qu'il leur reste est le mensonge et le contrôle des esprits faibles. Aujourd'hui, nous sommes témoins d'une tyrannie rampante où les institutions autrefois garantes de la justice et de la liberté sont désormais au service d'une bande organisée de malfrats qui se fait appeler l'élite contemporaine. Archi corrompus, ces criminels en costume-cravate ne reculent devant rien pour maintenir leurs privilèges, même si cela signifie bafouer les droits les plus fondamentaux du peuple qu'ils prétendent gouverner.

La justice, jadis pilier de l’équité, est devenue une carcasse vide, exsangue, incapable de rendre des comptes ou de protéger les innocents. Elle est le bras armé d'un système en pleine putréfaction, où les juges et les magistrats sont transformés en pantins au service des puissants, prêts à condamner les honnêtes citoyens pour un simple tweet ou pour avoir osé dénoncer les crimes des vrais coupables. La balance est faussée, penchée du côté de ceux qui possèdent les richesses et le pouvoir, laissant le peuple se débattre dans un océan d'injustice.

Les médias, quant à eux, ne sont plus que des instruments de propagande, répandant les mensonges de leurs maîtres avec zèle et dévotion. Ces soi-disant journalistes, prostitués au plus offrant, participent activement à la manipulation de l'opinion publique, distillant la peur, le doute, et la haine pour maintenir la population sous leur joug. Ils ne sont rien de plus que les porte-parole d'une oligarchie dépravée, prête à tout pour étouffer la vérité et maintenir l'illusion d'une démocratie qui n'existe plus que de nom.

Et que dire de la police, qui n'est plus une force au service du peuple mais une milice politique, brutale et sans scrupules, utilisée pour réprimer violemment toute forme de dissidence. Ils matraquent, gazent, mutilent ceux qui osent se dresser contre l'oppression, devenant ainsi les protecteurs zélés d'un régime en décomposition. Chaque coup de matraque, chaque tir de LBD est un acte de lâcheté, perpétré par ceux qui ont vendu leur âme pour un salaire de misère, croyant naïvement que l'histoire les épargnera. Mais ils se trompent, car leur trahison envers le peuple sera gravée à jamais dans les annales de l'infamie.

Les puissants sont fichus par excès d'hybris, et ils le savent. Mais ils voudront emmener beaucoup de monde dans leur mort. Parce que ce ne sont que des lâches dégénérés sans aucune morale ni valeur humaine. Préparons-nous le mieux possible. Les combattre de front n'apportera rien pour nous, le chemin est ailleurs. Mais pour eux, cela donnerait un sens à leur vie et à leur mort pour l'enfer. C'est tout ce qu'il leur reste. Mais que ces tyrans modernes se méfient. Le peuple, qu'ils croient dompter, est en réalité en pleine ébullition et malgré les coups de boutoir de cette censure orwellienne, n’a pas encore dit son dernier mot. La résistance s’organise, non pas dans la violence aveugle qu'ils espèrent, mais dans une réappropriation silencieuse et déterminée des vérités qu'on tente de nous confisquer.

En cette époque d’errance, nous devons rester vigilants, discerner le vrai Christ et le véritable Évangile. Nous devons reconnaître que les épreuves auxquelles nous sommes confrontés sont le moyen utilisé par Dieu pour nous préparer à notre futur rôle dans Son Royaume. En résistant aux tentations de la chair et aux mensonges de Satan, et en permettant à Dieu de nous façonner à travers le désert, nous serons prêts à régner avec Christ dans la gloire. Tout comme Jésus a réussi là où Israël a échoué, nous sommes appelés à suivre son exemple, en acceptant les épreuves de cette vie comme le moyen par lequel nous sommes prêts à partager son règne éternel.


Phil BROQ.




21 août 2024

NOUVELLE TENTATIVE DE DÉPOPULATION PAR L'AGENDA SINISTRE

Dans un contexte mondial marqué par des tensions croissantes et des crises sanitaires à répétition, l'oligarchie financière et l'industrie pharmaceutique semblent orchestrer une nouvelle tentative pour soumettre les populations à des injections mortelles, tout en poursuivant un plan de dépopulation drastique, tel que mis en avant dans l'Agenda 2030. 

Les récents propos de l'économiste russe Mikhaïl Khazine viennent renforcer cette inquiétude. Selon lui, l'élite mondiale prépare une catastrophe sans précédent qui pourrait entraîner des millions de morts. « Les Anglo-Saxons pourraient bien déclencher une nouvelle guerre qui ferait des millions de victimes », a-t-il averti, soulignant que le sommet du projet libéral mondial ne peut maintenir une forte demande pour le dollar qu'en provoquant une catastrophe à l'échelle planétaire. Selon Khazine, cette élite financière est prête à tout, y compris à s'endetter massivement, pour éviter de perdre son pouvoir.

Dans ce cadre, les États-Unis, sous la direction apparente du sénile président Biden, mais en réalité sous l'influence du pouvoir profond, ont ordonné des préparatifs pour d'éventuels affrontements nucléaires coordonnés avec la Russie, la Chine et la Corée du Nord. Les derniers rapports du Pentagone mettent en avant la rapide augmentation de l'arsenal nucléaire chinois, justifiant ainsi une intervention urgente. Une « stratégie nucléaire américaine » classifiée a été mise en œuvre pour contenir ces puissances, un plan hégémonique dont les détails sont strictement gardés secrets et accessibles uniquement à un cercle restreint de hauts responsables militaires et de la sécurité.

Parallèlement à ces menaces géopolitiques, une révélation choquante émerge concernant les pratiques de l'industrie pharmaceutique. Un lanceur d'alerte américain a révélé que Bill Gates, via la Fondation Bill et Melinda Gates, serait impliqué dans la propagation de la variole du singe à travers des chemtrails. Cette opération, nommée « Projet #Skypox », viserait à provoquer une nouvelle pandémie en pulvérisant une souche hautement contagieuse de variole du singe (Mpox) sur des populations civiles, préparant ainsi le terrain pour une campagne de vaccination massive et de nouvelles restrictions draconiennes. Malgré des dissensions au sein de la Fondation, le plan serait avancé avec une détermination inébranlable par Gates lui-même.

Bien que la variole du singe ait jusqu'à présent causé un nombre limité de décès comparé à d'autres maladies telles que la tuberculose ou la malaria, elle est présentée comme une menace mondiale par les médias et les autorités sanitaires. Cependant, les statistiques montrent que le taux de survie est extrêmement élevé, atteignant 99,942 %, ce qui soulève des questions sur l'ampleur de la menace et les motivations derrière cette campagne de peur.

Cette manipulation d'un virus en laboratoire, suivie de campagnes de vaccination, semble s'inscrire dans une stratégie plus large de contrôle des populations et de renforcement du pouvoir de Big Pharma. Les vaccins ARnm, loin d'être la solution, pourraient au contraire provoquer de nouvelles mutations du virus, exacerbant la situation. Les générations vaccinées contre la variole jusqu'aux années 80, qui possèdent encore une immunité naturelle, se trouvent aujourd'hui privilégiées face à ces nouvelles menaces.

En conclusion, il est essentiel de rester vigilant face à ces tentatives de manipulation et de contrôle, tout en reconnaissant la responsabilité individuelle et collective dans la lutte contre cette tyrannie. Ceux qui cherchent à se déresponsabiliser en se présentant comme des victimes doivent être dénoncés pour ce qu'ils sont : des complices d'un système oppressif qui menace la liberté et la vie des peuples du monde entier. Les médecins vaccinateurs n'étant que le bras armé de cette folie génocidaire en Marche.


Phil BROQ.



20 août 2024

TRUMP CONTRE LES ELITES, MACRON CONTRE LE PEUPLE

 À l'approche des élections présidentielles américaines de 2024, le monde entier observe avec attention la montée des tensions politiques aux États-Unis. Donald Trump, malgré les attaques incessantes et les nombreux procès intentés contre lui, reste un candidat redoutable, prêt à reconquérir la Maison Blanche. Sa base électorale, profondément ancrée dans les États du Sud et du Midwest, le considère comme le seul rempart contre un État profond corrompu et manipulateur. Cet attentat récent, loin de l'affaiblir, a renforcé son statut de figure résiliente, un leader capable de défier les élites autoproclamées qui tentent de contrôler le destin du pays depuis les coulisses.

Le retrait de Joe Biden de la course présidentielle, remplacé par Kamala Harris, ne fait qu'ajouter de l'huile sur le feu. Harris, largement critiquée pour son manque d'expérience et son association avec les échecs de l'administration Biden, incarne tout ce que les partisans de Trump rejettent : une marionnette des élites, prête à perpétuer un système corrompu. Face à cette situation, Trump se positionne comme le seul candidat capable de restaurer l'ordre et la souveraineté face à des institutions gangrenées par la manipulation et la fraude.

Mais si les États-Unis semblent pris dans une lutte titanesque pour leur survie démocratique, la situation en France est encore plus désespérante. Le gouvernement d'Emmanuel Macron a démasqué sa véritable nature : une caste non élue qui s'est accaparée le pouvoir par des moyens plus que douteux. Le récent remaniement ministériel, sous la houlette de Gabriel Attal, en est l'exemple le plus criant. Ce gouvernement, supposé démissionnaire, agit comme une véritable dictature déguisée, où chaque décision est prise dans le seul but de renforcer son emprise sur le pays.

La préparation du budget national, menée par Attal et Bruno Le Maire, ainsi que la mise en place de réformes fiscales radicales, montrent clairement que ces hommes ne se considèrent pas comme les gestionnaires temporaires d'une crise, mais bien comme les architectes d'un pouvoir qui entend s'imposer par tous les moyens. Cette mafia gouvernementale, protégée par l'apparence de légalité, impose des lois qui n'ont de légal que le nom, et qui bafouent quotidiennement la volonté du peuple.

Ce gouvernement, véritable parasite accroché au pouvoir, s'est transformé en machine à broyer la démocratie. Les ministres non élus, ou maintenus en place sans le moindre respect pour le processus démocratique, continuent d'imposer leur agenda, au mépris total des principes de représentation et de souveraineté populaire. Leur fuite en avant, caractérisée par une accumulation de lois répressives et de règlements abusifs, illustre leur mépris absolu pour les citoyens qu'ils sont censés servir.

Le terme "totalitarisme" n'est plus une hyperbole lorsqu'on observe les agissements de cette clique au pouvoir. Macron et ses sbires se comportent comme des tyrans modernes, utilisant les institutions de l'État pour étouffer toute opposition et consolider leur domination. La France, autrefois phare de la démocratie, se trouve aujourd'hui sous la coupe d'une élite autoproclamée, qui refuse de lâcher prise, même face à une opposition croissante et déterminée.

En conclusion, alors que les États-Unis luttent pour échapper à l'emprise d'un État profond qui manipule les élections et les institutions, la France se débat sous le joug d'une caste illégitime, qui a transformé le pays en terrain de jeu pour ses ambitions personnelles. Cette "mafia" gouvernementale, qui persiste à gouverner sans mandat populaire, est la preuve vivante que le pouvoir en place n'a plus rien de démocratique. La France est en danger, et il est grand temps que le peuple se lève contre cette tyrannie déguisée pour restaurer la vraie démocratie.


Phil BROQ.




LA POLITIQUE DES PLAINTES ET DES PV

La manipulation des plaintes pour servir des intérêts personnels est un phénomène largement sous-estimé, mais qui gangrène profondément les institutions françaises. L'alliance sinistre entre la maçonnerie, un système judiciaire corrompu, et des forces de police abusives a érigé un mur d'impunité où la justice n'est qu'une façade hypocrite. Derrière cette façade, les plaintes sont transformées en armes, non pas pour défendre la loi, mais pour asservir les citoyens et préserver les privilèges d'une élite déconnectée. Depuis l’époque de la IIIe République, où la maçonnerie a commencé à tisser ses liens de pouvoir, jusqu'à aujourd'hui, la corruption et la déviance ne cessent de croître, pourrissant les racines mêmes de la justice. Les preuves de cette infamie sont omniprésentes, illustrant comment les élites utilisent et abusent d'un système pour se protéger et étouffer toute contestation.

La maçonnerie, ce réseau occulte aux ramifications profondes, a longtemps été plus qu'un simple club privé ; elle est le pilier d'un pouvoir corrompu et inattaquable. Accusée depuis longtemps de favoriser ses membres dans les cercles du pouvoir, la maçonnerie est un cancer qui gangrène la République. Dès la IIIe République, les critiques n'ont cessé de dénoncer la collusion entre les loges maçonniques et les institutions publiques, affirmant que les serments de fraternité qui lient ces soi-disant "frères" sont en réalité des chaînes qui entravent l'égalité des citoyens. Jean-François Mayer, dans L’Antimaçonnisme en France, met en lumière comment ces serments sont une trahison envers la République, créant un réseau de favoritisme et d'abus qui échappe à tout contrôle.

Chaque fois que quelqu'un ose dénoncer cette conspiration, la riposte est immédiate : l'accusation d'antisémitisme. Ce procédé ignoble, bien rodé depuis les lois antisémites et antimaçonniques de Vichy, n'a qu'un seul but : faire taire toute critique et protéger un système gangrené par la corruption. Comme le souligne Frédéric Martel dans La République et les Loges, la maçonnerie se cache derrière le bouclier de l'antisémitisme pour étouffer toute tentative d'exposer sa corruption. Ce stratagème n'est rien d'autre qu'une preuve de plus de la duplicité des élites, prêtes à tout pour conserver leur pouvoir et leurs privilèges.

La corruption en France n'est pas une exception, c'est la norme. Ce n'est plus une question de quelques brebis galeuses, mais d'un système entier gangrené par l'abus de pouvoir. En 2016, la France se classait 23e dans le classement mondial de la corruption établi par Transparency International. Ce chiffre n'est pas seulement une statistique, c'est un verdict accablant sur l'état de décomposition avancée de nos institutions. Les pots-de-vin, les arrangements sous la table, et l'enrichissement personnel des fonctionnaires sont devenus des pratiques courantes. La police et la justice, censées être les garantes de l'ordre et de l'équité, sont désormais les principaux instruments de cette corruption.

Les plaintes pour outrages déposées par les policiers ne sont rien d'autre qu'un outil de chantage et de racket organisé par ceux qui devraient protéger les citoyens. Chaque année, 20 000 plaintes pour outrages sont déposées par des policiers, non pas pour défendre l'honneur de l'uniforme, mais pour remplir leurs poches. Marie Desplechin, dans Les Abus de Pouvoir dans la Police, dévoile comment ces plaintes sont motivées par des intérêts sordides, les policiers utilisant le système judiciaire pour extorquer de l'argent à des citoyens souvent déjà vulnérables. Ces amendes et dommages-intérêts, qui peuvent atteindre 1 000 euros par plainte, ne sont rien d'autre qu'un racket institutionnalisé, une honte nationale.

Pire encore, ces pratiques s'accompagnent d'abus de pouvoir d'une brutalité inouïe. Les manifestations des Gilets jaunes ont révélé au grand jour la véritable nature de nos forces de l'ordre : des brutes en uniforme, qui frappent et mutilent sans vergogne ceux qu'ils devraient protéger. Les images de ces violences policières, immortalisées lors des manifestations de 2019, sont une preuve accablante de la dérive autoritaire de notre système. Pascal Blanchard, dans Violences Policières et Justice, documente ces atrocités, montrant comment le système judiciaire, loin de condamner ces actes, les couvre et les encourage. La police française, loin d'être un rempart contre le crime, est devenue l'un des principaux instruments d'oppression d'un État qui a perdu toute légitimité.

Le slogan "Fais de tes vices ton métier : Deviens policier" n'a jamais été aussi vrai. La police n'est plus une force de l'ordre, mais une force du désordre, semant la terreur au service d'un système pourri jusqu'à la moelle. Un policier n'est rien d'autre qu'un traître à sa communauté, un homme qui a vendu son âme pour devenir l'instrument d'un État corrompu et oppressif. Et La comparaison entre la police et la prostitution, suggérant que la police "fait le trottoir" en rackettant les citoyens pour enrichir un système corrompu, traduit le sentiment de trahison et de dégoût ressenti par les citoyens envers une institution qui a trahi sa mission fondamentale de protection. 

La corruption au sein des institutions publiques françaises a atteint un niveau où elle menace la survie même de notre démocratie. L'alliance entre la maçonnerie, un système judiciaire gangrené, et une police brutale a érigé un mur d'impunité qui protège les élites et écrase les citoyens. La manipulation des plaintes, utilisée comme une arme contre ceux qui osent défier l'autorité, est la preuve éclatante d'une crise morale et politique profonde.

Si la France doit survivre à cette dérive autoritaire, il est impératif de démanteler ces réseaux de pouvoir corrompus. Il ne suffit plus de réformer, il faut purger. Les mécanismes de contrôle doivent être renforcés, la transparence totale imposée, et les acteurs publics responsables de leurs actes, sous peine de perdre toute crédibilité. La société française est à un tournant : soit elle se réveille et exige la fin de cette impunité criminelle, soit elle continue de sombrer dans l'abîme d'une dictature douce où les élites s'engraissent pendant que le peuple souffre.

Phil BROQ.



19 août 2024

LES CAGOTS DE LA RAIE-PUBLIQUE

 L'histoire des cagots, ces parias autrefois rejetés et persécutés par la société, trouve un écho troublant dans la façon dont la République actuelle traite ceux qui ont refusé l'injection expérimentale à base d'ARNm. À travers les siècles, les méthodes de marginalisation et d'exclusion ont changé de visage, mais la logique de domination reste la même. La République, avec son vernis de démocratie et de liberté, n'est pas différente des régimes anciens qui, sous prétexte de protection du collectif, oppriment ceux qui ne se conforment pas à la norme imposée.

Les cagots étaient confinés à des métiers subalternes, marqués par des symboles infamants et tenus à l'écart de la société sous prétexte de leur dangerosité supposée. Leur marginalisation était un outil de contrôle social, une manière pour les puissants de maintenir la population dans un état de peur et de division. De la même manière, les non-vaccinés ont été ostracisés, traités comme des parias modernes, sous le prétexte fallacieux de la sécurité sanitaire. La République, en orchestrant cette stigmatisation, a démontré qu'elle ne protège pas le peuple, mais cherche plutôt à l'écraser, à diviser pour mieux régner.

Les cagots étaient contraints de porter des marques visibles de leur exclusion, comme la patte d'oie, afin que tous puissent les éviter. Aujourd'hui, les non-vaccinés n'ont peut-être pas de marque physique, mais ils ont été publiquement identifiés, stigmatisés et exclus de la vie sociale à travers des mesures coercitives telles que le pass sanitaire. Cette République, prétendument égalitaire, n'a pas hésité à imposer un apartheid sanitaire, créant de toutes pièces une nouvelle catégorie de citoyens de seconde zone, pour mieux asseoir son contrôle sur la population.

La peur et l'ignorance qui ont conduit au rejet des cagots sont les mêmes leviers utilisés par la République pour discriminer les non-vaccinés. En dressant une partie du peuple contre l'autre, en diabolisant ceux qui osent penser différemment, elle perpétue une stratégie vieille comme le monde : diviser pour mieux régner. Les élites républicaines, en pointant du doigt les non-conformistes, détournent l'attention des véritables problèmes de la nation, tout en maintenant leurs privilèges intacts.

Le parallèle est évident : les cagots étaient les boucs émissaires d'une société en quête de sécurité et de contrôle, et les non-vaccinés sont les nouvelles cibles d'une République en quête de domination. Le rejet des non-vaccinés ne repose pas seulement sur des considérations sanitaires, mais sur une volonté claire de diviser le peuple, de créer des dissensions internes pour mieux étouffer toute contestation. C'est une manœuvre perfide, orchestrée par une élite méphitique qui, sous couvert de protection collective, cherche à s'assurer que le peuple reste fragmenté et incapable de s'unir contre ses véritables oppresseurs.

En conclusion, la République actuelle n'est qu'une continuation de ce que les régimes passés ont toujours fait : opprimer, diviser, et stigmatiser pour mieux régner. Les cagots d'hier sont les non-vaccinés d'aujourd'hui, victimes d'une machination politique visant à maintenir les masses sous contrôle. Tant que la République persistera dans cette voie, en discriminant des groupes pour créer des divisions artificielles, elle restera l'ennemie du peuple, une machine à broyer les libertés et à perpétuer l'injustice au profit de ceux qui détiennent le pouvoir.


Phil BROQ.





08 août 2024

TERRORISME CULTUREL ET CORRUPTION INSTITUTIONNELLE

En retraçant l’évolution du concept de terrorisme et en établissant des parallèles avec les tactiques actuelles des mouvements wokistes et LGBT, on constate que la France est confrontée à une forme insidieuse de guerre culturelle. Ces actions, sous couvert de défense des droits et de l’égalité, conduisent à une polarisation extrême de la société et à une perturbation de l’ordre public comparant ces pratiques à des actes de terrorisme idéologique, soulignant leurs objectifs de manipulation mentale et d’intimidation. Cette situation, aggravée par des pratiques de corruption au sein des élites politiques et judiciaires, appelle à une prise de conscience collective et à une action déterminée pour préserver les valeurs fondamentales de la civilisation française.

La société française, comme beaucoup d'autres, se trouve à un carrefour civilisationnel critique. En prenant en otage des millions de familles et en leur imposant la vue de comportements sexuels explicites à des heures de grande écoute, les agressions visuelles et morales deviennent des formes modernes d’attentats terroristes. Le terrorisme se rapproche du concept de guerre idéologique ou de guerre civile. C’est de la manipulation mentale et lorsque les gens ne veulent rien voir, on appelle cela le déni. Au cœur de ces transformations se trouvent des débats enflammés sur les valeurs traditionnelles et les nouvelles revendications identitaires.

Les forces wokistes et LGBT, promues par les médias, utilisent ces méthodes agressives pour choquer et diviser, sous prétexte de défendre des causes égalitaires. Elles ont pour but de promouvoir des messages à caractère idéologique, politique ou anti religieux par la peur et la publicité médiatique. Elles cherchent à troubler gravement l’ordre public par l'exhibition permanente, l’intimidation et la terreur culturelle, menaçant ainsi les fondements de notre civilisation que sont la famille, le respect des aînés et de la nature humaine.

Ces notions partagent le caractère des actes d’extrême violence, et sont motivées par des fins politiques, idéologiques ou stratégiques. Elles opposent un groupe d’individus contre un autre et ont des effets délétères dont la population est victime, délibérément ou accidentellement Parallèlement, les institutions censées protéger la justice et l’équité sont minées par la corruption, rendant la résistance difficile, voire impossible. Comment ces forces interconnectées œuvrent non seulement à choquer et à polariser la société, mais aussi à imposer des lois et des pratiques aussi anti naturelles et liberticides qu'anti chrétiennes ?

Le principe de terrorisme a évolué au fil du temps, allant de l'action individuelle anarchique au début du XXe siècle, à des formes plus organisées et idéologiquement motivées au cours du siècle. Un attentat terroriste est par définition une action destinée à nuire aux biens ou à la vie d’autrui, caractérisée par l’intention de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur. Voici les éléments clés qui définissent un attentat terroriste :
Ils sont souvent préparés et exécutés par des groupes ou des individus organisés, utilisant des moyens variés tels que la propagande, la formation de recrues et la planification stratégique.
Ils sont souvent motivés par des objectifs politiques, idéologiques ou religieux, comme la promotion d’une cause, la défense d’une communauté ou la contestation d’un système politique.
Ils visent à créer une atmosphère de peur et d’anxiété dans la population, contraignant ainsi les pouvoirs publics à se plier à des revendications ou à modifier leur politique.
L’attaque implique une forme de violence excessive et intentionnelle, susceptible de causer des destructions, des victimes.
Selon Wikipedia, il existe quatre grands types de terrorisme :
le terrorisme individuel, provoqué par des rebelles, des anarchistes, ou des nihilistes (admettant une liberté morale),
le terrorisme organisé, prôné par des groupes défendant des idéologies différentes (ex. : extrême gauche, extrême droite…),
le terrorisme d'État,
le cyberterrorisme.
Selon le criminologue Maurice Cusson, ces différents types de terrorisme sont aussi motivés par quatre éléments:
la haine vengeresse (la haine débouche sur la détermination de venger les exactions dont les ennemis seraient responsables),
la dissuasion (pour que la population terrorisée fasse pression sur son gouvernement),
la propagande (pour frapper les esprits),
la provocation (pour pousser un gouvernement à surréagir).

En analysant ces types et ces éléments, on peut se rendre compte comment certains événements et manifestations, particulièrement ceux des mouvements LGBT et Wokistes, peuvent être perçus comme des attaques terroristes contre la structure traditionnelle de la société. Mais il s'agit ici d'un mode d'exercice du pouvoir imposé par une petite caste et non d'un moyen d'action contre lui. Par ailleurs, « Le terrorisme au sens moderne naît avec les médias modernes » nous signale F.B. Huyghe, dans son livre « Message et terreur, acteurs et vecteurs ».

Les marches des fiertés (gay pride), comme la récente cérémonie des JO 2024 jugée indiffusable dans 54 pays, par leurs exhibitions sexuelles en plein jour choquent systématiquement les spectateurs, constituant ainsi autant d'attaques en règle contre la cellule familiale traditionnelle et un terrorisme réel contre la morale chrétienne sinon naturelle.

Les stratégies LGBT avec les dérives de l'inclusivité, les plans d’action contre le racisme qui mènent à la "cancel Culture" et l’égalité impossible sinon sur les salaires entre homme-femme, adoptés par la Commission européenne reflètent les dogmes woke les plus extrêmes. Ces initiatives ne sont pas le fruit du hasard mais résultent d'une manipulation orchestrée par des associations de minorités très visibles, des fermes à troll et un système judiciaire biaisé cherchant à cliver les sociétés occidentales et à imposer leur idéologie. Ces lignes directrices, sous prétexte d’inviter au respect, versent dans l’endoctrinement le plus caricatural, avec des directives grotesques et dangereuses, dans l'impunité la plus totale.

On peut parler également de terrorisme d'État dans le cas où des actions terroristes ont été commanditées, manipulées ou complaisamment ignorées par un État. Lorsque nous parlons de cyberterrorisme, dont font partie les fermes à trolls parrainées par l’État, nous parlons en réalité de personnes payées par des pays pour répandre la désinformation afin d’affecter le discours public et qui utilisent Internet essentiellement à des fins de propagande. En 2017, l'Oxford Internet Institute a recensé 28 fermes à trolls dans le monde entier. Toutefois, dans un rapport de suivi publié en 2018, nous avons constaté une forte croissance, de 28 à 48, du nombre de pays qui pratiquent le trolling. Et ils ne sont pas les seuls à accomplir les basses besognes.

Selon une enquête menée par Harris Interactive et la Fondation Jean-Jaurès en 2023, presque un Français sur deux estime que les juges sont touchés par la corruption. Cette perception est partagée par plusieurs observateurs, y compris le Conseil de l’Europe. L’absence de réaction du système judiciaire face à ces pratiques explique l’impunité totale et l’absence de loyauté dans le système français. Depuis des décennies, les principaux postes de direction en France sont occupés par des individus impliqués dans des réseaux de favoritisme et de corruption, verrouillant toute résistance en instrumentalisant la justice, les autres administrations et les médias. Philippe Pascot, dans son ouvrage "Pilleurs d’État", recense les abus de la classe politique française : salaires exorbitants, exonérations d’impôts, retraites douillettes, passe-droits et autres arrangements entre amis. Ces pratiques se déroulent dans un cadre législatif sur mesure, maîtrisé par ceux qui en profitent. 

Les faits de policiers truands, élus et juges corrompus sont aussi récurrents et devraient être jugés par le peuple devant les assises. Actuellement, ces individus jouissent de préretraites confortables alors qu'ils sont la cause de la ruine de notre société, de ses valeurs, de crimes et de suicides. Ils permettent des milliers de spoliations des biens du peuple au profit d'une caste mafieuse. Les mises sous tutelle d'entreprises, de commerces, et de familles résultent en une dépossession de leurs droits et biens au profit de quelques réseaux et multinationales qui contrôlent nos institutions. Étant donné qu'il y a des caméras partout dans l'espace public, comment se fait-il qu'il n'y en ait aucunes dans les tribunaux et que les grands procès ne sont jamais retransmis ou consultables par les citoyens ?

Un juge intègre remarquerait aisément le caractère inhabituel d’une assignation infondée et délirante, souvent rédigée comme par une personne considérée comme dérangée mentalement. Pourtant, lorsqu'on nous présente cette pseudo justice comme un pilier de l’État, payé avec nos impôts et censé servir l’intérêt général, on comprend l’ampleur du problème. Les conflits d’intérêts sont monnaie courante : procureurs et juges travaillent ensemble, connaissent les mêmes personnes, et partagent souvent les mêmes intérêts. Et la police n'est plus qu'une milice indigne protégeant ces malotrus. La vérité se trouve dans les injustices subies, et c’est cette vérité qui est essentielle. Or, elle ne se manifeste plus tant les procès et procédures sont dévoyés par ceux sensés le défendre. La France est loin de voir inculpé un juge corrompu pour ses malversations, car cela nécessiterait que les avocats cessent de trahir leurs clients. En attendant, nous subissons tous la lâcheté de ces petites mains de la corruption.

Le mot avocat, dérivé du latin "ad vocatus" (au secours) et "ad vocare" (parler pour), souligne leur rôle de défenseur. Pourtant, l'argent n'est pas la motivation première de certains avocats, qui seront payés de toute manière. Refuser de trahir leur déontologie pour un inconnu sans importance ne leur apporte rien, mais leur coûte beaucoup s’ils s’opposent à la corruption d’un juge puissant.

La France, classée parmi les pays les plus corrompus par diverses organisations internationales, (classée comme le 23ème pays le plus corrompu au monde (Économie Matin) et l’un des États les plus corrompus d’Europe, selon Transparency International. La Justice française est classée par la Commission européenne pour la justice 37ème sur 43, présente un tableau inquiétant de ses institutions judiciaires et administratives. Les tentatives de pressions et d’influence sur les magistrats sont réelles. Les témoignages des juges Renaud Van Ruymbeke et Eric Halphen, ainsi que de l'avocat Patrick Maisonneuve, révèlent un système où les pressions et influences sur les magistrats sont monnaie courante. Le préfet Yves Bonnet, dans son ouvrage "La cour des miracles : que font les juges ?", décrit un environnement où la corruption est systémique, affectant la confiance des citoyens dans leurs institutions. 

Le peuple français, souvent passif face à ces abus, continue de subir les conséquences de l'installation d'affairistes mafieux dans nos institutions. La continuité de la corruption, issue du détournement de l'argent de la résistance, a permis à ces trahisons du peuple de France de se perpétuer pour le seul profit de quelques-uns. Les réseaux de la franc-maçonnerie, prétendant avoir créé la République, ont surtout contribué à transformer celle-ci en une "ripoux-blique". Et la mise en place d'élus soumis, proposés au peuple par des techniques de marketing politique et le contrôle total des médias, renforce cette dérive.

Le Parlement européen et la Commission européenne jouent également un rôle clé dans la diffusion de l’idéologie woke et LGBT. Des documents internes, tels que ceux commandés par la commissaire Helena Dalli, suggèrent des changements linguistiques drastiques pour des raisons d’inclusivité, souvent de manière caricaturale et délirante. L’interdiction de termes comme "ladies and gentlemen" ou "homosexuel" montre une tentative de remodeler le langage pour leurs fins idéologiques, ce qui suscite un tollé général. Les pratiques des forces wokistes et LGBT, couplées à une corruption institutionnelle systémique, constituent donc une forme moderne de terrorisme d'État. En prenant en otage des millions de familles et en leur imposant des comportements sexuels explicites à des heures de grande écoute, ces pratiques visent à troubler gravement l’ordre public par l’intimidation et la terreur culturelle. La corruption judiciaire et institutionnelle, omniprésente en France, sape les fondements mêmes de notre civilisation et nous obligent à nous révolter.

La société française, désormais arrivée à un carrefour critique de son histoire, doit prendre conscience de ces menaces et agir en conséquence pour préserver les valeurs de justice, d’équité et de respect mutuel de l'ordre naturel. Le terrorisme d'État, exercé grâce à un système policier et judiciaire corrompu, continuera de saper la confiance des citoyens dans leurs institutions jusqu'à leur disparition prochaine. Nous sommes dans une période de transition où nous comprenons que quelque chose ne va pas. Nous comprenons que cette bête que nous avons créée doit être apprivoisée. Il est urgent de dénoncer et de combattre cette réalité, de réaffirmer les principes fondamentaux de la civilisation et de renforcer le contrôle de ces institutions pour résister aux influences déstabilisatrices. Seule une action concertée et déterminée permettra de surmonter ces menaces afin de préserver les bases de notre pays et assurer un avenir où les valeurs fondamentales de notre civilisation seront respectées et protégées.

Phil BROQ.












 


02 août 2024

MÉDECINE CONVENTIONNELLE VS MÉDECINE NATURELLE

L'annonce récente, par Thierry Casasnovas, de la mort d'Irène Grosjean, figure emblématique de la naturopathie ayant marqué des générations par sa promotion de l'alimentation crue et des pratiques naturelles de guérison, est décédée à l'âge de 93 ans dans un accident de voiture le 30 juillet 2024. Elle considérait la médecine moderne comme "la plus grande fabrique de maladies", et avait estimé que le Covid-19 avait été créé pour faire "vendre des vaccins". Sa disparition, simultanée à celle du naturopathe Daniel Kieffer (73 ans), décédé au cours d’une opération chirurgicale, remet en lumière non seulement l'importance des médecines naturelles, mais aussi les dangers inhérents à la médecine chimique dominée par Big Pharma.

La corruption endémique des institutions françaises et la valorisation des approches naturopathiques devant les obstacles systématiques imposés par les institutions médicales, afin d'empêcher au peuple de se soigner naturellement, ressurgissent. Et cela nous rappelle la pertinence et les défis des médecines alternatives face à la domination croissante de la médecine conventionnelle, dirigée par les grands groupes Pharmaceutiques.

Face à cette situation, les médecines naturelles continuent d'attirer l'attention pour leurs approches moins coûteuses et souvent plus holistiques. Irène Grosjean, avec sa philosophie axée sur une alimentation vivante et des pratiques naturelles de guérison, a laissé un héritage durable malgré les critiques de l'establishment médical. Sa vision d’une santé basée sur des aliments crus et des méthodes naturelles est une alternative précieuse à un système de santé dominé par des intérêts commerciaux.

La médecine naturelle, qui inclut la phytothérapie, l’homéopathie, l’aromathérapie, l’acupuncture et d’autres pratiques naturelles, est considérée par de très nombreux praticiens, comme une approche efficace et respectueuse de l’organisme pour prévenir et soigner les maux du quotidien. Empêchant ainsi les petites maladies de devenir grandes. Elle se fonde sur l’utilisation de substances naturelles, telles que les plantes, les minéraux et les énergies, pour restaurer l’équilibre vital et promouvoir la santé. Elle offre une approche globale et intégrée en prenant en compte les facteurs environnementaux, nutritionnels et émotionnels, et surtout moins invasive et moins coûteuse que les traitements chimiques.

La médecine conventionnelle, sous l'influence écrasante de l'industrie pharmaceutique, est souvent critiquée pour ses pratiques axées uniquement sur le profit plutôt que sur le bien-être des patients. Ainsi, la décision d'Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé, d’interdire l’utilisation de l’hydroxychloroquine lors de la pandémie de COVID-19 est un exemple emblématique de cette tendance qui a marquée le public. Malgré des preuves suggérant son efficacité, la décision de restreindre son usage fut perçue comme une capitulation, sinon une corruption, devant les pressions de Big Pharma, transformant chaque nouvelle maladie en une opportunité commerciale.

Roselyne Bachelot, ancienne ministre de la Santé, a ouvertement critiqué la collusion entre les politiques et les grandes entreprises pharmaceutiques. L'ancienne visiteuse médicale devenue chroniqueuse TV après son passage au ministère de la santé, a mis en garde les spectateurs contre le fait que de nombreux vaccinés pourraient découvrir les effets secondaires des traitements expérimentaux injectés sans information préalable. Ce qui a largement ébranlé la confiance de la population dans l'industrie pharmaceutique et les médias de masse qui la soutiennent, mettant en évidence un problème plus profond.

Les rapports officiels dénoncent également les tutelles et les conflits d’intérêts entre les élus et les entreprises du secteur sanitaire. C’est surtout scandaleux en matière de santé, car il y a des dizaines de milliers de décès évitables chaque année en France, à cause du manque de volonté politique. Par exemple, avec la systématisation de la corruption sur les marchés publics qui est un facteur non négligeable entrainant un grand nombre de salariés à être exposés aux nanoparticules toxiques et qui ne sont pas protégés, alors que l’alimentation industrielle en est truffée. Les agences de sécurité sanitaire ont aussi produit des rapports dénonçant le non-respect des normes européennes REACH sur les produits chimiques, exposant ainsi les salariés et la population à des risques sanitaires. Les élus ont trop souvent préféré poursuivre des politiques économiques à court terme et choisi de ne pas appliquer ces normes, préférant protéger les intérêts des entreprises plutôt que la santé publique.

Ce type de corruption en France est un facteur clé dans les scandales sanitaires, car elle permet aux entreprises d'influencer les décisions politiques et de favoriser leurs intérêts face à ceux de la population. L'histoire récente n'est jalonnée que de scandales au sein des institutions françaises et le secteur de la santé a très souvent défrayé la chronique. Depuis que la Haute Cour de Justice, réformée en 1993, a été marquée par des procédures inédites contre des ministres, les enquêtes et les investigations à l'encontre des responsables restent difficiles dans ce contexte de corruption massive.

Pour mémoire, l’affaire du "Carrefour du développement" des années 1980, impliquant un détournement de fonds, est un exemple de la façon dont la corruption peut influencer les politiques et les pratiques au sein des institutions gouvernementales. Mais encore, Laurent Fabius, ancien Premier ministre et ministre des Affaires sociales, qui a été mis en examen en 1994 pour “complicité d’empoisonnement” en raison de son rôle dans la gestion de l'affaire du sang contaminé non stérilisé, qui a été utilisé pour traiter les patients en France dans les années 1980 et 1990. Plus récemment, Agnès Buzyn, dont le mandat en tant que ministre de la Santé a été controversé, est accusée de conflit d’intérêts en raison de son mariage avec Yves Lévy, directeur de l'Inserm. Sa décision de classer la chloroquine comme substance vénéneuse en janvier 2020, malgré son utilisation éprouvée, soulève des questions sur ses motivations et ses liens avec l'industrie pharmaceutique. Elle est actuellement directeur général pour les affaires multilatérales à l'Organisation mondiale de la santé (OMS). De même, Jérôme Salomon, directeur général de la Santé pendant la même période, a été très critiqué pour ses mêmes liens et ses décisions controversées sur le traitement du COVID-19. Le 17 avril 2023, il intègre la direction de l'OMS, basée à Genève, dont il était déjà membre du comité exécutif, en qualité de sous-directeur général pour la couverture sanitaire universelle et les maladies transmissibles et non transmissibles.

L’industrie pharmaceutique et l'OMS peuvent donc exercer une pression excessive sur les décideurs politiques et les institutions de santé pour promouvoir ses intérêts au détriment de la santé publique. Elle peut influencer les résultats des essais cliniques pour promouvoir ses médicaments, même si ces derniers ne sont pas efficaces ou présentent des risques pour la santé. Ou encore délocaliser ses essais médicamenteux vers des pays où les normes de sécurité et d’éthique sont plus faibles. Elles peuvent faire des publicités trompeuses pour promouvoir leurs médicaments, créant une perception erronée des avantages et des risques associés à ces derniers, mettant en danger la santé des patients.

L'héritage d'Irène Grosjean et d'autres défenseurs des médecines naturelles nous rappelle l'importance de maintenir une diversité d'approches thérapeutiques face à un système de santé dominé exclusivement par des intérêts financiers. La médecine chimique, influencée par Big Pharma, et les scandales de corruption au sein des institutions françaises, mettent en évidence la nécessité d'une réforme profonde et d'une plus grande transparence dans nos pratiques et nos politiques de santé.

Et pour cela, les autorités sanitaires doivent absolument renforcer les normes de sécurité et d’éthique pour les essais cliniques et les médicaments, ainsi que l'encadrement pour les publicités et le lobbying agressif. Et prendre des mesures judiciaires pour empêcher ces pratiques frauduleuses. Les entreprises pharmaceutiques doivent être tenues de divulguer les résultats complets de leurs essais cliniques, ainsi que les conflits d’intérêts de leurs employés et des experts qui les conseillent. Les patients doivent être informés des risques et des avantages associés aux médicaments, ainsi que des moyens de les contrer, pour prendre des décisions éclairées quant à leur santé.

En honorant l'héritage d'Irène Grosjean et en soutenant les approches naturopathiques, nous pouvons espérer construire un système de santé plus équitable, où chaque individu peut choisir des traitements qui résonnent avec ses convictions et ses besoins. La quête d'une santé globale et durable passe par une reconnaissance et une intégration respectueuses des médecines alternatives aux côtés des traitements conventionnels, dans un environnement exempt de corruption et d'influence commerciale.


Phil BROQ.




01 août 2024

DÉNI DE RÉALITÉ ET FOLIE DES MINORITÉS

"De nos jours, la peur de la vérité n'est pas une peur de l'inconnu, mais une peur de quelque chose qu'on connaît très bien. Les gens ont peur d'eux-mêmes parce qu'ils savent qui ils sont." Écrivait dans son livre "Les Hauteurs béantes" (1977) Alexandre Zinoviev. Ainsi, les optimistes et les pessimistes ont un grand défaut qui leur est commun : ils ont peur de la vérité. Les effrayés par la vérité peuvent aussi inclure les croyants qui sont réticents à remettre en question leurs dogmes, comme les non-croyants qui sont effrayés par la possibilité que la vérité naturelle puisse être transmise de manière non révélée.

En effet, actuellement un phénomène inquiétant se développe : une tendance croissante chez certains groupes minoritaires à s'éloigner des normes établies par la nature et la création divine. Ces comportements déviants, souvent encouragés par des tribunaux complaisants, révèlent une dénaturation de la création divine et un rejet de la vérité, ayant pour origine une peur profonde de la société et une incapacité à vivre selon les standards naturels.

Les néologismes inventés par mes soins, de « naturalophobes », « véritophobes » et « jésusophobes » illustrent bien cette dérive. Cette folie des minorités, leur rejet de la nature, de la vérité, des paroles du Christ, ainsi que les conséquences sociales et spirituelles de ces attitudes, sont au cœur du combat actuel qui déterminera l'avenir de notre espèce. La différence avec les siècles précédents, c’est que vivre au XXIème siècle n’est plus, pour la plupart d’entre nous, un défi physique. La vieillesse est aujourd’hui plus fatale que les maladies infectieuses. L’obésité tue davantage que la famine. L'inclusivité provoque plus de rejet que d'harmonie. Alors que le monde peut sembler en pleine tourmente, la vie est pour l’essentiel cohérente et constante. Nous savons, pour les avoir observées et apprises, que les mêmes causes engendrent les mêmes effets.

Ces évolutions ont ajouté de la complexité à nos instincts de survie et de reproduction, mais sans les calmer. Nos défis au quotidien sont moins physiques que psychologiques, car une complexité technologique menaçante a remplacé une faune menaçante. Une vulnérabilité au jugement d’autrui a remplacé une vulnérabilité aux éléments. Un manque de sens a remplacé un manque de nourriture. Une tyrannie des apparences a remplacé une tyrannie de l’indigence. L’évolution nous a donc inculqué le principe que nos chances de survie sont supérieures si nous collaborons avec d’autres humains, si nous privilégions la réciprocité et si nous nous montrons sociables. Ensemble, nous pouvons accumuler davantage de nourriture, construire de meilleurs abris et nous défendre mutuellement.

Mais, de plus en plus de personnes que nous qualifieront d' "hors normes" utilisent les tribunaux pour faire condamner ceux qui osent exprimer des vérités inconfortables à leur sujet. Par exemple, un homosexuel, qui s'exhibe publiquement et nu devant des enfants lors des gays pride, peut se plaindre des insultes homophobes qu'il reçoit et porter plainte. De même, une personne qui modifie drastiquement son apparence et se plaint de ne pas trouver d'emploi pour discrimination, ou une personne obèse qui prône sa difformité sur YouTube et s'indigne des critiques, illustrent cette tendance à utiliser le système judiciaire pour se protéger de la vérité. Car on peut constater que les tribunaux sont dorénavant un refuge contre la vérité la plus basique. Alain Soral a par ailleurs fait les frais de la disparition de la vérité en étant condamné à une lourde amende pour avoir traitée de "grosse Lesbienne", une femme homosexuelle obèse !

Ces individus anti vérité et anti nature, en s'éloignant volontairement du cadre naturel de la société, refusent de voir la réalité en face et pire encore, qu'on leur montre l'image réelle qu'ils nous renvoient. Leur incapacité à accepter leur propre nature humaine, tant au niveau du corps que de l'esprit, les conduits à des comportements égocentriques et destructeurs, non seulement pour eux-mêmes mais aussi pour l'ensemble de la société en détruisant les cadres établis de longue date et qui sont le socle de notre civilisation. Le rejet des normes naturelles, en particulier en ce qui concerne la sexualité, la santé et l'apparence physique volontairement dégradée, ne peut entraîner que le rejet social et l'isolement de ces individus centrés sur eux-mêmes.

Ainsi, l'homophobie, un terme apparu pour la première fois dans un article de la revue pornographique américaine "Screw" en 1969, désigne généralement l'hostilité envers les homosexuels. Cependant, rares sont les véritables homophobes. Le rejet de la pornographie et de la dépravation sexuelle, exposées publiquement et sans avertissement préalable, suscite un rejet naturel de la part des familles ou des personnes ayant reçues une éducation morale saine et naturelle. Lorsqu'elles sont promues à outrance dans l'espace public, ces pratiques sont légitimement rejetées. Ce n'est qu'un rejet de la dépravation et de ses acteurs. Car il est normal, salutaire et naturel de protéger ses enfants, comme la société des déviances en tous genres de leurs auteurs, souvent plus vindicatifs à l'égard des familles que victimes.

La grossophobie, terme souvent utilisé pour désigner la stigmatisation des personnes en surpoids, n'existe pas réellement. Personne n'a peur des gros mais peu de choses sont adaptées à leur condition aussi hors normes. Ce qui existe en revanche, c'est la honte et la colère des personnes en surpoids face à la vérité sur leur état de santé. Dans un monde obsédé par le culte du corps, les critiques envers ces personnes sont souvent perçues comme des attaques personnelles. Cependant, la stigmatisation des personnes en surpoids peut renforcer leurs habitudes de vie malsaines et diminuer leur engagement dans une activité physique. Au lieu d'avoir un effet bénéfique, elle contribue à augmenter le risque d'obésité. La vérité sur leur état de santé, bien que difficile à accepter, pourrait pourtant les aider à retrouver un corps sain et un état d'esprit adéquat.

Les "véritophobes", quant à eux, ont une peur irrationnelle de la vérité. Leur perception de la nature humaine est biaisée, et ils préfèrent rejeter en bloc cette nature plutôt que d'affronter leurs propres insuffisances. Cet égocentrisme destructeur est à l'origine de nombreuses déviances et dépravations actuelles. En se créant une illusion de leur propre nature, ils évitent de tenter de s'approcher de la beauté divine de l'être humain. Ne pouvant s'insérer dans un cadre normal et naturel de la société, ils se protègent en inventant leurs propres règles folles, mais qui ne s'appliquent qu'à eux-mêmes et sans aucune autre raison que leur propre plaisir.

Les études psychologiques montrent que plus les mensonges s'accumulent, plus notre cerveau s'accoutume à ces derniers, effaçant les émotions négatives et s'enfonçant dans le déni. La plupart des gens préfèrent donc de beaux mensonges à de laides vérités, sans se rendre compte à quel point les mensonges les emprisonnent alors que la vérité les sauve. Il est certain que dire la vérité peut être libérateur, mais l'accepter est une autre histoire, car elle blesse souvent avant d'être admise. Mais la vérité est désarmante car elle ne peut être niée. Elle est souvent blessante car elle met en lumière nos défauts et erreurs. Chacun de nous vit avec une illusion constituée de pensées, croyances et habitudes qui forment notre identité. Lorsqu'on est confronté à la vérité, cette illusion peut être brisée, provoquant un rejet violent.

La peur de la vérité se manifeste également par une peur du Christ. Les personnes éloignées de la vérité, c'est-à-dire de la compréhension et de l'acceptation de la nature divine de l'espèce humaine, peuvent éprouver une aversion envers le Christ. Ignace de la Poterie, dans "La vérité dans Saint Jean", explique que la véritable liberté, en nous révélant le Christ, nous révèle à nous-mêmes et nous offre l'espace de la vie véritable. Ainsi, Jésus-Christ, en priant pour le pardon de ses bourreaux malgré leur ignorance et leur cruauté, montre une attitude de pardon et de compassion, une manifestation de la vérité divine. Le langage de Jésus, proposant la vérité sans l'imposer, nécessite une adhésion libre de l'auditeur. Cette réception de la vérité comporte des risques, car Dieu nous a créés libres de refuser la vérité.

En 2003, la Congrégation pour la doctrine de la foi, dirigée par Joseph Ratzinger, publie un opuscule intitulé "Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles" dans lequel elle affirme que « reconnaître légalement les unions homosexuelles ou les assimiler au mariage signifierait non seulement approuver un comportement déviant, et par conséquent en faire un modèle dans la société actuelle, mais aussi masquer des valeurs fondamentales qui appartiennent au patrimoine commun de l’humanité ».

La folie de ces minorités, qui dénaturent la création divine par peur de la vérité sur leur incapacité à vivre selon les normes établies par la nature, est un phénomène alarmant. Leur rejet de la nature comme de la vérité ne fait que renforcer leur isolement et leur souffrance. L'exhibition permanente de leur être leur prohibe toute forme d'introspection. Car le mensonge, c'est évoluer aux tréfonds de l'hypocrisie jusqu'à se mentir à soi-même. Et c'est précisément cette souffrance et cet isolement, dans lequel ils se sont enfermés volontairement avec leur inclusivité, qu'ils veulent faire payer à la société toute entière. La vérité les effraye comme un miroir effraie le chien de son reflet.

Or, la vérité, bien que souvent douloureuse, est la seule voie vers la liberté et la guérison. La vérité même violente, si dérangeante permet à une personne de ne plus vivre dans ce marasme qu'est le faux semblant. Mais l'affronter permet de se libérer de nos maux, de nos incertitudes qui deviennent obsessionnelles à se poser des questions en boucle où les réponses seront fatalement erronées. La vérité permet de vivre dans la lumière. L’évolution de notre espèce a imprimé au plus profond de nous ces notions de vérité et de normalité naturelle, il y a plusieurs milliers d’années. Elle l’a fait afin d’assurer notre survie et notre reproduction, lesquelles sont nos deux raisons les plus démontrables d’exister. Nous sommes autant programmés pour la survie et la reproduction aujourd’hui que l’étaient nos lointains ancêtres, et ce malgré toutes les tentatives récentes pour nous faire croire l'inverse.

Accepter la vérité, c'est accepter la nature divine de l'être humain, se rapprocher de la beauté de la création et vivre en harmonie avec le monde qui nous entoure. En rejetant la vérité, ces minorités ne font que se priver de la possibilité de vivre pleinement et harmonieusement leur temps sur Terre. Vivre dans l'authenticité, la vérité, c'est se respecter, c'est hurler oui à l'univers, à la vie, et en écho recevoir sa bénédiction. Il est donc essentiel de promouvoir une société où la vérité est valorisée, même lorsqu'elle est difficile à accepter. En encourageant chacun à affronter ses propres réalités et à chercher à améliorer son bien-être physique et spirituel, nous pouvons espérer un retour à des valeurs plus en accord avec la nature et la création divine. Surmonter sa peur, c'est le premier pas vers la sagesse dans la recherche de la vérité comme dans la quête d'une vie digne. La vérité, bien que souvent désarmante et blessante, est finalement libératrice et salvatrice.


Phil BROQ.