DE LA PHARMACIE A LA PHARMASECTE !

La médecine moderne est indéniablement précieuse lorsqu’il s’agit de sauver des vies ou de réaliser des opérations chirurgicales complexes. Cependant, l’usage massif de substances chimiques, parfois mal orienté, soulève plus que des questions d'ordre technique. Plutôt que de guérir les patients en éradiquant les maladies, ce modèle médical les enferme souvent dans un cycle de dépendance aux traitements de plus en plus couteux. De très nombreuses personnes deviennent accros aux antidépresseurs ou se voient condamnées à des traitements à vie, sans jamais entrevoir la guérison réelle. Est-ce cela le progrès médical ? J’en doute fortement. Ce que l’on voit progresser surtout, c’est la corruption systématique de nos dirigeants par les grands laboratoires, le prix des médicaments et les revenus de certains praticiens, davantage représentants de laboratoires que véritables soignants.

En tant que magnétiseur, je suis chaque jour plus effaré par le nombre croissant de personnes que je reçois en consultation, abîmées, affaiblies, parfois détruites par une intoxication médicamenteuse silencieuse. Derrière chaque fatigue chronique, chaque trouble inexpliqué, chaque douleur persistante, il y a souvent une ordonnance bien remplie. Et que dire des effets inouïs — et trop souvent tus — des injections contre le Covid-19, qui ont provoqué des réactions aussi diverses qu’inquiétantes, dont les victimes peinent encore à obtenir reconnaissance et accompagnement. La médecine officielle, censée protéger, est devenue pour beaucoup une source de souffrance. Et ce que je constate chaque jour ne fait que confirmer ce que beaucoup redoutent d'un système de santé qui ne soigne plus, mais rend de plus en plus malade et dépendant.

La médecine naturelle, le magnétisme et les soins énergétiques apportent des bienfaits concrets et profonds dans de nombreux cas comme pour le soulagement des douleurs chroniques, l'apaisement du stress, l'amélioration du sommeil, le soutien au système immunitaire, le rééquilibrage émotionnel… Ces pratiques, douces et non invasives, agissent en harmonie avec le corps et l’esprit, sans effets secondaires, en stimulant les capacités naturelles d’auto-guérison. Chaque jour, je vois des personnes reprendre espoir, retrouver de l’énergie, s’alléger de leurs maux. Mais malgré tout cela, je me heurte à une autre réalité de plus en plus lourde à gérer car en revanche, je ne peux rien faire contre la lobotomisation progressive des esprits. Je ne peux pas soigner une pensée trop longtemps formatée, un discernement anesthésié par des années de propagande médicale et médiatique. Lorsque l’endoctrinement est trop profond et que la peur a pris racine, il devient presque impossible de faire entendre une autre vérité, même si elle s’incarne dans la guérison elle-même. Et c’est là que se trouve, aujourd’hui, la blessure la plus profonde de notre société.

Le docteur Henri Joyeux, dans plusieurs de ses ouvrages, a par ailleurs mis en lumière une réalité troublante : le nombre croissant de maladies induites directement par les médicaments eux-mêmes. Ce phénomène, appelé iatrogénie, révèle l’envers du décor d’une industrie pharmaceutique plus soucieuse de rentabilité que de réelle guérison. Selon lui, de nombreux médicaments prescrits au quotidien sont inutiles, voire dangereux, et ne servent qu’à entretenir une illusion de soin, tout en générant des profits colossaux. Ces traitements sans effet curatif réel finissent souvent par affaiblir davantage l’organisme, en créant de nouveaux troubles ou en aggravant les anciens, piégeant les patients dans un cercle vicieux de dépendance médicale.

Les autorités françaises sont devenus les gardiens du temple de la corruption pharmaceutique, et l'État travaille désormais entièrement pour les multinationales de Big Pharma. Il est grand temps de lever le voile sur cette hypocrisie crasse qui gangrène les hautes sphères de la santé publique en France et ses effets délétères sur la population. Officiellement, ces autorités sont là pour "protéger les citoyens", "garantir la sécurité sanitaire", et "prévenir les abus". C'est pour cela qu'elles nous coûtent des milliards d'impôts et de taxes diverses. Mais en réalité, elles se sont transformées en sous-traitants zélés de l’industrie pharmaceutique, ces multinationales pour qui la santé du malade n’est qu’un alibi commode afin de vendre des molécules brevetées, hors de prix, et bourrées d’effets secondaires.

Sous l’ère Macron, la France a vu émerger parmi les pires gestionnaires de santé publique, que certains n’hésitent pas à qualifier de véritables gangsters en col blanc. Ces dirigeants ont non seulement contribué à l’effondrement du système de santé, en fermant des lits d’hôpitaux, en épuisant le personnel soignant, et en poussant à la privatisation rampante, mais ils ont surtout mis en péril la santé des Français eux-mêmes. À coups de campagnes sanitaires douteuses, d’injections expérimentales imposées, de restrictions de libertés sous couvert de sécurité sanitaire, ils ont intoxiqué la population physiquement et psychologiquement. Les scandales liés au Remdesivir, promu à grand renfort de lobbying alors qu’il s’est révélé inefficace, ou encore la gestion catastrophique du Covid, avec des masques d’abord inutiles puis soudain obligatoires, en sont des exemples frappants. Tout cela pendant que les vrais besoins de nutrition saine, de prévention naturelle, d'accès à une médecine humaine étaient ignorés ou discrédités. Le peuple a été trahi, et la santé est devenue une marchandise sous contrôle d’intérêts privés.

Celui qui cherche à nuire à la santé des individus, en manipulant la médecine pour des intérêts financiers ou politiques, est en définitive un assassin de masse. Il n'y a pas d'autre terme pour désigner ceux qui, en exploitant leur pouvoir, condamnent des milliers, voire des millions, de personnes à souffrir inutilement ou à vivre sous traitements chimiques inutiles, parfois dangereux. Ces actions ne sont pas simplement des erreurs de gestion, mais des choix délibérés qui mettent en péril la vie des citoyens. Il est grand temps de dénoncer ces individus, de les exposer pour ce qu'ils sont vraiment : des responsables de la dégradation de la santé publique et du bien-être collectif. Ne pas agir, c’est accepter de voir la souffrance et la mort devenir des instruments de profit. Il est de notre devoir de rétablir la vérité et de lutter contre cette tyrannie médicale.

Pour s’en convaincre, il suffit d’ouvrir les yeux sur la liste sidérante de produits naturels aujourd’hui interdits, restreints ou encadrés de manière kafkaïenne en France. Des plantes millénaires, des extraits marins, des racines, des huiles essentielles, des micronutriments… tous bannis ou muselés sous prétexte de "manque de preuves scientifiques". Pourtant, leurs effets thérapeutiques sont documentés dans des centaines d’études indépendantes, dans des pharmacopées du monde entier, et validés par des usages traditionnels parfois vieux de plusieurs siècles. Mais ces agents patentés de Big Pharma osent dire que ce n’est pas "scientifique", ce n’est pas "sûr", et surtout, ce n’est pas brevetable (comprenez donc pas rentable !). Voilà où se situe le vrai problème.

Et pendant ce temps, le système dit "médical" continue de nous empoisonner en toute impunité ! À tour de bras, on prescrit des statines, ces poisons qui détruisent lentement nos capacités cognitives, des benzodiazépines qui enferment les patients dans une dépendance dévastatrice, des anti-inflammatoires qui bouffent notre estomac à petit feu, et des psychotropes qu'on distribue comme des bonbons à des enfants, sans le moindre scrupule ! Où est la précaution ? Où est la moindre vigilance ? Nulle part ! Parce que tout ce qui compte, c’est que ces médicaments remplissent les poches des actionnaires des grands labos. L’industrie, dans sa course effrénée au profit, se moque éperdument des conséquences sur la santé publique. Leurs actions ne sont pas celles de soignants, mais celles de marchands d’illusions sans scrupules, prêts à sacrifier des vies pour gonfler leur bilan financier. C’est une honte, un véritable scandale au delà du sanitaire qui mérite d’être dénoncé avec la plus grande force, car ce système ne fait rien d’autre que de nourrir la souffrance pour mieux en profiter.

Big Pharma, tel une secte moderne, manipule les esprits avec une efficacité redoutable, aussi bien celui des médecins que celui des patients. D’un côté, elle lobotomise les praticiens grâce à des pots-de-vin déguisés en conférences "éducatives", des cadeaux et des incitations financières, les réduisant à des marionnettes dociles qui prescrivent des traitements dont l’efficacité n’est souvent que secondaire par rapport à la rentabilité. De l'autre, elle utilise les médias pour imposer une vision unidimensionnelle de la santé, où les médicaments sont présentés comme des panacées, effaçant toute alternative. Les patients, influencés par des publicités omniprésentes et des discours rassurants, se voient conditionnés à accepter des solutions chimiques comme la seule réponse valable à leurs maux. Tout cela se fait sous le regard complice de politiciens sans scrupules, qui favorisent cette collusion pour remplir leurs poches et assurer leur pouvoir. Les "experts de plateaux", quant à eux, motivés par des financements privés, abandonnent leur éthique pour devenir les porte-parole d’une industrie qui ne se soucie guère du bien-être des individus. Une véritable machine à déshumaniser est en train de détruire l'humanité, où l’intérêt financier prime sur la santé publique.

Il faut oser le dire haut et fort que depuis trop longtemps, les autorités sanitaires françaises ne promeuvent plus la santé, elles promeuvent la maladie. Elles organisent son monopole par l’industrie chimique, criminalisent les alternatives naturelles, interdisent ce qui fonctionne à bas coût et conditionnent le malade à une dépendance pharmaceutique à vie. Le plus ironique, c’est que les médicaments autorisés provoquent dix fois plus d’effets secondaires et souvent bien plus graves, que les produits naturels qu’ils ont fait interdire. L’argument du "pas assez de preuves" est un mensonge travesti en science. Lorsqu’on interdit le millepertuis ou l’armoise, les agences exigent des essais cliniques randomisés en double aveugle… qui n’existent pas car personne n’investira des millions dans une plante non brevetable. De fait, les études indépendantes sont ignorées, les médecines traditionnelles disqualifiées, et les médicaments à l’efficacité douteuse mais financés par les laboratoires, validés. En vérité, les produits naturels sont trop efficaces… et trop peu rentables. Et pourtant, dans d’autres pays comme l’Allemagne, la Suisse, le Canada ou les États-Unis, nombre de ces produits naturels sont disponibles légalement, avec un usage parfois encadré médicalement. En France, en revanche, ils sont restreints sous couvert de risques potentiels — hépatotoxiques, cardiovasculaires, neurologiques ou liés à des interactions médicamenteuses.

On ne le répètera jamais assez, TOUS les médicaments actuels sont issus de produits naturels. Or, qu’il s’agisse d'artemisia, d'iode, de millepertuis, ou de plantes digestives comme le boldo, ces remèdes sont régulièrement interdits, limités ou classés comme "dangereux" en France mais utilisés dans le monde entier. Officiellement, on invoque une efficacité "insuffisamment prouvée", malgré des décennies d'utilisation et des interactions posant "un risque pour la santé publique", quant on laisse les individus se faire injecter un poison nommé frauduleusement "vaccin". Car en réalité, le risque, c’est que la fameuse "santé publique" est devenue une arnaque mortelle orchestrée par les laboratoires pharmaceutiques et des dirigeants corrompus. On nous sert toujours le même discours officiel stipulant que les plantes seraient "dangereuses", "mal connues", "non sécurisées", alors qu’elles sont à la base de toute la pharmacopée chimique. Ce que les autorités ne disent jamais, en revanche, c’est que les médicaments chimiques provoquent bien plus de dégâts et sur une bien plus longue période. Selon la revue Pharmacovigilance (2018), en France, ils causent 140 000 hospitalisations par an et plus de 30 000 décès (source : Inserm). Pendant ce temps, les plantes comme le curcuma, le chardon-marie ou l’artemisia sont interdites ou restreintes… non pas parce qu’elles tuent, mais parce qu’elles font de l’ombre à des traitements coûteux et brevetés. Leur seul tort est d'être efficaces, accessibles, naturelles, mais surtout, non rentables pour l’industrie pharmaceutique. Ce n’est donc pas leur dangerosité qui dérange, mais leur potentiel à soigner sans enrichir les actionnaires.

Les plantes peuvent être dangereuses, si l'on n'en maitrise pas les doses ou les applications, ce n'est pas nouveau ! Et pourtant, ce n’est pas non plus une raison pour les interdire. C’est au contraire une bonne raison pour former les médecins à leur usage, comme cela se fait en Allemagne, en Suisse, au Canada ou au Japon. Mais en France, pays de la plus vile corruption mondiale, on préfère protéger les molécules et leurs propriétaires, même au prix de la souffrance ou de la mort de patients privés de solutions naturelles. Tous les produits naturels comme le curcuma, millepertuis, mélatonine, fucus, astragale, rhodiola, et bien d'autres ont deux points communs essentiels : ils coûtent peu, et ils ne sont pas brevetables. Et c’est précisément pour cela qu’ils sont systématiquement attaqués et interdits au fil des ans. Car si un traitement peut soigner pour quelques centimes, il devient une menace directe… pour les marges financières des laboratoires. Voilà pourquoi, au lieu d’encadrer intelligemment les plantes médicinales, les autorités les diabolisent. Et pendant ce temps, les laboratoires vendent des somnifères à 300 € par mois, quand la mélatonine en coûte que 10.  Des antidépresseurs à 500 € par an, alors que le millepertuis pourrait suffire. Des traitements anti-reflux à forte toxicité hépatique, quand la réglisse ou la camomille pourraient s’avérer efficaces.

En vérité, ce système n’a plus rien à voir avec la médecine. Il s’agit d’un modèle économique de dépendance, géré comme un cartel, où la maladie devient une rente, et la guérison, une menace pour le business. Comme la guerre ! Oui, il est temps d’ouvrir les yeux car ce ne sont pas les plantes qui menacent notre santé, ce sont les lois qui les interdisent. Ce n'est pas par hasard que les 2 industries les plus rentables au monde soient celles de l'industrie pharmaceutique et celle de l'industrie militaire ! Comme ce ne sont pas les Russes qui nous agressent mais ce sont nos dirigeants qui veulent nous tuer ! Pire encore, de nombreux médicaments chimiques autorisés ne passeraient même pas les critères de sécurité et d’efficacité qu’on impose aux plantes naturelles. Or, depuis des décennies, les agences gouvernementales françaises (ANSM, HAS, Ministère de la Santé, etc.) se posent en défenseurs d'une santé publique qu'ils s'évertuent à détruire par leurs actions quotidiennes. Leur discours officiel ne sert qu'à garantir la sécurité des traitements couteux et de plus en plus hasardeux, à protéger les laboratoires plutôt que le patient, et fonder leurs décisions sur des données de moins en moins probantes et issues d'une science de plus en plus expérimentale. Tout ceci n'est qu'une mascarade dangereuse, voire mortelle. Une opération de relations publiques avec une mise en scène cynique orchestrée par les fabricants eux-mêmes.

Les agences, qui nous coûtent un pognon de dingue, sont supposées être indépendantes. En réalité, elles sont noyautées de l’intérieur et "Big Pharma" en est le vrai patron. Les experts des comités scientifiques sont bien liés financièrement aux laboratoires, comme l'ont maintes fois démontrés les conflits d’intérêts révélés par le Canard Enchaîné, Mediapart, L’Obs, etc. Le financement de l’ANSM, par des redevances de l’industrie pharmaceutique pour les autorisations de mise sur le marché, est une preuve éclatante de cette arnaque dont nous sommes tous les victimes. C’est comme confier la régulation de l’alcoolisme à un syndicat de vignerons. Combien de hauts fonctionnaires passent des agences aux laboratoires, et inversement ? Une collusion permanente, institutionnalisée, agissant en toute impunité et financée par nos impôts est en place dans ce pays. Les seuls traitements autorisés sont ceux qui rapportent, même s’ils sont hautement toxiques. Ce système de tentative d'homicide en bande organisée ne récompense plus les traitements efficaces, mais uniquement ceux qui sont lucratifs. Car pour ces truands de la santé, le patient n’est plus un être humain, c’est un marché !

Aujourd’hui, la médecine officielle est devenue un marché captif, contrôlé par quelques multinationales dictant les politiques de santé, avec des agences corrompues qui appliquent leurs ordres. On traite les symptômes, jamais les causes ! On crée des patients chroniques, on interdit ce qui guérit, et on subventionne ce qui rend dépendant. Les morts par iatrogénie se chiffrent en dizaines de milliers chaque année, mais cela ne nuit pas à la "confiance dans le système". Dans ce système, l’État soigne les profits, pas les citoyens. Les médias détournent la vérité et nous bombarde d'experts qui ne sont pas plus que des agents commerciaux. Les autorités ont trahi leur mission et gèrent des flux financiers pour une industrie sans scrupules, pendant que les malades paient de leur vie une médecine chimique devenue folle. Il ne faut pas réformer la médecine. Il faut dénoncer ce système qui la corrompt, et enfermer ces agents promoteurs de mort sur ordonnance. Les agences sanitaires mentent sciemment et il ne s'agit plus de soupçons car tous les faits sont là, documentés, prouvés. Les autorités sanitaires françaises manipulent les données pour protéger les intérêts privés et les "experts de plateaux télé" orientent les décisions au profit des laboratoires qui les rémunèrent.

L’Ordre des médecins, censé être le garant de l’éthique et de la déontologie médicale, n’est aujourd’hui plus que la vitrine de cette corruption systémique crasse, une succursale visible de ce que le pouvoir et l’argent ont engendré de plus vil et de plus immonde. Derrière son vernis d’autorité morale, il sert avant tout à museler les voix dissidentes, à protéger les intérêts de l’industrie pharmaceutique et à écraser ceux qui osent encore soigner autrement, avec conscience et humanité. Plutôt que de défendre les patients et la médecine authentique, il fonctionne comme une police idéologique au service du dogme chimico-industriel. Les médecins courageux qui dénoncent les abus ou prônent des approches alternatives sont harcelés, radiés, humiliés, pendant que les promoteurs de traitements douteux, eux, sont couverts et décorés. Cet organe, gangrené jusqu’à l’os, n’a plus rien à voir avec le serment d’Hippocrate dont il est devenu la négation absolue.

Le scandale des conflits d’intérêts est désormais institutionnel. Un rapport sénatorial de 2013 sur les dérives de l’industrie pharmaceutique avait déjà mis en lumière ces pratiques : des cadeaux systématiques faits aux médecins, des formations médicales financées à 70% par les laboratoires, et un conseil politique de l’industrie directement installé au sein même du Ministère de la Santé. Mais ce rapport a été enterré. Aucune réforme réelle n’a suivi. Le système continue, inchangé, à sacrifier l’intégrité médicale sur l’autel du profit. La Cour des comptes, dans un rapport de 2016, a dénoncé le manque de transparence à l’ANSM, où un expert sur deux a des liens avec l’industrie. Certains évaluent même des médicaments développés par des entreprises avec lesquelles ils collaborent. Voici un exemple frappant avec le Pr Dominique Maraninchi, ex-directeur de l’ANSM, lié à Servier, laboratoire du tristement célèbre Mediator, qui a causé jusqu’à 20 000 morts. Car l’industrie pharmaceutique ne se contente pas de vendre des médicaments : elle finance la recherche publique, oriente les décisions politiques, et infiltre les institutions. Prenons aussi l’exemple de l’INSERM, censé être un organisme public de recherche indépendant. Depuis des années, il collabore avec Sanofi sur des projets cliniques communs. Et de nombreux essais cliniques sont co-financés par les laboratoires qui peuvent, à leur guise, choisir de publier ou non les résultats. Si ces derniers sont défavorables au médicament, ils peuvent tout simplement être supprimés. C’est ce qu’on appelle la suppression des données négatives, une forme de fraude scientifique, légale mais moralement inacceptable.

Ce n’est pas une dérive malheureuse ou un excès de prudence, c’est un système organisé de corruption, allant jusqu’à la tentative d’homicide volontaire et l'élimination physique des individus après les avoir ruinés en soins inutiles. Tout est conçu pour créer une dépendance aux médicaments chimiques, bloquer les alternatives naturelles, peu coûteuses, non brevetables, et entretenir l’idée que la santé est "trop complexe" pour que le citoyen puisse s’en occuper lui-même. Ce système n’est pas une erreur. Ce n’est pas non plus un accident ou une négligence. C’est une stratégie commerciale parfaitement déguisée en politique de santé publique. Aujourd’hui, les agences françaises ne sont plus crédibles. Elles ne protègent ni les citoyens, ni les malades, mais bien les brevets, les dividendes et les lobbies. Il ne faut plus leur faire confiance aveuglément. Il faut les surveiller, les dénoncer, et exiger un accès libre et sécurisé aux médecines naturelles, encadré par de vrais experts indépendants, sans conflits d’intérêts.

Face à cette dérive organisée, je ne peux plus me taire. En tant que praticien de soins naturels, je vois chaque jour des corps intoxiqués, des esprits brisés, et des âmes désorientées par une médecine devenue industrielle et déshumanisée. Les patients ne sont plus écoutés, mais protocolés. On ne cherche plus à comprendre la cause, mais à masquer le symptôme. Et ceux qui, comme moi, essaient d’apporter un soulagement par des moyens simples, ancestraux, respectueux du vivant, sont marginalisés, voire criminalisés. Mais je resterai debout, aux côtés de tous ceux qui cherchent une autre voie. Car il est encore temps de changer de cap. Il est encore temps de remettre la santé entre les mains du bon sens, de la nature, de l’éthique et de l’humain. Pour que la guérison redevienne possible, et que la médecine cesse d’être une industrie de la dépendance. 

La santé ne peut plus rester entre les mains de ceux qui vivent de la maladie. Elle doit revenir aux citoyens, aux médecins honnêtes, et aux pratiques thérapeutiques éprouvées, qu’elles soient anciennes ou modernes, naturelles ou scientifiques. Il est grand temps de reconnaître la valeur des magnétiseurs, des thérapeutes holistiques et des herboristes, dont le savoir ancestral et l’approche humaine répondent à des besoins souvent négligés par une médecine conventionnelle trop souvent prisonnière des intérêts de l'industrie pharmaceutique. Ces praticiens, ancrés dans l'écoute, le respect du corps et la prévention naturelle, apportent un soulagement réel aux maux du quotidien, là où les traitements standardisés échouent parfois à considérer l’individu dans sa globalité. Il ne s’agit pas d’opposer les médecines, mais de redonner leur juste place à ceux qui, depuis des siècles, soignent avec sagesse, intuition, et bienveillance.  Et très loin des logiques de profit, et bien plus proches de l'humain. Ce n’est qu’à ce prix que nous pourrons restaurer une médecine réellement au service de la vie et non du profit…

Phil BROQ.

Blog de l'éveillé


Voici quelques exemples édifiants d’éléments naturels interdits seulement en France :

Le Kava-Kava, interdit pour une supposée toxicité hépatique, alors même que des antidépresseurs chimiques continuent à tuer des milliers de personnes par an dans l’indifférence médicale.

L’armoise annuelle, (Artemisia) dont le principe actif soigne le paludisme, bloquée en France pendant qu’on autorise des chimiothérapies ravageuses à base de poisons cellulaires.

L’argent colloïdal, banni de toute utilisation interne, tandis que les antibiotiques — destructeurs du microbiote et favorisant les résistances — sont prescrits sans sourciller.

Le millepertuis, plante reconnue contre la dépression légère, diabolisée uniquement parce qu’elle interfère avec les médicaments chimiques qu’elle pourrait remplacer.

La vitamine C intraveineuse, utilisée à l’étranger pour ses effets antioxydants et anti-cancer… mais bien sûr, en France, cela "ne relève pas de la médecine".












Commentaires

  1. Un.vrai plaisir ce billet d humeur qui place l humain au cœur de vos principales préoccupations. Merci pour cet éveil.

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  2. La pilule à fric est bien celle qui se gobe le plus.... Merci pour ce texte général PhilB

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