CE PREDATEUR GLOBAL DONT NOUS SOMMES LA PROIE
En ce début de juillet 2025, alors que les puissants s’adonnent à leurs jeux morbides de domination, où les peuples continuent d'être sacrifiés sur l’autel de la guerre, de l’argent et de l’illusion, il devient de plus en plus manifeste que la vérité est écrasée sous les masses de mensonges. Chaque jour, les mêmes manœuvres géopolitiques, les mêmes faux prétextes de défense et de souveraineté, masquent un projet bien plus vaste et plus sinistre d'un contrôle totalitaire où l’humain n'est plus qu'une marchandise et la guerre un moyen d’enraciner le pouvoir des élites. Le tableau qui se dessine sous nos yeux n'est ni neuf ni innocent. C’est celui d’une Europe en déclin, d’une humanité piétinée, et d’une caste dirigeante qui, loin de défendre les peuples, œuvre à leur asservissement.
Aujourd’hui, la scène internationale a choisi un nouveau "Grand Méchant" avec l’Iran. Un choix, certes, bien peu original. Après la Syrie, la Libye, le Liban, le Yémen, l’Irak et tant d’autres, voilà qu’il est au tour de l’Iran de servir de bouc émissaire, l’ultime monstre à abattre, tandis qu’Israël, fidèle à son rôle de prédateur, se drape dans son soutien inébranlable des États-Unis pour peaufiner sa mise en scène sanglante. Le scénario est immuable avec un acte prédateur de domination, orchestré par les puissances occidentales, pour piller les ressources et anéantir ceux qui refusent de se soumettre à la volonté impérialiste. Après la "menace russe", la "menace iranienne" devient le parfait alibi pour justifier l’agression israélienne et l’intervention occidentale, sans jamais remettre en question la véritable nature de cette violence organisée.
Israël, ce chien enragé que les États-Unis nourrissent et enchaînent à leur folie, vient de démontrer, une fois de plus, son appétit insatiable pour la destruction. Après avoir vidé son stock de missiles en à peine douze jours à cause de l'Iran, preuve que même un Dôme de Fer ne peut masquer l’absurdité de ses prétentions sécuritaires, il se prépare de nouveau à poursuivre son carnage à Gaza. Et les États-Unis veillent, prêts à soutenir aveuglément, comme un parent complice qui protège son enfant en furie, piétinant sans vergogne tout sur son passage. Mais au lieu de s'attaquer à un adversaire digne de ce nom, Israël se contente de massacrer des femmes, des enfants, et une population entière déjà affamée, asphyxiée, asservie. Des innocents, tout simplement. Parce que voilà le véritable ADN de cette machine de guerre : écraser, humilier, massacrer pour une gloire qui leur échappe, pour réparer une estime de soi fracassée par des bombardements qu’ils n’ont que trop infligés aux autres. Les innocents deviennent alors les avatars d’une vengeance grotesque, sous le regard indifférent et complice d’une communauté internationale qui regarde sans agir.
Et pendant que la poussière retombe, Israël et ses alliés repassent à l'attaque, désignant le nouvel ennemi "éternel" de leur agressivité qu'ils maquillent en "sécurité" avec l’Iran. Le dernier terroriste à anéantir dans une spirale de violence sans raison ni pitié. L’histoire est là, évidente, avec des pays entiers réduits en cendres et des peuples brisés sous le poids d’un colonialisme moderne camouflé en "protection" et "démocratie". Mais au fond, tout cela n’est que la danse macabre de puissances soi-disant civilisées qui, avec un cynisme glacé, écrasent tout sous prétexte de sécurité. Un empire de la violence qui n’a pas de frontières et dont l’appétit, comme celui du chien enragé, ne connaît ni fin ni remords.
Cette guerre n’est pas seulement pour la domination militaire ou géopolitique. Non, elle s’inscrit dans un projet de dévastation totale, où chaque territoire conquis, chaque population exterminée, n’est qu’une marchandise à gérer. Le massacre des Gazaouis n’est qu’une facette de cette folie plus vaste. Et l’Iran, comme d’autres avant lui, devient un obstacle à éliminer, sous les yeux complices d’un Occident incapable de maintenir un semblant de stabilité chez lui, et préférant orchestrer la ruine totale des nations ennemies. La logique est toujours la même : des armées de fureur et de faux prétextes, un déchaînement de violences pour poursuivre un rêve impérialiste, où la destruction de peuples est une simple transaction. Et une fois de plus, ce sont les innocents qui payent le prix du délire des élites prédatrices.
Dans ce grand théâtre d'ombres et de manipulations, les puissances occidentales et Israël s’affichent comme des "sauveurs" tout en étant les véritables fossoyeurs de tout ordre humain. Leurs actions ne se limitent pas à des gestes militaires, mais visent à remodeler le monde à leur image, à redessiner les cartes géopolitiques, tout en sacrifiant des millions de vies innocentes. Israël, dans son délire expansionniste, s’appuie sur des décennies de soutien inconditionnel de l’Occident pour mener ses attaques. Non seulement contre Gaza, mais contre un ensemble de nations qu’il considère comme des obstacles à son projet totalitaire. Et tout cela s’inscrit dans un plan bien plus vaste : l’effondrement de l’ordre mondial connu, la destruction des souverainetés, la mise en place d’un contrôle totalitaire par la dette, grâce à la monnaie numérique en vue d'un crédit social.
Mais que fait l’Europe, où la scène se déroule sous nos yeux ? Cette Union, supposée être le bastion de la liberté et des droits humains, s’avère n’être qu’un grand laboratoire de déception. Ces élites, qui pendant des décennies ont sabré le nationalisme, appellent aujourd’hui à défendre une souveraineté qu’elles ont elles-mêmes détruite. Leur cri de ralliement ne cache qu'une nouvelle tentative de manipulation, une autre manœuvre pour nous faire croire que l’Europe, déjà morte, peut encore prétendre à la grandeur. Pendant que les Macron, Von der Leyen et autres marionnettes de Bruxelles poursuivent leur fuite en avant suicidaire, les peuples sont laissés à leur propre sort, pris en étau entre une fiscalité confiscatoire, une précarité croissante, et une monnaie unique qui ne tient plus que par des artifices. L’euro agonise, pendant que le dollar s’impose comme le seul salut des élites, à l’abri de tout contrôle démocratique.
Et tandis que ces élites continuent leur danse macabre au sommet, nos sociétés, soumises à un culte de la consommation et de la distraction, se noient dans l’hyperconsommation et le divertissement. Les peuples sont plongés dans une torpeur qui fait de leur survie un luxe. Le confort, la sécurité, l’illusion démocratique, tout n'est qu’une façade qui masque la réalité d’un contrôle total. La guerre, quant à elle, continue de faire des ravages ailleurs, tandis que l’Europe se précipite vers un gouffre financier et social dont les citoyens ne sortiront pas indemnes. Et tout cela, au nom de la "préparation à la guerre", ne vise en réalité qu’à effacer les derniers vestiges de liberté, de souveraineté et d’humanité.
La guerre que mènent ces élites contre la Russie, contre l’Ukraine, et contre les peuples européens eux-mêmes, n’est qu’une mascarade. Derrière ces feux d’artifices géopolitiques, il se cache un plan bien plus obscur de la destruction systématique des nations, l’anéantissement des souverainetés, et l’asservissement des peuples à une machine de contrôle totalitaire. Les banquiers apatrides, les marchands d’armes, les scientifiques à la solde de l’industrie pharmaceutique, tous œuvrent en coulisse pour construire un monde où la guerre est la norme, et où la masse est condamnée à servir de chair à canon pour les rêves impériaux des élites. Dans cette grande farce, les véritables ennemis de l’humanité ne sont pas les Russes, les Iraniens ou les Palestiniens, mais ceux qui, dans l’ombre, dirigent ce théâtre de l’absurde.
L’Europe, cette grande lessiveuse de l’argent des peuples, est désormais le terrain de jeu des puissances financières et industrielles, un continent où les peuples sont sacrifiés sur l’autel du profit et du contrôle. Tout ce qui reste de souveraineté, d’indépendance et de dignité humaine est lentement écrasé sous les coups de la finance mondialisée, du bellicisme et de la surveillance. Un projet totalitaire, insidieux et inexorable, dans lequel chaque citoyen est une variable d’ajustement dans une grande mécanique de domination. Et ces élites, imposteurs en costume-cravate, et trop souvent en kippa d'apparat, nous parlent de défendre la souveraineté, mais leur seul objectif est de réduire les peuples à l’état de vassaux économiques, de sujets surveillés et obéissants, dans un monde où la liberté n’est plus qu’un souvenir lointain.
Le spectre de l’hégémonie mondiale est de plus en plus tangible, et l’Europe, cette vieille Europe autrefois fière de ses idéaux de liberté et de souveraineté, semble se fondre sous les pieds des technocrates et des vautours financiers. Nos dirigeants ne sont plus que des pantins déguisés en gardiens du temple, incapables d’une pensée véritablement indépendante, et uniquement motivés par des impératifs de pouvoir et de profit. Ils nous assènent un discours victimaire, nous dépeignant comme la dernière barrière entre l’ordre mondial qu’ils servent et l’apocalypse qu’ils prédisent, alors qu’en réalité, ils participent activement à l’effondrement systématique des structures humaines et sociales.
Regardez-les se pavaner dans leurs jupes de diplomates, ces experts en manipulation de masses, pendant que les peuples se noient dans l’indifférence générale. L'illusion d’une "Europe unie" n’est qu'un mirage, une fausse promesse lancée à des citoyens trop engourdis pour saisir la vérité pourtant simple que cette Union Européenne n'est plus qu'une vaste prison de fer, où les chaînes sont invisibles mais aussi étroites. Une bureaucratie qui n’agite que des faux semblants d’unité et de démocratie, tandis qu’elle se met au service d’une oligarchie qui a verrouillé les véritables leviers du pouvoir. Bruxelles, tel un monstre froid et amorphe, dicte les règles du jeu, pendant que Macron, Merz, et leurs homologues européens signent sans sourciller leur propre condamnation et celle de leurs peuples.
Mais cette violence politique n’est pas seulement économique, elle est également culturelle. La destruction programmée des peuples européens passe aussi par l’effacement des identités nationales, de tout ce qui faisait la richesse et la diversité d’une Europe autrefois profondément enracinée. L’égalitarisme forcé, la propagande sur le multiculturalisme, et la dilution des traditions sous un flot incessant de normes mondialisées ne sont que les outils d’une dérive délibérée vers la soumission. Nous sommes tous destinés à devenir des consommateurs de masse, des rouages dans une machine géante, dénuée de tout sens, où l’on nous dicte même la manière de penser et de sentir.
La guerre économique se mène contre nos valeurs, contre nos repères, contre nos conceptions de la vie elle-même. Ils nous parlent de "progrès" et de "modernité", mais ce qu’ils appellent ainsi est en réalité une machine à broyer nos existences, à détruire notre tissu social, et à effacer tout ce qui reste d’indépendance et de dignité. Le grand projet mondialiste n’a de but que de nous transformer en simples exécutants de tâches invisibles, à la solde d’un capitalisme sauvage qui se nourrit de la chair de nos peuples.
Nous sommes désormais les spectateurs passifs d’une farce morbide où nos vies sont les cartes d’un jeu que nous n’avons même pas eu l’occasion de comprendre, encore moins de décider. Les dirigeants, dans leur arrogance glacée, s’apprêtent à enfoncer le dernier clou dans le cercueil de nos libertés. Et eux, confortablement installés dans leur tour d'ivoire, continuent à faire semblant de lutter contre le "populisme", "l’extrémisme" et toutes ces épouvantails qu’ils brandissent pour masquer leur complicité dans la mise en place d’un nouvel ordre mondial aussi totalitaire qu’oppressant.
Le grand piège est tendu. Chaque réforme, chaque loi, chaque acte prétendument humanitaire est une pierre de plus dans le mur de notre emprisonnement. La démocratie n’est plus qu’un théâtre de façades, une mascarade où les citoyens, anesthésiés par la propagande, applaudissent leur propre défaite. Pendant ce temps, le rouleau compresseur de l’oligarchie poursuit son œuvre, écrasant tout sur son passage, sous les yeux désintéressés d’une population en proie à des distractions sans fin.
Que faut-il attendre de ceux qui tiennent les rênes du monde, sinon des paroles vides, des promesses creuses, et des stratégies de guerre dont l’objectif est de réorganiser un monde en ruines, de restructurer l’ordre mondial autour des intérêts d’une poignée d’individus ? La grande guerre qui se prépare n’est pas seulement une guerre militaire. C’est une guerre de conscience, une guerre de ressources, une guerre pour éradiquer toute forme d’opposition à un projet global que personne n’a élu.
Le seul impératif, pour ces nouveaux maîtres du monde, est d’éradiquer la résistance. Et ils n’hésiteront pas à recourir à tous les moyens possibles comme la manipulation médiatique, la répression législative, l'endoctrinement des jeunes générations et surtout la surveillance des masses. Et à mesure que les pays européens s’effondrent sous les coups de la dette et de l’inflation, les puissants continuent à jouer leur jeu cynique. Ils savent très bien que plus l’Europe perdra de sa souveraineté, plus ils gagneront en pouvoir.
Le véritable ennemi, il est là, au cœur de l’Europe, dans les couloirs du pouvoir, dans les conférences et les réunions secrètes. Ce n’est pas un autre pays ou une autre culture. Non. Le véritable ennemi, c’est celui qui nous manipule depuis des décennies, celui qui nous plonge dans une société où l'humain n’a plus sa place que comme une simple unité de consommation. La guerre que nous menons n'est pas seulement contre des puissances extérieures, mais contre nos propres élites, contre ceux qui nous asservissent au nom de la "sécurité" et du "progrès".
Tout est là, en effet, sous nos yeux, dans ce spectacle moribond où la liberté est un vieux souvenir et où la sécurité n'est plus qu'une chimère, une promesse vide de sens, une douce illusion qui cache un piège d'acier. Le peuple, ce troupeau docile, continue à marcher dans la direction indiquée, sans même se rendre compte qu’il est déjà pris au piège. Il n’a pas conscience de la clôture invisible qui se resserre chaque jour un peu plus autour de lui. Tout autour de lui, les chaînes sont lisses, polies, séduisantes même, et il s’y abandonne volontiers. Comment pourrait-il voir le danger, quand le confort, même illusoire, est là pour le rassurer ?
L'appel à la révolte est un cri vain, un murmure dans l'océan du "bien-être" en plastique. Chaque minute passée à fixer un écran, chaque achat impulsif à la caisse, chaque clignotement d'une publicité, chaque épisode d'une série insignifiante sont autant de mécanismes qui maintiennent l'individu dans l’oubli, dans la passivité, dans l’acceptation silencieuse de son propre esclavage. L'Homme moderne, avec son corps nourri de malbouffe et son esprit saturé de distractions, est trop fatigué pour se rebeller, trop anesthésié pour réaliser qu'il n'est plus qu'un pion dans un échiquier géant, une âme perdue dans la mer d’un système qu'il a fait sien.
Et évidemment, les élites le savent bien. Le pain et les jeux, l’illusion de l’épanouissement personnel et de la liberté de consommation suffisent pour faire accepter la cage dorée. Quand les masses commenceront à se rendre compte qu’il est déjà trop tard, que leur "sécurité" n’est que la porte de la prison qu'ils se sont laissés construire autour d’eux, il sera déjà trop tard. Parce qu’entretemps, ils auront oublié comment se battre. Leur dernière révolte sera sans doute un tweet ou une pétition en ligne.
Alors, pendant que ces architectes de l'apocalypse, confortablement installés dans leurs villas et leurs yachts, veillent à leur propre pérennité, nous autres, spectateurs passifs de cette mise à mort collective, nous continuerons de tourner en rond, encore et encore. Toujours un peu plus accablés, mais toujours prêts à acheter le dernier gadget à la mode, à regarder la dernière saison de notre série favorite, à faire comme si tout allait bien tant qu’on peut encore scroller sur nos téléphones.
Le piège est déjà tendu, et vous êtes déjà dedans. La question n’est même plus de savoir si vous allez vous réveiller, mais plutôt : "quand ?" Parce que l’éveil, tout comme la liberté, ne se livre pas sur un plateau. Mais ne vous en faites pas, chers esclaves modernes, vos maîtres vous rappelleront à l'ordre… à la fin de l'été, une fois que vous aurez mangé votre dernier hamburger, regardé votre dernier match de foot et que votre abonnement à Netflix aura expiré…
Phil BROQ.
Merci Phil. Continuez a nous édifier.
RépondreSupprimerencore un c<ri de colère salutaire. Mais: "un grand laboratoire de déception".. franchement, du globish traduit en frangliche ?
RépondreSupprimerProduction riche et précieuse d'un tangible constat, percutante de réalisme, arc boutée sur un authentique souci du vivant, où les éléments se relient par le fil ténu, saillant et lumineux d'une pensée de longue et lointaine portée, telle qu'ancrée dans une tellurique et vrombissante organicité. Merci.
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