PLANDEMIE 2.0 : LE RETOUR DE LA REVANCHE !
Le monde en 2025 traverse encore une période de turbulences où des forces invisibles semblent œuvrer en coulisse pour façonner un avenir où la liberté et la souveraineté des nations seront reléguées au second plan. Et les acteurs et marionnettistes de ce jeu mondial ne reculent plus devant rien, multipliant les crises artificielles pour maintenir les populations dans un état de sidération en vue de totale soumission.
Dans un monde en constante agitation, où les crises se multiplient comme des pannes d’aspirateur, il y a un groupe d’individus et de puissantes entités qui, apparemment, n'ont rien de mieux à faire que de mener une guerre silencieuse contre la liberté et les leaders non-alignés. Derrière les mascarades économiques, géopolitiques et sanitaires, l’objectif des architectes de ce chaos devient de plus en plus évident : maintenir un contrôle absolu sur les populations, avec la finesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine.
Et devinez quoi ? Tout ça semble être un spectacle planifié depuis des années. Vous pensiez que la comédie du COVID-19 était finie ? Eh bien, préparez-vous à l'épisode 2.0, à savoir la "Plandémie version Grippe Aviaire", soigneusement mise en scène pour relancer la machine de la peur et de la soumission.
Le monde de 2025 ? Toujours aussi fragile. Des forces invisibles travaillent dans l'ombre, aussi subtiles qu'un bulldozer, pour façonner un avenir où la liberté et la souveraineté des nations ne seraient plus que de l’histoire ancienne. Alors, comment ces fameux "marionnettistes" s’y prennent-ils ? En multipliant les crises artificielles pour maintenir les masses dans un état d’hypnose permanente. Le grand retour de la "Plandémie", avec un virus qui, cette fois-ci, se prétend plus redoutable qu’une grippe ordinaire, mais tout aussi réel qu’une mal de gorge imaginaire.
C'est la "Grippe Aviaire 2.0", alias H5N1, une manipulation made in USA qui arrive juste à point pour déstabiliser un peu plus la scène mondiale, et pourquoi pas, remettre une couche de panique avant que des figures comme Donald Trump ou Robert F. Kennedy Jr. ne montent sur le trône. On ne voudrait pas que ces types se mettent à brasser de l’air sans autorisation, n’est-ce pas ? Alors on continue à jouer au chat et à la souris avec nos esprits.
Vous vous souvenez de la première version du scénario, celle du COVID-19 ? Un virus chinois (pas de chance pour Wuhan !) monté en épingle par des médias parfaitement zélés. Et voilà que, comme par magie, un vaccin "miraculeux" débarque pour nous sauver. Résultat ? Une panique générale et une soumission sans une seule question. Bien sûr, tout ça orchestré par la DARPA, financé par Big Pharma et soutenu par Fauci, Gates et compagnie. La recette ? Simple : faire peur, injecter des solutions douteuses sous prétexte de "protéger la population", tout en contrôlant la santé mondiale grâce à un joli petit marquage nanotech. Aujourd'hui, on nous refait le coup avec cette nouvelle grippe aviaire, histoire de nous replonger dans une crise aussi nécessaire qu’un épisode de télé-réalité. Et bien sûr, ça commence aux États-Unis, avant de se propager comme une traînée de poudre jusqu’en France. Mais qu'importe, nous allons suivre ça comme une réédition où tout est déjà écrit, sauf que les acteurs principaux ne s’en rendent même plus compte.
Parlons un peu de la grippe aviaire cette fois-ci. Elle a été "découverte" dans les mêmes endroits où tout se passe en parallèle : les USA, l'Angleterre, le Canada et même la France . Et là, un petit détail amusant, car il semblerait que les félins aient eu une petite aventure avec des oiseaux infectés. Pas de panique ! Un échantillon toulousain de 578 chats montre qu'à peine 1% d’entre eux sont touchés. Et comme si cela ne suffisait pas, cette découverte a été rapportée par le journal local "La Dépêche du Midi" de Toulouse, ce qui est déjà une belle ironie en soi, vu la nature du canard (sans grippe!). Le quotidien des "chiens écrasés" et du "carnet des décès", comme on l'appelle affectueusement, s'est empressé de transformer cette information en une véritable aubaine. Si cela n’était pas tragique, ça serait presque drôle. Et pendant ce temps là, nos amis américains ont cru bon de décréter immédiatement l’état d’urgence dans quelques états (surement démocrates !). On se demande bien pourquoi ? Ce n’est pas comme si le H5N1 était plus redoutable qu’une bonne vieille grippe saisonnière. Mais bon, le but est de préparer les masses à une crise supplémentaire, juste au moment où les leaders rebelles pourraient reprendre le pouvoir. Coincidence ? Pas si sûr.
Il est tout aussi impossible de passer à côté de la tentative flagrante de manipulation de l’opinion publique sur la santé, orchestrée à travers des émissions comme celle de Michel Cymes, le sale médecin de plateau. Avec son émission "Antidote", prochainement diffusée chaque dimanche sur France 2, Cymes cherche à se donner une image de médecin sympa et à aborder la santé d’une manière ludique et légère, avec des jeux et des expériences sur le plateau. Mais derrière ce ton décontracté et ces tests supposés innocents se cache une stratégie sournoise de contrôle de l’information.
Toujours le même objectif ! Entretenir la peur et la confusion, tout en réduisant la question de la santé à un jeu de divertissement, comme si la santé publique était une distraction à consommer comme une émission télé. Ce programme, prétendant faire le tri dans le flot d’informations médicales disponibles, ne fait que diffuser un mélange de désinformation et de panique qui semble suivre les traces de l'hystérie engendrée par la précédente Plandémie de Covid-19.
On en arrive presque à rêver d’un nouveau journal télévisé, avec des "experts" comme Rudy "Kiss my ass" Reichtadt et Julien Pain, pour compléter ce tableau de l’absurde médiatique. Mais quelle blague ! On assiste à une reprise de leur mauvais scénario, plus usé qu'un vieux disque rayé. La peur comme outil de contrôle, la soumission comme prix à payer, et les profits en arrière-plan. Et pourtant, chaque nouvelle tentative de manipulation semble plus grotesque que la précédente, comme un spectacle dont même les acteurs principaux ne croient plus à la fin.
Et bien sûr, comme toujours, on n’invente rien. Nous avons juste une version 2 de la même manipulation. L’année 2025 commence avec une grippette qui pourrait faire office de "plan B" après l’échec cuisant des autres crises mondiales. Mais ne soyons pas naïfs : derrière cette nouvelle panique se cache, comme à chaque fois, le grand jeu des élites mondialistes, de Big Pharma et des marionnettistes géopolitiques. Le scénario est d'une simplicité enfantine : manipuler l'opinion publique, semer la peur, créer un sentiment d'urgence, et faire en sorte que tout le monde se jette sur un nouveau vaccin (ou "solution" miraculeuse). Et bien sûr, tout ça est parfaitement financé par des milliards, gérés par des gens qui ne s’intéressent qu’à une chose : leur profit. Parce que, soyons clairs, c’est ce qu’ils font de mieux : remplir leurs poches pendant que nous, on essaie de respirer.
Le but de tout cela ? Ce n’est pas tant d’empêcher un virus de se propager, mais bien de maintenir un climat de peur constante. Cela leur permet de justifier des budgets massifs, de relancer les industries pharmaceutiques, et de garder les populations sous contrôle. Bien entendu, il s'agit aussi de mettre des bâtons dans les roues de leaders comme Trump ou Kennedy Jr., qui, faut-il le rappeler, ont la fâcheuse manie de défier les pouvoirs en place, y compris ceux de Big Pharma. Mais pendant que ces forces obscures se creusent la tête pour trouver de nouvelles façons de nous maintenir sous leur coupe, sachez ceci : chaque tentative de manipulation devient de plus en plus ridicule. Nous avons compris leur jeu. Le ridicule de leur scénario ne fait plus qu’accentuer l'absurdité de la situation.
Maintenant, à quoi sert vraiment tout ça ? C'est simple, à mettre un peu plus de chaos, un peu plus de peur, un peu plus de soumission. L’objectif, c’est de faire peur aux masses, de les rendre dépendantes, et de les inciter à accepter tout ce qu’on leur propose, sous prétexte de les protéger d’une menace imaginaire. Quand tout est dit et fait, ce n’est pas la santé qu’ils cherchent à protéger, mais bien leur pouvoir et leurs profits. Alors, si vous êtes un peu fatigué de tout ce cirque, ne vous inquiétez pas, le rideau est sur le point de tomber. Les marionnettistes tremblent, et leurs ficelles s’effilochent. Quant à nous, on se marre bien – et avec raison – car on sait que leur petit jeu ne fait plus peur à personne.
L’heure est venue de se réveiller, de voir clair dans leurs tentatives désespérées et de leur montrer qu’on n'est plus dupes. À force de répéter toujours les mêmes erreurs, ils finissent par perdre. Alors, que les marionnettistes se préparent à voir leurs marionnettes tomber les unes après les autres et nous allons continuer de rire, parce que leurs mensonges ne nous font plus sourire.
Dans leur arrogance aveugle, ces puissants héritiers sous-estiment l'incroyable résilience de l'esprit humain. Ils ignorent que chaque révélation de la vérité agit comme un catalyseur, réveillant des forces profondes enfouies dans l'individu et dans la société. L’esprit humain, une fois éveillé, devient une source d'énergie inépuisable et contagieuse, capable de résister à toute forme de manipulation. Plus ils tentent de cacher la vérité, plus l'humanité trouve le moyen de se libérer et de se renforcer, transformant leur ultime tentative de contrôle en un revers inévitable.
Et quand la vérité éclate, même les chaînes de la peur se brisent.
Phil BROQ.
Encore un excellent billet. Je vous invite à lire ce rapport qui ouvre les yeux sur bien des aspects : https://www.syti.net/SilentWeapons.html Très bonne journée Phil.
RépondreSupprimerMerci beaucoup ! oui, pour les armes silencieuses, j'ai édité mon livre "Toxiques - les nouveaux empoisonneurs" : voici le lien pour lire un extrait gratuit
Supprimer: https://www.thebookedition.com/fr/toxiques-les-nouveaux-empoisonneurs-p-411384.html . Bien à vous !
Le livre a été déjà commandé et est en route pour ma boite aux lettres :) !
SupprimerMerci beaucoup !
SupprimerLe capitalisme n'est pas le statu quo parce qu'il est le meilleur système, il est le statu quo parce qu'il est le système autour duquel il est le plus facile de consolider le pouvoir à ce stade de l'histoire. Il existe suffisamment de convergences d'intérêts à des niveaux élevés pour que des factions disparates soutiennent le modèle actuel.
RépondreSupprimerTout cela peut changer du jour au lendemain, une fois que les fourches et les guillotines seront sorties. Le véritable pouvoir est entre les mains des masses, et une fois que nous serons assez nombreux à en avoir assez du statu quo, il n'y aura plus personne d'assez stupide pour s'opposer à nous. Et à partir de là, créer un meilleur système et un meilleur monde deviendra tout à fait possible.
le monde et le système ne sont pas si mauvais, ce sont les acteurs qui nous nuisent ...
SupprimerCe qui me tr... le c..., comme disaient nos anciens, c'est comment ces immondes salopards font pour se regarder dans le miroir chaque matin... Se voient-ils seulement comme ils sont? Ils vivent sûrement sous l'emprise d'hallucinations permanentes ... Beaucoup de gens se sont réveillés ces 5 dernières années. Mais la plupart crèvent de peur, comme en 40. Ils préfèrent regarder ailleurs, botter en touche si l'on essaie d'aborder ces sujets cruciaux avec eux. Nous savons bien que pendant les guerres la majorité des héros l'ont été malgré eux et que les massacres bien sanglants n'ont jamais empêché nos bons bourgeois de digérer. Salutations et Fraternité aux frères de la côte.
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire ! et oui, le mal de ce pays ce sont les peureux... Ceux qui sont passés des sans-culottes aux sans couilles !! navré pour la vulgarité mais c'est toujours moins vulgaire que leur lâcheté !
SupprimerIl ne faut pas avoir peur des mots. Les expressions populaires, savoureuses et osée (dans tous les pays du monde), voire facétieuses et provocantes, expriment bien des traditions refoulées, des valeurs humaines indispensables à la cohésion sociale d'une nation,.. Je me souviens aussi comment enfants nous raffolions des gros mots, ceux "qu'il ne faut pas dire"...
RépondreSupprimerVous avez tout à fait raison , les mots, même ceux jugés osés ou interdits, sont le reflet de nos traditions, de nos valeurs, et de la complexité de notre rapport à la langue. Ces expressions populaires, parfois crues, jouent un rôle essentiel en tant que miroir des cultures et des sociétés. Elles témoignent de ce que nous avons de plus intime, parfois réprimé, mais aussi de ce qui nous lie. à savoir le rire, la transgression, l’oralité. Bien à vous !
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