Comme nous a avertie Marie-Julie Jahenny, en 1882 : « Satan sera publiquement invoqué, le vrai Dieu insulté. On évoquera, en plein public, Satan, le Maître des Puissances, le grand chef qui détournera les lois de leur bonne route, en une marche effroyable. »
Sous la présidence d'Emmanuel Macron, la France
s'enfonce toujours plus dans une spirale vicieuse faite de provocations
symboliques et de ruptures avec son héritage culturel. Et surtout, une
symbolique omniprésente de l'Apocalypse. La cérémonie d'ouverture des JO 2024 n'a
pas échappée à cette démonstration de mauvais gout coutumière de la part du
chef de l'état. La bête de l’événement est bien arrivée avec ces 33èmes
olympiades sous la tour Eiffel, pyramide à 3 niveaux maçonniques. Les choix
artistiques, sécuritaires mais aussi alimentaires controversés révèlent un
malaise profond dans la représentation de l'identité nationale Française aux
yeux du monde.
Cette direction prise sous l'administration Macron est
perçue par beaucoup comme un abandon des valeurs traditionnelles qui ont fait
la grandeur de la Nation, au profit de tendances contemporaines décadentes. Ce
retour à un contrôle social marqué par des symboles choquants et des pratiques
éloignées des racines culturelles françaises suscite de vives réactions. Les
Jeux Olympiques de Paris 2024, loin de célébrer l'excellence sportive et
culturelle, pourraient bien devenir le symbole de cette dérive.
À côté de ces choix artistiques, alimentaires et sécuritaires,
la promotion du cannabis et des drag-queens (littéralement reine des trainées)
s'ajoute à la liste des provocations financières, déjà trop longue. Alors que les
forces de l’ordre ont signalé que le QR Code affiché sur les smartphones peut
être illisible en raison de la luminosité élevée, il est conseillé d’imprimer
le QR Code pour le présenter physiquement aux contrôles. La technologie de
l'inutile est en marche. Mais Céline Dion va bien toucher 2 millions d’euros
pour chanter un titre, lors de la cérémonie d’ouverture des JO. Sa prestation
sera enregistrée ! (Info Tmz) Et Aya Nakamura, ces 700 000 euros pour 3 minutes
de show. Le spectacle de vendredi 26 juillet 2024 coûterait entre 350 et 500
millions d'euros, soit 12 fois plus que lors des précédents JO ! Un diner de
gala sera également organisé sous la pyramide du Louvre avec une centaine de
personnalités.
Pendant cette cérémonie, Satan était bien le maître avec
en fond l'œil de la Providence, la pyramide et le pentagramme... Et Thomas
Jolly, membre de la communauté qeer, est le chef d'orchestre, metteur en scène,
de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques. Il n'est donc pas étonnant
qu'on y ait célébré la messe du diable !
Il aurait
mieux valu que Paris soit brûlée (Notre Dame de la Salette) plutôt que de voir
ca. Mais d'un mal, Dieu peut tirer un bien. Espérons que ces blasphèmes
abominables puissent ouvrir les yeux de certains :
- L'inversion des valeurs fut célébrée par le drapeau
olympique hissé à l'envers… Le cheval blanc de l'Apocalypse qui avance, présage
de l’Antéchrist, apportant une fausse paix avant les autres calamités.
- Commémoration de la République qui décapite la
France millénaire bâtie sur la Monarchie et le Christianisme.
- Célébration du "trouple", le couple de
trois personnes, c'est-à-dire l'échangisme et l'infidélité, la destruction de
la famille traditionnelle qui permit à l'humanité de se bâtir sur des bases
saines et durables.
- Aya Nakamura sort de l'Institut français, autrefois
temple du savoir regroupant les plus grands savants français. La nouvelle
France accouche du vulgaire devant lequel gigote la Garde républicaine devenue
ses clowns.
- Des drag-queens parodient la Sainte Cène, le dernier
repas de Jésus-Christ avec ses apôtres. Autre détail à noter : le chapitre 13
du livre biblique de l'Apocalypse décrit la bête de Satan avec sept têtes,
comme la drag-queen avec sa couronne au milieu, qui prend la place de
Jésus-Christ. On notera enfin la présence d'une très jeune fille au milieu de
cette "troupe"...
- Les drag-queens représentent ce repas avec Dionysos, dieu grec du vin, symbole l'ivrognerie et de ce qui s'ensuit. C'est là la marque du talmudisme animé par la haine du Christ, mot qui signifie l'« oint de Dieu ». Et c'est Philippe Catherine, "chanteur" français, qui personnifie ici Dionysos sur la table du dernier repas de Jésus, aux côtés d'apôtres trans, dans une scène absolument blasphématoire.
La cérémonie
d'ouverture des JO 2024 illustre donc parfaitement cette dérive. Les choix artistiques,
jugés de mauvais goût par beaucoup, semblent marqués par une symbolique
apocalyptique. Une explosion symbolique de sang sur la Conciergerie, un lieu
chargé d'histoire, où des mannequins exhibent des têtes coupées aux fenêtres.
Cette scène macabre évoque de manière morbide le calvaire de Marie-Antoinette.
Le tout, accompagné d'une musique qualifiée de ténébreuse, voire "satanique".
Sans oublier la reconstitution irrespectueuse de la Sainte Cène, où des transgenres
incarnent les apôtres et une femme obèse en Jésus, couronne cette démonstration
provocatrice. Des femmes à barbe, des drag-queens, des symboles évoquant le
sang et la mort... Est-ce vraiment l'image que la France souhaite projeter au
monde ?
La cérémonie ne s'arrête pas là. Les enfants, conduits
sur une barque par un passeur sinistre, disparaissent dans les égouts de la
Seine, transformée en Styx, le fleuve mythologique des Enfers. Les images
subliminales des enfants qui disparaissent dans les catacombes de Paris pour la
cérémonie n’étaient évidemment pas un hasard.
Un cavalier de l'Apocalypse et un veau d'or complètent
ensuite ce tableau lugubre. La symbolique omniprésente semble vouloir choquer à
tout prix, s'inscrivant dans une volonté délibérée de provoquer et de
déstabiliser. Orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en
réponse à une crise imminente démontre qu'ils n'ont que le plus grand mépris
pour leurs semblables. À l'instar de la stratégie proposée par le WEF dans son
agenda 2030.
D'ailleurs, l’avocat Fabrice Di Vizio invite tous les
chrétiens à se joindre à une plainte commune contre l’Etat français pour faire
condamner les différentes scènes blasphématoires à l’égard du Christ. Et
d'ailleurs, Certains passages de la cérémonie on été également censurés par
plusieurs télévisions étrangères. Nous avons été extorqués par une élite
criminelle qui orchestre la destruction de la vie telle que nous la
connaissons, dans le but d'instaurer un système de gouvernance et de contrôle
mondial dirigé par la technocratie.
Dans le domaine de la gastronomie, les JO de Paris
2024 marquent également une rupture avec les traditions. La promotion d'une
alimentation plus végétale, soutenue par des acteurs comme Garden Gourmet de
Nestlé (déjà habitué à mettre de l'eau de la seine dans ses bouteilles),
s'inscrit dans une stratégie fallacieuse de réduction de l'empreinte carbone
des JO. Avec les plats proposés aux 15.000 athlètes du village olympique
majoritairement végétariens, nouveau cheval de Troie des mondialistes afin de
soumettre encore plus les populations. Cependant, cette orientation soulève des
questions sur l'invisibilisation de l'histoire et du patrimoine culinaire
français, souvent associé à des plats traditionnels riches en protéines
animales.
Amnesty International a critiqué l’utilisation de
technologies de surveillance massives pendant les Jeux Olympiques de Paris
2024, estimant que cela pourrait violer les droits à la vie privée et à la
liberté d’expression. Les technologies de surveillance, comme la vidéosurveillance
assistée par intelligence artificielle (IA), peuvent être utilisées pour
surveiller les populations et collecter des données pendant les JO, ce qui
soulève des préoccupations quant à la protection des données personnelles et du
droit à la vie privée. Il est
important de surveiller les mesures prises pour garantir la protection des
droits de l’homme et le respect de la vie privée pendant ces événements et
surtout après…
Le Forum Économique Mondial (WEF) est également au
cœur des critiques, accusé de tenter de remodeler le monde en exerçant un
contrôle total sur les populations. Cette organisation, perçue comme une menace
pour la liberté et les ressources des masses, cherche à instaurer un système de
gouvernance technocratique où les mouvements de chacun seraient suivis de
manière despotique. Leur objectif ultime semble être un gouvernement mondial
dystopique où les masses sont réduites à une sous-espèce à laquelle on ne
permet qu'une quantité limitée de liberté et de ressources tout en étant soumises
à une surveillance constante. Le but ultime étant d'exercer un contrôle
physique, mental et financier total et à spectre complet sur l'humanité. Et les
JO de Paris 2024 servent de phase test.
Il est assez difficile d'exagérer les objectifs
néfastes de cette organisation (le WEF) qui se targue de "pénétrer les
gouvernements" comme une sorte de cancer. En d'autres termes, ils essaient
de nous transformer en bétail. En observant le dispositif sécuritaire pour les
JO de Paris 2024, on constate l'analogie entre les parcs à bœufs et les
barrières de cloisonnement. Le but est donc atteint.
En somme, sous la présidence d'Emmanuel Macron, la
France semble se détourner définitivement de son riche héritage pour embrasser
une voie controversée, marquée par 7 années de provocations hautement symboliques,
d'enlaidissement du pays, de décadence morale, de ruine totale de son économie
et une transformation radicale de ses traditions, en totale adhésion avec
l'agenda 2030 du WEF. Cette
trajectoire suicidaire suscite de vives inquiétudes quant à l'avenir de
l'identité nationale française, ainsi que des valeurs qui en ont fait sa
grandeur.
Phil BROQ.
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