21 septembre 2024

L’OMBRE D’UN TOTALITARISME SANITAIRE

Dans notre époque troublée, où la vérité semble souvent se dérober, les voix éclairées d’experts tels qu'Ariane Bilheran et Vincent Pavan méritent une écoute très attentive. Leurs réflexions sur les dérives actuelles du pouvoir, notamment dans le domaine de la santé, mettent en lumière un phénomène inquiétant que nous vivons tous. Il s'agit de l'émergence d’un totalitarisme insidieux, menant à une déshumanisation de l’individu au profit d’une idéologie sanitaire.

Ariane Bilheran dépeint avec acuité un processus redoutablement efficace, en deux temps, par lequel un régime totalitaire s’installe : d’abord, une propagande habilement orchestrée, tissant une toile complexe d’illusions où la réalité est cyniquement déformée. Ensuite, c'est l'usage de la terreur par un coup de force qui impose son idéologie par la peur. Dans ce bal des ombres, la censure, véritable outil de domination dont le gouvernement Macron abuse, à l'instar des années sous Staline, agit tel un prédateur affamé, prêt à dévorer toute dissidence.

Prenons un instant pour observer ce spectacle grotesque : les campagnes d’affichage sur les effets indésirables des vaccins, systématiquement muselées sous le prétexte fallacieux de protéger la santé publique. Comme si un débat éclairé était une menace à la sécurité des citoyens ! Quand la réalité, comme un intrus désagréable, se heurte à ce narratif soigneusement édifié, c’est la voix dissidente qui est étouffée avec une détermination qui frôle l’acharnement. Tous les moyens sont employés pour faire taire les voix contraire, allant de la diffamation publique jusqu'à la prison, en passant par les contrôles fiscaux.

Les échos de cette dynamique résonnent terriblement avec tous les sombres chapitres de l’histoire du communisme puis du socialisme, où la vérité a été sacrifiée sur l’autel du contrôle, et où les régimes autoritaires dits de gauche, se sont réjouis de ce silence complice. N'oubliez jamais que TOUS les dictateurs au monde sont de Gauche !! C'est un fait trop souvent ignoré, ou simplement effacé par la propagande. Et oui, même Hitler l'était, car les nazis, ce sont des nationalistes socialistes!

De son coté, Vincent Pavan, porte-parole de l’association Réinfo Liberté, s’invite dans cette danse macabre pour confirmer cette analyse. Sa mise en garde n’est pas à prendre à la légère : la similitude avec les pratiques passées, où l’information était méticuleusement filtrée pour ne laisser passer que ce qui servait l’idéologie en place, est frappante. Quoi de plus insidieux qu’un monde où la liberté d’expression se raréfie au profit d’une uniformité de pensée qui ronge les fondements mêmes de notre démocratie ?

C’est un drame, où le pluralisme s’évanouit, et où les voix individuelles sont étouffées sous le poids d’une conformité oppressante. Dans cette danse macabre, chacun est invité à se plier, tel un pantin, à une pensée unique qui ne tolère aucune discordance. Les débats, jadis riches et vibrants, se réduisent à de vagues échos de slogans uniformes, où la créativité intellectuelle se perd dans la banalité. Les esprits critiques, ostracisés, deviennent des parias dans une société qui privilégie le confort de l’harmonie factice. En cette ère de conformisme, l’angoisse de la marginalisation pousse les individus à abandonner leurs convictions pour se fondre dans un consensus fabriqué. Ainsi, la richesse de la diversité s’effrite, laissant place à un paysage désenchanté, où l’originalité est perçue comme une menace plutôt qu’un atout.

Il est facile de constater que la voix du citoyen, autrefois vibrante d’indépendance, est réduite au silence par un discours dominant qui ne souffre ni critique ni questionnement. Les gardiens de cette vérité unique nous expliquent, avec un aplomb confondant en engouffrant nos propres impôts pour les subventionner, que tout cela est pour notre bien ! Ironiquement, alors que les cris de désespoir de ceux qui osent contester se perdent dans le tumulte, la machine à broyer des opinions dissidentes se met en marche, huilée par un discours moralisateur qui ne laisse aucune place au doute.

Alors, que reste-t-il de notre liberté si nous cédons à cette logique aliénante ? Ces spécialistes nous alertent sur le danger imminent d’une telle dérive, une mise en garde qui, pourtant, semble glisser sur les consciences comme l’eau sur les plumes d’un canard. Qui se soucie vraiment de cette perte insidieuse ? Dans ce contexte, la vérité devient une denrée rare, enfermée dans les catacombes de l’information, pendant que le grand public se contente de sa portion quotidienne d’illusions, servie avec une généreuse dose de peur.

La question se pose alors avec une cruauté délicieuse de savoir jusqu’où irons-nous dans cette abdication de notre pensée critique ? La propagande, cet art de la manipulation, est devenue le maître d’œuvre d’une société où l’individu, réduit à un simple chiffre de données numériques, abandonne son droit à la vérité.

Il est grand temps de réveiller notre conscience collective et de briser les chaînes de ce conformisme éhonté, avant que la désinformation ne devienne le seul langage parlé dans les salons du pouvoir. Si nous ne nous levons pas pour revendiquer notre droit à la voix, nous ne serons bientôt plus que des ombres, errant dans un monde où la liberté et la vérité ne sont plus que des souvenirs d’un temps révolu.

L’un des aspects les plus troublants de cette dérive moderne est la transformation insidieuse de l’épidémiologie en un outil de contrôle social, comme le soulignent A.Bilheran et V.Pavan. Ce glissement inquiétant, où la médecine, qui devrait se consacrer à l’individu, se mue en une science des masses, est révélateur d’une époque où chaque être humain est réduit à une simple donnée statistique, un chiffre froid dans un tableau Excel. Et souvent fallacieux, puisque nous avons constaté que les comptages ne sont pas effectifs, mais idéologiques. Comme pour les résultats des présidentielles !

Cette vision utilitariste, où le bien-être collectif écrase la valeur intrinsèque de chaque vie humaine, soulève des questions éthiques fondamentales. À quel prix cherche-t-on à éradiquer des maladies ? Ou plutôt quel prix rapportent les maladies que l'on refuse d'éradiquer ? Au-delà de l’obsession pour des indicateurs de santé, c’est une forme de déshumanisation qui se met en place, traitant l’individu comme un simple rouage dans une machine sanitaire qui se veut bienveillante alors qu'elle n'est plus qu'une fabrique à dividendes au mépris de toute humanité et d'une bonne santé. Car soyons clairs, derrière cette façade de préoccupation collective, se cache une froide indifférence pour la souffrance humaine. Puisque dorénavant "un patient soigné est un client perdu !"

Ce processus déshumanisant, ne fait que masquer une réalité plus sombre, où la santé publique devient un mantra au service d’une idéologie dévastatrice. En réduisant l’individu à un chiffre dans une équation, on efface son histoire, ses émotions, sa souffrance. Le discours dominant ignore les récits personnels, ces vérités qui devraient guider une approche véritablement humaine de la médecine. Cette méprise peut conduire à des violations graves des droits humains, et c’est là un danger que ces experts s’efforcent de dénoncer avec une détermination louable.

Il est ironique de constater que, dans notre quête d’une santé parfaite, nous pourrions perdre de vue ce qui fait de nous des êtres humains : notre capacité à ressentir, à aimer, à souffrir. La médecine, qui devrait être un refuge pour l’individu, se transforme en un système de surveillance où la norme est définie par des courbes épidémiologiques plutôt que par les besoins des patients. La souffrance d’un individu devient secondaire face à des objectifs statistiques, un comble pour une discipline qui se veut guérisseuse. Nous vivons en plein serment d'hypocrites en place de celui d'Hippocrate !

Alors, où nous mène cette dérive ? À un monde où l’on préfère sacrifier l’individu sur l’autel du bien-être collectif et surtout des oligarques qui ont créé Big Pharma, où l’on peut légitimement se demander si nous ne nous dirigeons pas vers une société où le mépris pour la vie humaine devient la norme. La réponse à cette question, est plus qu’une simple interrogation philosophique, elle est cruciale pour notre avenir. Si nous continuons à laisser le malthusianisme de ces élites, devenues folles de leur hybris, se transformer en instrument d’oppression numérique, nous risquons d’ériger une muraille entre nous et notre humanité.

Il est impératif de rétablir un équilibre, de rappeler que chaque vie compte et que la santé ne se résume pas à des chiffres sur un tableau, ni à des dividendes d'actionnaires mal intentionnés. En fin de compte, il en va de notre responsabilité collective de défendre notre humanité face à une tendance de plus en plus déshumanisante. Car si nous ne prenons pas conscience de cette dérive, nous nous retrouverons bientôt à naviguer dans un monde où l’éthique est sacrifiée sur l’autel de la statistique, et où l’être humain, en tant qu’individu, risque de disparaître à tout jamais.

Face à cette réalité alarmante, la réponse ne peut être que celle d’une résistance lucide et déterminée à supprimer le cancer que sont devenus ces oligarques tels que Bill Gates et leurs outils de contrôles que sont le WEF, l'OMS, l'OMC et plus largement les pseudos milliardaires philanthropes. Dans un monde où la peur est un outil de manipulation, il est impératif de ne pas se laisser submerger par le tumulte ambiant. Au contraire, nous devons développer un esprit critique aiguisé, capable de déchiffrer les discours dominants qui, sous le vernis de la science, cachent souvent des intentions peu reluisantes, voire assassines.

Ces médecins audacieux nous exhortent à engager un dialogue ouvert, à échanger des idées, à partager des informations. Ce n’est pas simplement un appel à la discussion, mais un cri de ralliement pour rétablir le lien entre la médecine et la réalité vécue par les citoyens. Comment accepter que le savoir médical soit monopolisé par une élite qui ignore les souffrances individuelles, réduisant chaque patient à une statistique sans visage ? Comment accepter qu'un informaticien fou, devenu milliardaire sous l'égide de la CIA, puisse parler et financer des vaccins ?

La nécessité d’une prise de conscience collective est plus que palpable, c'est devenu une urgence. Faire entendre les voix dissidentes n’est pas un luxe, mais une nécessité vitale. Ces voix, souvent noyées dans le vacarme de la propagande, parviennent pourtant à briser le silence imposé. Ce courage, bien que risqué, peut provoquer un changement significatif, insufflant une nouvelle vie dans la relation entre le corps médical et la population. Nous devons traquer ces juges Staliniens qui interdisent un à un les sites d'informations et les réseaux tels que X, Telegram, Rumble ou tous les sites qui ont vocation à utiliser la liberté d'expression comme un droit naturel et inaliénable !

Nous sommes à un tournant décisif de notre histoire et de notre avenir en tant qu'humains. Nous pouvons choisir d’accepter l’écrasante illégalité des discours officiels, ou nous pouvons, au contraire, nous lever avec audace et revendiquer notre droit à une compréhension authentique de la santé comme à des soins appropriés. Une résistance lucide ne consiste pas à rejeter aveuglément la science, mais à l’interroger, à la confronter à nos réalités quotidiennes. En science, le consensus est un mensonge, puisque la science progresse chaque jour.

La médecine doit redevenir ce qu'elle était censée être, c'est-à-dire un art au service de l’individu, une discipline humaine, où l’expérience personnelle prime sur les abstractions statistiques et les gains qu'en retirent les laboratoires. C'est ce capitalisme de connivence, impuni et corrupteur que nous devons éradiquer. Si nous échouons à redonner une voix à ces véritables médecins et plus généralement aux alerteurs, nous risquons de nous enfermer dans une société où l’informé est réduit au silence, et où le citoyen devient un simple pion dans un jeu de pouvoir.

Ce chemin n’est évidemment pas sans embûches, mais il est le seul qui nous permettra de préserver notre humanité et notre vie face à un système de santé qui, sous couvert de bienveillance, pourrait bien se transformer en instrument d’oppression implacable. La résistance lucide et collective n’est pas seulement une question de survie, mais une affirmation de notre droit à la dignité et à la vérité. Nous devons éclairer les ténèbres pour les faire reculer. Dans cette lutte, chaque voix compte, chaque témoignage a son poids, et ensemble, nous pouvons redéfinir les contours d’une médecine qui honore réellement la vie humaine.

Dans un monde où la vérité et la liberté d’expression semblent s’effacer peu à peu, les réflexions d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan apparaissent comme des phares dans la nuit. Leur message ne se limite pas à une simple mise en garde contre les dérives d’un système de santé qui, sous prétexte de protéger le bien commun, pourrait se transformer en un instrument de contrôle totalitaire. Au contraire, ils nous rappellent que la santé publique devrait être fondée sur un engagement sincère envers le bien-être de chaque individu, quel que soit son statut, un principe que trop souvent, nous semblons oublier.

Il est impératif d’écouter ces voix éclairées, car elles incarnent une nécessité vitale dans notre société. Leur appel à la transparence et à la vigilance n’est pas un souhait pieux, mais une exigence pour bâtir un avenir où la liberté et la vérité s’imposent face à la peur et à la censure. Dans ce paysage chaotique, il est facile de céder à la résignation pourtant, la résistance commence d'abord par une prise de conscience individuelle. Chaque geste, chaque acte de courage, contribue à dessiner les contours d’un futur qui respecte l’intégrité de chaque être humain.

Ces réflexions que je vous présente aujourd'hui, ne sont pas seulement des cris d’alarme. Elles se présentent également comme des invitations à agir, à penser de manière critique, à débattre avec passion et à refuser toute domination avec détermination. Elles nous incitent à ne pas nous contenter d’être des spectateurs passifs d’un drame qui se joue sous nos yeux. L’avenir de notre société ne peut se construire sans une participation active et réfléchie de chacun d’entre nous. La complaisance est une complice silencieuse des abus, tandis que le discernement et la détermination deviennent des armes essentielles dans notre quête pour un monde plus juste. De nos jours être passif face à cette folie suicidaire revient à accréditer le monde carcéral que nous préparent ces oligarques dégénérés.

Il est temps de prendre la mesure des enjeux, de revendiquer notre droit à une santé publique qui respecte notre dignité et nos choix, à une liberté d'expression qui est naturellement inaliénable et à une capacité à dire stop à tous ces énergumènes dépravés par leur idéologie mortifère que nous finançons avec nos impôts.

Les défis sont immenses, mais l’espoir demeure dans notre capacité à unir nos voix pour réclamer un avenir où la science est au service de l’humanité, et non l’inverse. Dans cette lutte, nous devons être prêts à nous lever contre les discours uniformisateurs, à défendre le droit de chacun à s’exprimer et à vivre pleinement sa vérité.

L’avenir nous appartient, et c’est à nous de répondre à cet appel avec une conviction renouvelée, une audace retrouvée et un peu de panache perdu depuis si longtemps. Chaque pas vers une société éclairée est un pas vers une existence où la santé, la liberté et la vérité ne seront plus de vains mots, mais les piliers d’un monde meilleur.

 Phil BROQ.






20 septembre 2024

AUX ÂMES REBELLES DE L'AUBE NOUVELLE

 Chers frères et sœurs d'âmes, compagnons de lumière, je vous adresse ces mots avec une profonde reconnaissance. Vous qui, inlassablement, avez défié les ténèbres pour faire émerger une nouvelle réalité, bâtisseurs d'un monde fondé sur la vérité et l'intégrité, vous êtes les héros silencieux de notre temps. Malgré les moqueries, les insultes, et l'isolement, vous n'avez jamais vacillé. Vous avez choisi de marcher sur des chemins solitaires, portant haut le flambeau de vos convictions, même lorsque tout autour de vous semblait s'effondrer. Aujourd'hui, je tiens à vous rendre hommage et à vous dire combien votre courage et votre persévérance sont admirables. Vous êtes les véritables architectes du changement que l'humanité attendait depuis si longtemps.

Mes amis, travailleurs infatigables, véritables bâtisseurs d'un monde nouveau, vous qui avez persisté à défendre la vérité malgré les moqueries et les insultes, vous qui avez été dénigrés et traités de fous sur les réseaux pendant des années, mais qui avez toujours maintenu votre intégrité et votre détermination, vous êtes les véritables héros de notre époque et je veux vous dire un immense merci pour cela.

À vous qui avez perdu des amis, des membres de votre famille, à ceux qui ont enduré le ridicule tout en restant fidèles à leurs convictions, à vous les nouveaux marginaux, les travailleurs de la lumière, les guerriers des étoiles, les âmes éclairées, et même les théoriciens du complot qui se sont sentis isolés et différents mais n’ont jamais cessé d’offrir une perspective unique sur le monde, je rends hommage à votre courage indéfectible. 

Vous avez choisi d'explorer les chemins moins fréquentés, même lorsque le monde autour de vous se liguait contre vos avertissements pour seulement les sauver. Vous avez vécu la douleur de découvrir les vérités cachées alors que ceux qui vous entouraient vous qualifiaient de fous. Vous avez affronté cette nuit noire de l’âme avec une dignité et une résilience remarquables. Vous avez affronté la solitude, la désapprobation, et avez vu votre cœur se briser en mille morceaux, mais vous avez continué à avancer, à vous battre, à croire en un monde meilleur, où il serait possible de sauver les moutons.

À vous, les vieilles âmes qui chaque jour œuvrent pour le bien de l'humanité, à vous qui avez vu vos relations se défaire et vous êtes retrouvés à marcher seul sur ce chemin de l'éveil, je vous adresse ma plus profonde admiration. Vous avez bravé des défis inimaginables pour ouvrir la voie à une nouvelle conscience collective. Vous êtes ceux qui, jusqu'au dernier jour, cherchent la vérité, osent dire ce que personne d'autre ne peut ou n'ose dire. Vous êtes les pionniers d’un changement qui résonnera à travers l’histoire, affectant non seulement notre existence sur Terre mais également l'univers tout entier.

Vous avez consacré votre vie à ce processus d'Ascension et à la libération de l'humanité, et pour cela, je vous tire mon chapeau. Vous avez affronté des épreuves que peu d’entre eux peuvent comprendre, mais vous avez persévéré avec une force et une détermination incomparables pour l'amour de votre prochain. Car grâce à vous, chaque jour, de plus en plus de personnes s'éveillent à la vérité, et même si la route est semée d'embûches et que le poids du rejet peut parfois être écrasant, sachez que votre sacrifice et vos efforts ne seront pas vains. Vous avez choisi d'agir ici et maintenant pour transformer le monde pour le mieux.

Vous êtes des êtres divins, des héros parmi ce qu'il reste d'humain dans ce monde en déliquescence. J'admirerais toujours ceux qui ont résisté à la pression la plus intense jamais connue, provenant de conjoints, parents, enfants, amis, collègues et médecins, pour vous contraindre à les suivre dans leur déni. Vous incarnerez toujours le meilleur de l'humanité, quels que soient votre âge, votre niveau d’éducation, votre pays ou vos opinions. Vous êtes les soldats que toute armée de lumière rêverait d’avoir, les parents que tout enfant souhaiterait avoir, et les enfants que tout parent rêverait de voir grandir.

Vous êtes des êtres exceptionnels, l’essence même des peuples qui ont construit les cultures et conquis les horizons. Vous êtes les arbres qui ont bravé les tempêtes, souriant aux insultes et à l’exclusion. Vous avez affronté des discriminations, des dénonciations, des trahisons et des humiliations, mais vous avez gardé la tête haute face à l’adversité. Vous avez perdu vos emplois, vos carrières se sont effondrées, vous avez été privés de ressources, vous avez enduré la cruauté et les privations mais vous avez tenu bon. Vous avez résisté parce que vous étiez nés pour cela, et alors que vous pensiez être seuls, nous sommes en réalité des milliers.

Nous savons maintenant qui sont les véritables résistants héroïques de cette planète : femmes, hommes, jeunes, vieux, riches, pauvres, de toutes races et religions. Vous êtes les véritables élus d'une arche invisible qui se nomme Humanité et les seuls à avoir tenu bon alors que tout semblait s'effondrer. Vous êtes faits de l’étoffe des plus grands, des héros nés parmi les hommes ordinaires, illuminant les ténèbres par votre bravoure et votre détermination. Vous êtes les véritables artisans d’une humanité en pleine évolution, et votre lumière est le phare qui guidera le monde vers un avenir meilleur.

Alors que nous avançons ensemble vers un futur incertain, votre lumière continuera désormais de briller, éclairant la voie pour tous ceux qui cherchent la vérité. Vous, les résistants de l’âme, les gardiens de la sagesse ancienne, avez montré ce que signifie véritablement être humain. Dans un monde en pleine transformation, vous êtes restés droits dans vos convictions, incarnant la force, la bravoure, et la résilience que chaque génération dresse en modèle pour les suivantes. Vous êtes la flamme qui, dans les ténèbres, allume le feu d'un nouveau monde. Votre combat pour l'éveil de l'humanité n'est pas seulement un acte de résistance, mais un acte d'amour profond pour cette Terre et ses habitants. Vous êtes les éclairs qui déchirent la nuit, annonçant l'aube d'une nouvelle ère. Vous êtes les héros discrets dont la lumière guidera les générations futures vers un horizon plus lumineux, un monde où la vérité et l'intégrité règnent en maîtres. Vous êtes la force tranquille qui, contre vents et marées, redessine le destin de l'humanité. 

Pour tout cela, je vous dois un respect éternel et une gratitude infinie de m'accompagner dans ce combat que nous avons relevé avec panache et fierté !


Phil BROQ.








18 septembre 2024

Si...

À travers les tumultes de notre époque, des vérités dérangeantes émergent, dévoilant les manipulations et les injustices qui nous entourent. En explorant ces points cruciaux avec un regard critique, vous aurez l'opportunité de percer les mystères qui façonnent notre monde et de découvrir votre propre force intérieure. Plongez dans cette analyse profonde, écoutez attentivement votre conscience, et laissez la résilience et la clarté d’esprit éclairer votre chemin vers une vie authentique et libre. Votre compréhension peut transformer non seulement votre réalité, mais aussi votre essence :

 

Si tu peux voir les catastrophes et les conflits anticipés, prédits avant qu'ils ne se produisent,

Et comprendre que derrière, des stratégies invisibles se trament,

Si les épidémies récurrentes et cycliques te paraissent plus que des hasards,

Et que tu discernes un schéma caché sous ces vagues de maux ;

 

Si les réponses aux problèmes sont planifiées bien avant qu'ils ne surgissent,

Si tu vois des solutions alimentaires à base d’insectes apparaître quand les pénuries s'annoncent,

Si les vaccins sont déjà développés avant même que la pandémie ne soit déclarée,

Et que tu pressens des intentions derrière les masques de l’urgence ;

 

Si les mensonges sont répétés jusqu’à devenir des vérités pour tous,

Et que le confort du mensonge l’emporte sur la vérité dérangeante dans la société,

Si tu réalises que la seule subsistance est devenue un crédit fictif,

Alors que l’effort de ton travail reste bien réel et ignoré ;

 

Si en période de crise, les forces se divisent plutôt que de s’unir,

Si les forces armées et de l’ordre protègent les oppresseurs tout en réprimant les opprimés,

Si la prise de conscience ne suffit plus à stopper les guerres et les conflits sans fin,

Et que les gouvernements ne sont plus que des entreprises, traitant les individus comme des pions ;

 

Si tu n’existes plus que comme un numéro, un identifiant légal,

Et bientôt comme une identité numérique au service d’une élite minuscule,

Si la morale est devenue l’instrument d’un pouvoir corrompu,

Et que le droit ne sert plus que les intérêts d’un petit groupe d’élus ;

 

Si les criminels dictent les lois et les règles du jeu,

Si l’éducation ne t’apprend plus à réfléchir, mais à suivre sans questionner,

Si les gens font plus confiance aux médias qu’à leurs amis et famille,

Et que la minorité éclairée est stigmatisée par la majorité errante ;

 

Si l’ignorance, l’indifférence et la paresse intellectuelle deviennent les principales causes de décès,

Si les médecins, croyant soigner, causent la mort, persuadés d’accomplir leur devoir,

Si le système de santé se confond avec la torture et l’euthanasie déguisée,

Et que les traitements chimiques masquent les symptômes tout en créant d’autres maux ;

 

Si tu reconnais que le corps exprime ses déséquilibres et qu’on les appelle à tort maladies,

Si la science et la médecine servent la finance plutôt que la vie,

Si les médecins deviennent les agents commerciaux des laboratoires,

Et que le savoir et la richesse se concentrent entre les mains d'une infime minorité ;

 

Si une seule personne peut détenir plus que le PIB d'un pays,

Si les individus se croient libres tout en étant contraints dans leurs choix,

Si, malgré l’abolition de l’esclavage, chacun doit accepter ce qu’il n’a jamais consenti,

Et que les femmes sont intégrées dans un système de consommation, détruisant les valeurs familiales ;

 

Si tu comprends que les objets connectés ne sont que des outils de surveillance déguisés,

Si l’intelligence artificielle, si prometteuse, est pervertie pour le contrôle,

Si l’édition génétique sert plus à diviser qu’à guérir,

Et que le transhumanisme menace de déshumaniser totalement l’existence ;

 

Si les ressources vitales comme l’eau et la terre deviennent des produits d’élite,

Si l’environnement est sacrifié pour des profits immédiats,

Si l’agriculture est transformée pour asservir les peuples par la faim,

Et que les espèces disparaissent sous l’indifférence généralisée ;

 

Si tu vois la crise climatique utilisée comme prétexte pour concentrer encore plus de pouvoir,

Si les dirigeants prêchent des solutions tout en approfondissant les problèmes,

Si l'écosystème est vendu morceau par morceau aux plus offrants,

Et que la technologie est vénérée au détriment de la nature et de l’humanité ;

 

Si tu reconnais tout cela, et que malgré tout, tu ne renonces ni à la justice ni à la vérité,

Si tu peux te tenir droit face aux imposteurs et aux menteurs,

Si tu refuses de céder à la haine, à la peur, et au mensonge,

Si tu peux naviguer à travers ce monde troublé avec intégrité et courage.

Si, au milieu des ombres et des turbulences de ce monde troublé, tu marches avec intégrité, défiant la manipulation et l'oppression.


Et si, malgré les obstacles, tu choisis de défendre la vérité et la justice avec courage...

Alors tu seras un être libre, et un Homme, conscient de sa véritable valeur.

Tu te tiendras comme un phare éclatant de liberté et de dignité, et dans l’ombre de la nuit, ton éclat guidera ceux qui cherchent encore la lumière.


 

Phil BROQ.




De Notre Dame à Notre Drame

Imaginez un monde où le feu qui a ravagé Notre-Dame de Paris en 2019 n’est pas seulement une tragédie mais le signe d'une guerre spirituelle et culturelle à l’échelle mondiale. Depuis des années, des forces obscures s'attaquent aux fondements mêmes de notre civilisation occidentale et à ses symboles les plus sacrés. Les églises incendiées, les prophéties des mystiques et les crises incessantes nous montrent que cette bataille n'est pas qu'une question d'incendies ou de catastrophes naturelles, mais une lutte acharnée contre nos valeurs les plus profondes et notre héritage spirituel.

La bête de l'événement est là… Nous a annoncé la marionnette française de Satan, alias Macron. 16 avril 2020.

Et il est certain que depuis plusieurs années, une guerre spirituelle et culturelle sans précédent est menée contre la civilisation occidentale et plus particulièrement contre la religion catholique et les églises de France. Ce phénomène, orchestré par des forces mondialistes d’inspiration luciférienne et satanique, vise à détruire les racines spirituelles et culturelles de notre nation. La France, souvent appelée la "fille aînée de l’Église", se trouve au centre de cette bataille spirituelle. De par son histoire chrétienne et son importance géopolitique, elle représente un enjeu symbolique majeur pour ces forces destructrices. Tout le monde peut aisément comprendre que les ténèbres ne s'attaquent qu'à la Lumière !

Tout au long de l'Histoire, certaines personnes se sont dressées contre le flot de démence, ont cherché à découvrir la vérité et à réveiller les masses. Le plus souvent, elles ont été ignorées ou tuées. Je ne pense pas que nous puissions éviter le sort que les dieux semblent nous avoir réservé. Tout ce que nous pouvons faire, c'est nous efforcer de voir au-delà des illusions et des distractions, de rechercher la vérité et de nous reconnecter à notre vraie nature, dans l'espoir que certains survivront à l'imminent Grand Nettoyage planétaire.

Le tragique incendie de Notre-Dame de Paris en 2019 a marqué un tournant dans cette offensive. Pour beaucoup, cet événement symbolique n'était pas un simple accident, mais un acte délibéré, un message des élites occultes. Ces élites, au service d’une mondialisation déshumanisante, auraient pris pour cible l'un des plus grands symboles religieux et historiques de la France. Et l'ont profanée en la reconstruisant avec des symboles maçonniques, allant jusqu'à vouloir changer l'influence lumineuse des vitraux sacrés. À travers cette attaque, c'est le cœur spirituel de notre nation qui a été visé.

Mais ce n'était que le début du saccage. En 2023, selon l’Observatoire de la christianophobie, pas moins de 27 églises ont été incendiées en France, un chiffre alarmant qui témoigne de l'accélération de cette guerre occulte, de cette destruction massive des symboles chrétiens. Ces événements ne sont pas de simples actes isolés, mais bien les manifestations d'une attaque concertée et orchestrée contre ce qui symbolise encore la résistance à la mondialisation et la cohésion spirituelle de l’Europe chrétienne.

Ce qui est encore plus troublant, c’est que tout cela avait été prédit. Au-delà de l'apocalypse de Saint Jean, une des plus grandes mystiques françaises, Marie-Julie Jahenny, une paysanne bretonne stigmatisée, avait reçu plus de 3000 visions entre 1873 et 1941. Prophète de son époque, elle avait prédit des événements historiques majeurs tels que les deux guerres mondiales, la guerre d’Algérie, et même la crise financière de 2008. Parmi ses prophéties, elle avait également averti de la montée des mondialistes et de leur plan destructeur pour la France.

Elle a aussi prophétisé les incendies d’églises, la guerre civile, et même la chute des élites financières. Mais le point culminant de ses visions reste l’annonce de l’arrivée d’un nouveau roi messie, qui viendrait restaurer l’ordre spirituel et temporel en France après une période de grande tribulation. C'est "Le grand monarque" ! Aujourd’hui, alors que la France traverse des crises sans précédent, les paroles de Marie-Julie Jahenny résonnent comme un avertissement. La France chrétienne pourrait bien être destinée à jouer un rôle central dans la restauration spirituelle mondiale et le retour du Christ.

Dans mes écrits, j'ai souvent expliqué comment la manipulation de la vérité et la suppression de la connaissance ont été utilisées par ceux qui détiennent le pouvoir pour maintenir leur contrôle. L'état actuel du monde en témoigne. Nous sommes bombardés d'informations contradictoires, de demi-vérités et de mensonges purs et simples. L'essor des réseaux sociaux n'a fait qu'exacerber ce problème, en créant des chambres d'écho où les individus ne sont exposés qu'aux informations qui renforcent leurs croyances déjà existantes. Il en résulte une polarisation de la société, où le discours rationnel est remplacé par le vitriol et la haine. Cet obscurcissement et cette distorsion délibérés de la réalité peuvent conduire à une forme de folie collective, où la population est incapable de faire la distinction entre ce qui est réel et ce qui est inventé. Il en résulte un terrain fertile où les graines de la destruction peuvent être semées. L'orgueil démesuré et la folie collective de l'humanité pourraient bien être les précurseurs de sa destruction.

"C'est pour cette raison que Dieu les a livrés à des passions déshonorantes : leurs femmes ont remplacé les rapports sexuels naturels par des relations contre nature ; de même, les hommes ont abandonné les rapports naturels avec la femme et se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres ; ils ont commis homme avec homme des actes scandaleux et ont reçu en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. Comme ils n'ont pas jugé bon de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur intelligence déréglée, de sorte qu'ils commettent des actes indignes. Ils sont remplis de toute sorte d'injustice, [d'immoralité sexuelle,] de méchanceté, de soif de posséder et de mal. Leur être est plein d'envie, de meurtres, de querelles, de ruses, de fraudes et de perversité. Rapporteurs, ils sont aussi médisants, ennemis de Dieu, arrogants, orgueilleux, vantards, ingénieux pour faire le mal, rebelles à leurs parents. Dépourvus d'intelligence, de loyauté, d'affection, ils sont [irréconciliables,] sans pitié. Et bien qu'ils connaissent le verdict de Dieu déclarant dignes de mort les auteurs de tels actes, non seulement ils les commettent, mais encore ils approuvent ceux qui agissent de même. "(Épître aux Romains 1:18-32).

Cette description reflète parfaitement ce dicton :"Quos Deus vult perdere, prius dementat ; « Les Dieux commencent par rendre fous ceux qu'ils veulent anéantir », qui a pris une résonance inquiétante dans le monde d'aujourd'hui. Notre folie collective, motivée par la cupidité, l'ignorance et la manipulation, nous mène à la destruction. Ne voyons nous pas les traces spirituelles de cette déchéance tant annoncée dans l'attitude de nos dirigeants ?

L'hybris, ou démesure, est un concept grec désignant un comportement excessif et arrogant, souvent associé à l'excès de pouvoir et à la quête insatiable de grandeur. Cette notion est essentielle pour comprendre la dynamique de pouvoir et les dérives associées à la recherche incessante de domination.

Les délires de grandeur peuvent être causés par deux mécanismes principaux : comme une défense psychologique contre une faible estime de soi, ou comme une réponse émotionnelle à des passions exacerbées. Les recherches montrent que les délires de grandeur sont assez courants parmi les troubles psychotiques, souvent liés à des troubles comme la schizophrénie paranoïde où les individus ont un sens exagéré de leur propre importance. Les critères diagnostiqués des troubles mégalomaniaques incluent des croyances exagérées en sa propre puissance, connaissance, et importance. Ces troubles peuvent avoir une composante génétique significative et se manifestent souvent comme des tentatives de défendre une estime de soi fragile.  On les retrouve tous dans l'idéologie Sionistes et plus généralement chez tous les suprématistes du monde.

La schizophrénie, notamment sa forme paranoïde, est souvent marquée par des délires de grandeur et une déconnexion avec la réalité. Les individus atteints peuvent se croire élus ou posséder des pouvoirs exceptionnels, un phénomène qui est en grande partie irréaliste et résultant de la déformation de la perception de soi.

Ces 3 maladies mentales, attestées et bien connues des spécialistes psychiatriques, sont aujourd'hui l'apanage de ces oligarques devenus fous de puissances, de ces dirigeants dont l'impunité n'a d'égal que leur goût du vice, ainsi que de toutes ces bandes organisées de malfaiteurs que sont les Francs-maçons et autres satanistes et scientologistes. Ce sont aussi les 3 maladies "génétiques" ( le lien du sang...) que l'on retrouve chez tous les israélites talmudo-sionistes et plus généralement dans tous ceux qui se disent de "gôche", poussant leur folie schizophrène à être à la fois socialo-communiste, tout en se disant chrétiens (sic). Beaucoup plus crétins que chrétiens, ces incultes sont le terreau sur lequel le mal s'épanouit.

Ce concept est crucial pour comprendre les critiques envers ceux qui perçoivent des adversaires religieux dans des figures politiques ou économiques. Mais les mensonges des élites au pouvoir fonctionnent bien pendant les périodes de calme, or, l'histoire montre que lorsque les famines, les tremblements de terre et les épidémies s'abattent et font des ravages, l'illusion s'écroule, la raison d'être des élites (c'est-à-dire protéger la population) s'effondre et la cible a toujours été et sera de tous temps, en fin de compte, les classes dirigeantes. Et elles le savent. C'est la raison pour laquelle, lorsqu'une personne mentionne ces faits gênants, elle est réduite au silence par le ridicule et la diffamation, voire par la mort.

Le terme "antéchrist", souvent mal compris, signifie littéralement "adversaire du Christ", et non "celui qui vient avant le Christ". Selon l’Évangéliste Jean, l'antéchrist est défini comme "quiconque nie que Jésus est le Christ", "refuse d'accepter le Père et le Fils", et "rejette la venue de Jésus". En clair, ce sont ceux qui ne sont pas chrétiens véritables et sincères : Homme humble, priant Dieu et pratiquant la charité. Et ça en fait du monde, mais n'est-il pas prévu que les ¾ de l'humanité périront au moment de la fin des temps ?  

Et nos élites le savent, puisqu'ils ont prévu exactement la même chose, tentant de singer Dieu, en annonçant leur agenda maudit de 2030. Singer Dieu n'est rien d'autre que l'attitude de Lucifer, déchu pour son orgueil. Lucifer, maître des Francs-maçons, qu'ils vénèrent. (Dixit A. Pike). La venue de cet impie se fera, par la puissance de Satan (le dieu des juifs), avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'injustice pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas accueilli l'amour de la vérité pour être sauvés. "C'est pourquoi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés". (2 Thessaloniciens 2:9-12)

Historiquement, lorsqu'un peuple commence à percevoir des perturbations atmosphériques, géologiques et climatiques, et tous les maux que cela entraînent pour une société, y compris, à terme, famines, fléaux et épidémies, il se tourne individuellement et collectivement vers ses dirigeants pour qu'ils remédient à la situation. C'est de là qu'est né le concept de Roi de droit divin : au nom de son peuple, le roi était censé pouvoir intercéder auprès des dieux. Si l'intercession du roi n'aboutissait pas, il fallait trouver une solution. On procédait à des sacrifices, on accomplissait des rituels et, bien sûr, si le résultat n'était pas au rendez-vous, si les dieux restaient en colère, le roi devait mourir.

La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes, qui par leur injustice tiennent la vérité prisonnière, car ce qu'on peut connaître de Dieu est évident pour eux, puisque Dieu le leur a fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient depuis la création du monde, elles se comprennent par ce qu'il a fait. Ils sont donc inexcusables, puisque tout en connaissant Dieu, ils ne lui ont pas donné la gloire qu'il méritait en tant que Dieu et ne lui ont pas montré de reconnaissance ; au contraire, ils se sont égarés dans leurs raisonnements et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres.

Ayant la connaissance de ces événements, l'élite profite de cette situation en se mettant à la recherche de boucs émissaires plausibles parmi les autres nations, un groupe minoritaire dans leur propre pays ou encore leurs ennemis personnels - surtout chez ceux qui font remarquer que leur corruption pourrait bien être à l'origine de tous ces maux - afin de détourner l'attention de l'ensemble de la population de leurs propres éventuels péchés, qu'ils soient commis ou omis. Cela signifie qu'une telle période peut inclure des guerres au long cours et le nécessaire fardeau des impôts qui les accompagne, des persécutions envers tel ou tel groupe, une hystérie et des troubles sociaux généralement croissants, jusqu'à ce que, finalement, un jour, les peuples, dans leur ensemble, se réveillent, réalisent que leurs dirigeants se sont extrêmement mal comportés et rejettent sur eux toute la responsabilité. Les élites de notre époque le savent. Aussi cherchent-elles à décimer la population pour en faciliter le contrôle. Tel est sans nul doute ce qui a motivé l'horrible vaccin COVID, tout comme les efforts déployés pour mettre un frein à l'agriculture afin d'entraîner la famine pour de nombreuses populations. Tout est là, sous leurs yeux !

Les Chinois croyaient qu'un empereur ne pouvait régner que tant qu'il jouissait d'un Mandat du Ciel, c'est-à-dire, tant qu'il "prenait soin de son peuple" ; si pour quelque raison il échouait à veiller à son bien-être, le Ciel annulerait son Mandat et l'empereur, ainsi que probablement sa dynastie dirigeante, serait détrôné. On aurait vu le Ciel retirer son Mandat quand les cieux s'obscurcissaient, quand les récoltes déclinaient et quand la famine s'ensuivait, entraînant la mort d'un grand nombre de personnes. L'empereur, coupable ou non, endossait la faute d'avoir failli à son peuple.

Cette folie n'est donc pas nouvelle. L'Histoire regorge d'exemples de civilisations ayant sombré dans leur propre démence avant de disparaître brutalement. L'Empire Romain, jadis symbole de progrès et de civilisation, a plongé dans la décadence et le chaos avant de disparaître. Lorsque l'on parcourt son histoire, on se rend compte à quel point notre civilisation actuelle lui ressemble. C'est seulement la science qui nous a permis de devenir plus imposants et plus méchants, si l'on peut dire. Et, comme le rappelle l'adage, plus ils sont grands, plus dure sera la chute. Les Romains, avant la chute, étaient aussi convaincus que nous le sommes, nous aujourd'hui, que leur monde resterait, pour l'essentiel, tel qu'il était. Ils avaient tort. À nous de ne pas répéter leur erreur et de ne pas nous bercer d'une fallacieuse assurance.

Or, les oligarques dissimulent systématiquement les symptômes d'une activité solaire accrue en les faisant passer pour des phénomènes d'origine humaine. Les traînées de condensation des avions à réaction, dues à des concentrations plus élevées de poussières cométaires dans l'atmosphère, sont confondues avec les « chemtrails » (traînées chimiques) pulvérisés par les agences gouvernementales, probablement dans le but d'abrutir la population. Les changements météorologiques dus à une modification de l'activité solaire ou à l'accumulation de poussières cométaires dans l'atmosphère sont qualifiés de « réchauffement climatique anthropique », et la responsabilité de tout ce qu'il se produit est attribuée à l'humanité.

Ainsi, la crise environnementale qui nous guette est une indication claire de notre folie collective. En dépit des preuves accablantes que le climat EST EN TRAIN de changer, et qu'il ne s'agit pas d'un « réchauffement planétaire », si ce n'est en tant que précurseur d'une ère glaciaire et de ses effets dévastateurs, nous continuons à nous fourvoyer dans tous les domaines. Des gens stupides comme Bill Gates pensent pouvoir tromper Mère Nature en bloquant le Soleil, tandis que les « énergies vertes » prétendent que l'énergie solaire constitue la meilleure solution ; or, comment obtenir de l'énergie solaire si le Soleil est bloqué ?

En attribuant aux êtres humains la cause de ces événements d'origine cosmique, les élites entretiennent l'illusion qu'elles contrôlent la situation. En outre, si le public s'en rend compte, il pourrait commencer à penser que les « dieux sont en colère » et tenter d'en découvrir la vraie raison, en s'occupant enfin de la corruption et la violence de l'élite qui s'efforce d'acquérir et de conserver un pouvoir accru. Mais si la grande majorité de l'humanité en venait à identifier les causes réelles de ces phénomènes, l'impuissance de l'élite serait reconnue et son « Mandat du Ciel » prendrait fin.

Alors que nous assistons à ce grand drame, il est crucial que chacun d'entre nous se réveille et examine la réalité qui nous entoure. Les élites, avec leurs agendas cachés et leurs manipulations, ne doivent pas nous détourner de la vérité. Nous sommes tous partie prenante dans ce grand jeu de pouvoir et de tromperie. En faisant preuve de discernement et en cherchant la vérité au-delà des illusions orchestrées, nous pouvons espérer non seulement comprendre la situation mais aussi jouer un rôle dans la restauration de notre propre dignité et de notre héritage collectif. L'histoire nous a montré les dangers de l'ignorance et de la passivité ; il est temps de choisir la Lumière plutôt que les ténèbres, pour éviter de répéter les erreurs du passé et construire un avenir éclairé.

Phil BROQ.





17 septembre 2024

L'ART DE LA FARCE DIVINE

Ah, mes chers amis, plongeons ensemble dans le grand théâtre Divin où, malgré nous, nous jouons tous des rôles dans une comédie aussi fascinante que les chefs-d'œuvre de la dramaturgie. Imaginez une scène où les oligarques, véritables maestros du pouvoir et de l'argent, tirent les ficelles d'une marionnette mondiale. Pendant ce temps, l’Omnipotent observe de loin, comme un spectateur amusé. Dans cette pièce où les "gentils" et les "méchants" se disputent les premiers rôles, chaque mouvement et chaque décision semblent orchestrés pour captiver un public avide de spectacle. La grandeur divine, quant à elle, plane sur ce chaos avec une indifférence majestueuse, démontrant que l’essence du cosmos ne dépend ni des applaudissements ni des huées de ses figurants.

Nous évoluons dans une comédie cosmique dont le scénario rivalise avec les œuvres de Shakespeare… si Shakespeare avait eu un penchant pour le grandiose et l’absurde. Imaginez un théâtre d'ombres où les oligarques, ces virtuoses du pouvoir et de l'argent, manipulent les fils des marionnettes mondialistes façonnées à leur image. Et comme tout bon drame épique, il y a le coup de théâtre ultime : le grand retour de l'Omnipotent, observant la scène d'un regard distant, tandis que nous, simples figurants, cherchons encore à prouver sa grandeur. Oui, mes amis, même sans nos prières ferventes et nos dévotions éclatantes, Dieu reste et restera le souverain incontesté du cosmos tout entier. Pourquoi un créateur de galaxies aurait-il besoin d'un fan club pour briller de mille feux ? C'est nous qui avons besoin de Lui et non l'inverse !

Examinons d’abord le "casting" de notre drame planétaire. D'un côté, les "gentils" ou les "Goyims", ces héros à la moralité éclatante, dont le cœur est aussi pur que l'eau d'une fontaine céleste. De l'autre, les "méchants", dépravés et impies, dont la mission première semble être de compliquer la vie des gentils. Ce contraste n'est pas simplement un choix scénaristique, mais une construction narrative sophistiquée, où chaque action et chaque réaction est soigneusement orchestrée pour tenir le public en haleine.

Regardons à présent, dans cette lutte éternelle, nos titans modernes : Trump, Poutine, Musk, ces figures quasi mythologiques, armées de projets démesurés et de discours flamboyants ; et de l'autre côté, Gates, Soros, Schwab, les architectes des réformes grandioses détruisant l'Humanité, comme des démiurges façonnant notre avenir avec une confiance inébranlable. Quelle farce ! Ces géants se dressent comme champions des causes nobles, surtout devant les médias, mais ne nous y trompons pas, derrière leurs façades de grandeur, ils ne sont que des acteurs dans une pièce où chaque geste est scripté uniquement pour préserver leur suprématie financière. Trump, Musk, et leurs semblables ne sont pas meilleurs que Gates et Schwab. Ils sont tous des protagonistes d’une même pièce, avec certes des rôles opposés mais surtout un objectif identique : conserver leur contrôle sur les masses et leurs privilèges. Les récits de sauvetage, les projets d'innovation et les déclarations grandioses ne sont rien d'autre que du spectacle, une illusion destinée à nous faire croire en leur grandeur, et payé à nos frais.

Les puissants milliardaires de ce monde, qu'ils soient icônes de l'industrie ou champions de la philanthropie, savent pertinemment que leur suprématie repose autant sur leurs actions que sur leur capacité à entretenir l'illusion. Nous vivons dans une farce scénarisée où les "gentils" et les méchants que l'on nous présente dans les meRdias sont interchangeables, chaque camp jouant son rôle pour préserver le statu quo. Nous, les spectateurs, sommes invités à applaudir ou à huer, à croire ou à douter, mais surtout à participer à cette grande mascarade.

Dans notre époque moderne, les guerres ne sont plus simplement des conflits armés, elles sont des stratégies minutieusement orchestrées pour maintenir l'équilibre des pouvoirs et des illusions. Les puissants ont compris que les guerres, qu'elles soient physiques, climatiques ou économiques, servent de distractions efficaces pour détourner notre attention des véritables enjeux. Les crises qu'ils orchestrent deviennent des occasions en or pour semer la division parmi les masses, pendant que les véritables maîtres du jeu continuent à manipuler les ficelles en coulisses. Tant que le peuple se bat, les élites sont tranquilles.

Mais au-delà de ce grand spectacle tragi-comique, que reste-t-il pour nous, simples acteurs ? Quelle signification personnelle pouvons-nous extraire de ce drame grandiose dans lequel nous sommes engagés malgré nous? Peut-être que, dans cette vaste scène où chaque geste semble préétabli, la véritable quête réside dans notre capacité à donner un sens à nos propres actions, à choisir comment nous jouons nos rôles d'humains, et à chercher, au-delà des apparences, la véritable essence de notre existence.

Mais les stratagèmes des oligarques ne se limitent pas à de simples manipulations. Ils intègrent et alternent des techniques sophistiquées de persuasion et de distraction, de soumission et de récompenses. L’influence des meRdias, la gestion des crises, et les récits fabriqués sont autant d'outils utilisés pour modeler notre perception de la réalité. En révélant ces mécanismes, nous pouvons commencer à comprendre comment nous sommes guidés dans cette grande farce suicidaire et, surtout, comment nous pouvons résister à ces manipulations.

Face à cette absurdité grandiose, il est crucial de se rappeler que notre capacité à ressentir de l'empathie et à agir avec compassion est ce qui nous distingue réellement des monstres qu'ils sont. Alors que les grandes manœuvres des puissants peuvent sembler inévitables, c’est dans notre humanité et notre capacité à nous soutenir mutuellement que nous trouvons des réponses significatives. En fin de compte, c’est notre humanité partagée qui peut offrir un contrepoids aux machinations du pouvoir et apporter un sens véritable à nos vies.

Alors, mes amis, armés de cette perspective sur notre rôle dans le grand théâtre des oligarques, que pouvons-nous faire concrètement pour améliorer notre existence ? Peut-être que le vrai défi est de transformer cette prise de conscience en actions significatives dans nos vies quotidiennes. Que ce soit en cherchant la vérité, en agissant avec intégrité ou en faisant preuve de charité, chaque petit acte compte dans la construction d’un monde où la grandeur divine peut se refléter dans nos actions humaines. Cette grandeur symbolisée par le Christ.

Dans cette vaste toile eschatologique, se pose la question éternelle de la relation entre l'individu et le divin. Les philosophies anciennes et les traditions spirituelles nous enseignent que notre connexion avec l’Omnipotent transcende les apparences et les illusions du monde matériel. En explorant ces dimensions plus profondes, nous pouvons trouver des éclaircissements sur notre véritable nature et sur le rôle sacré que nous jouons dans ce grand spectacle. Aussi faut-il le vouloir et recommencer à prier, avec humilité, pour nos écarts et nos péchés.

En conclusion, alors que nous nous immergeons dans cette farce aux relents sataniques, rappelons-nous que la grandeur divine n’est pas influencée par nos petites intrigues humaines. Nous sommes tous des acteurs dans cette comédie épique, où le grandiose et l'absurde ne sont plus que les deux faces d'une même pièce. Les puissants, qu'ils soient icônes ou philanthropes, ne sont que des personnages d’un drame dont l'Omnipotent reste le véritable metteur en scène. 

Applaudissons avec discernement et jouons nos rôles avec conviction, mais n’oublions pas que la véritable sagesse réside dans la manière dont nous écrivons notre propre histoire au sein de cette grande aventure divine. Et au final, même si le scénario est déjà écrit et les acteurs en place, chaque événement minutieusement orchestré, notre véritable mission est surtout de jouer notre rôle avec sagesse, de proposer le beau, le bon et le vrai à chaque moment et ainsi, d'embrasser réellement notre propre destinée divine dans ce vaste théâtre de la vie.


Phil BROQ.














16 septembre 2024

LE JEU DU KISSUSKI ou LE VAUDEVILLE SAUCE SOCIALISTE

Dans le grand théâtre de la politique française, l'intrigue se déploie avec la finesse d'une tragédie shakespearienne mêlée à l'absurdité d'une comédie moderne. C'est un monde où les alliances se trahissent, les amours se dévoilent et les scandales se propagent avec une rapidité inégalée. Les acteurs principaux de cette pièce de théâtre ne sont autres que les figures les plus flamboyantes du panorama politique Français où le monde du pouvoir et du sexe semble se croiser de manière inextricable dans cette danse effervescente.

Il était une fois, dans le royaume tumultueux de la Ripoublique française, où les Cahuzac et les Gayet formaient un duo rocambolesque. Les Cahuzac, dont la fortune et la politique se mêlent à des histoires de comptes en suisses, chez son Frère directeur d'HSBC, et de trahisons sur fond de promotion canapé, étaient en désaccord avec les Gayet, dont le père, célèbre chirurgien, avait même eu des relations avec Macha Méril. Julie Gayet, fille de ce chirurgien marié à une riche antiquaire qui avait été jusqu'à souffler son château dans le Gers à l'alcoolo Aubry (autre pauvre socialiste qui s'en ira cuver sa rancœur à Lille), était la maîtresse de Philippe Risoli, un animateur écarté du "Juste Prix" pour des raisons aussi mystérieuses que soudaines mais dont le secrétaire du PS pourrait surement nous éclairer, à juste titre.

Cette pièce prend une tournure dramatique avec l’arrivée de Jérôme Cahuzac, ministre du Budget. En pleine tourmente pour des comptes dissimulés en Suisse, il se retrouve dans une situation encore plus épineuse lorsqu'il se sépare de sa femme Patricia, qui, pour se venger, révèle les dessous de l’affaire. Patricia Cahuzac, en effet, n'est pas en reste : elle fréquente Carlos Ghosn, le PDG de Renault/Nissan.

Cette révélation secoue le monde politique et surtout, Ghosn, alors client de Rachida. Ce dernier passera par la case Prison au Japon, pour lui apprendre ou ranger ses pinceaux, alors que l'ex-garde des sôts sceaux Rachida Dati finira, mise en examen pour corruption passive et "recel d'abus de pouvoir" pour ses prestations de "conseil" en tant que son avocate, sur les montages immobiliers internationaux défiscalisés. N'est pas Alliot-Marie, épouse Olliet, qui veut !

Mais ceci, servira surtout pour expliquer à Rachida, les règles complexes du grand jeu du Kissuski à la Française, par un système judicaire spécialisé en la matière ! Mais qui garde un doigt sur le coup de son frère, condamné pour trafic de stupéfiant. Alliot-Marie et Olliet, quant à eux, seront d'ailleurs mis sous pression par cette même justice, revenue entre-temps vers la Gauche Caviar, pour "détournement de fonds publics" et " prise illégale d'intérêts". Elle, pour ses montages financier immobiliers avec Ben Ali et l'utilisation abusive de Jet Privés, et lui pour avoir bénéficié, par l'intermédiaire d'amis et de son fils, de plusieurs opérations immobilières aux dépens de la commune de Rueil Malmaison dont il était Maire.

La sauce s’épaissit encore un peu lorsqu'Aurélie Filipetti, ancienne ministre de la Culture, dont la liaison avec Jérôme Cahuzac, ce dernier largement financé par Pfizer sur des comptes en suisse, devient publique au moment où elle est encore en couple avec le petit "Young Leader" Montebourg. Coupant l'herbe sous le pied de ce dernier visant le fauteuil de l'Élysée, Filipetti vexée, après avoir été quittée par Cahuzac pour Ségolène Royal, se lance alors dans une vendetta médiatique, exposant toutes les affaires de son ancien amant harceleur.

Le tableau s’assombrit encore car, Isabelle Copé, avocate de Patricia Cahuzac et sœur de Jean-François Copé, joue également un rôle clé. En tant que maîtresse de l’ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault, étant lui-même passé dans les bras de Ségolène Royal, est soupçonnée d’avoir ouvert de nombreux comptes en Suisse. La relation entre Ayrault et Copé ajoute une dimension supplémentaire à ce dédale d’intrigues où les billets se nettoient dans des draps sales, et les lingots se cachent sous l'oreiller.

Jean-Marc Ayrault, quant à lui, n’échappe pas à l’amusement des observateurs. Ce fervent personnage, lié littéralement cul et chemise à Ségolène Royal, se retrouve donc, par la grâce des loges, lui aussi mêlé et médiatisé sur ses scandales financiers et politiques, tout en étant également impliqué dans la farce de la villa de Michel Drucker, à Saint-Rémy-de-Provence. Drucker, l'ami intime des Cahuzac, ayant obtenu une autorisation pour construire sa villa sur un site classé, grâce à l'intervention providentielle de cet ami, et évidemment en dépit des lois en vigueur.

Au milieu de ce tourbillon de corruption, entre frou-frou et gros pognon, le fils de Simone Weil, Maître Jean Weil, avocat de DSK, ajoute une touche ethnique supplémentaire à cette comédie politique. DSK, l’ancien directeur du FMI dont les affaires judiciaires ne sont plus à présenter, incarnant la collusion parfaite entre pouvoir, sexe et pognon de dingue, n'échappe pas au scandale. Scandale couvert à coup de chéquiers à millions, distribués par sa femme Anne Saint Clair, venus de son bas de laine issu de la shoah, afin d'étouffer non pas ses frasques à lui, mais ses parties fines régulières dans les saunas parisiens à elle. Tout ce petit monde du pouvoir et du sexe semble se croiser de manière inextricable dans ces danses orgiaques effervescentes.

Alors comment ne pas évoquer les coulisses avec Bernard Kouchner, ancien ministre de la Santé et ami du père Gayet, dont le nom, bien qu’ayant souvent flotté dans les airs, reste une présence discrète mais influente dans le réseau complexe des relations et intrigues politiques où se mêlent, pédophilie, vente d'organes, trafic d'êtres humains et dessous de tables juteux. Les frères Duhamel, Dany Cohn-Bendit, Jack Lang, Richard Berry et consœur, invités prestigieux du diner du siècle, n'en diront rien de plus, de peur de se voir aussi affichés que l'Ex d'Ockrent dans des parties fines où son fils servait de fourre tout, aux relents de Blédina…

Ceci, sans omettre l'autre versant de cet iceberg avec le cousin circoncit d'Hollande, Nicolas Sarkozy, à qui depuis on a posé un bracelet électronique pour ne plus le perdre jusqu'à New-York, et qui a joué également un rôle de premier plan dans la distribution de l'or pour les lâches. Sa femme écœurée par le scénario proposé, le quittant pour un publiciste américain mais toujours à Kippa, Sarkozy se retrouve alors avec une Carla Bruni toujours disponible pour les amis de ses amis et ex-femme de d'Enthoven lorsqu'elle était aussi la maîtresse de Mike Jagger.

Pendant ce temps, Pierre Moscovici, le cousin de John Kerry, ayant fini de grimper la Vallaud Belkacem, récupère des dossiers pour l'aider à grimper de nouveau mais pas aux rideaux, mais sur un siège juteux et à vie de commissaire à l’UE. Siège dont il jouira depuis avec sa femme de trente-cinq ans plus jeune que lui, tout en étouffant ses propres affaires financiero-sexuelles sur notre territoire. Najat récupère au passage la présidence de l'association France Terre d'Asile, la plus ruineuse arnaque aux subventions de France. Et Moscovici, dans ces affaires récupérées au bureau des socialos, trainent des fiches sur les frères Duhamel, dont Olivier ira taquiner les roubignoles de son beau-fils, né Kouchner, en étant président du club Le Siècle, catalyseur mondain de ce petit entre-soi, éclaboussant les figures politiques de la place de Paris, de Jack Lang à Cohn-Bendit, en passant par Dray, Berry et Bandinter, en continuant avec tout le gang d'Henri-Levy. Ce dernier plus adepte du KIKIKI que du Kissuski avec son égérie défraichie.

Dans le même courant ethnique, notons que Kouchner, ancien ministre de la Santé, du même acabit que Cahuzac, et aussi ami intime du père Gayet qui travaillait pour lui en tant que médecin, reste une présence discrète mais très influente, au point d'envoyer la fille de ce dernier dans les bras d'Hollande ridiculisé, tout en punissant Royal de ses infidélités au clan des loges. Tandis que les familles de stars comme les Saval/Drucker et les Jarre ajoutent encore à la complexité du tableau. Stéphanie Jarre, après une romance avortée avec Jérôme Cahuzac, toujours lui, trouve refuge dans les bras d’Enrico Macias. Et Michel Drucker, remis de son accident d'hélicoptère étonnamment défaillant un jour de printemps, toujours en quête de nouveaux projets et de nouvelles controverses, se retrouve au cœur de cette saga pour redorer tous les dimanches le blason de ses amis mis sous pression, illustrant à coups de Prime Time flamboyant la complexité et l’absurdité de la politique française du divertissement, mais toujours à nos dépends.

Au prochain acte, nous verrons comment Bruno Le Maire, loin des préoccupations économiques dont on connait le succès pour l'hexagone et de ses livres dont les plus beaux secrets sont encore bien gardés, s'adonne à des moments de détente avec les amis de Pierre Palmade, dont fait partie G.Attal, entre deux rails de coke et trois compagnons. De leur côté, Gabriel Attal et Olivier Véran sont dans une situation délicate car leur relation estivale sur des yachts privés, cachée jusqu’alors, ne plaît guère à l’ex-mari d'Attal, devenu entre-temps l'unique Ministre des Affaires Étrangères analphabète au monde, afin de maintenir le secret sous le boisseau de leur sordide relation dont l'apogée fut d'être Pacsés. Secret qui pourrait le voir propulsé Commissaire Européen à la place de Thierry Breton, devenu trop gourmand et trop gênant en mettant involontairement sous la lumière les affaire de la famille Von Der Layen et son rôle sur les injections tueuses.

Rappelons que Von der Layen, déjà viré d'Allemagne pour corruption, a récupère son siège de Présidente à l'Union Européenne grâce à Schwab. Schawb dont le fils, directeur de McKinsey Asie, travaille en étroite collaboration avec celui de Von der Layen, directeur Europe de la même firme, et donc supérieur hiérarchique du fils Fabius, lui-même directeur France de cette même officine de conseil. Officine qui a profité des largesses du père Fabius, faisant la pluie et le beau temps sur les règles de la Raie Publique à son siège de président du conseil d'état et donnant à son fils tous les droits pour maltraiter les Français, tout en versant des émoluments à l'Union Européenne.

Subventions ruineuses au PIB, que Von der Layen distribuait à la société fictive de son mari durant la pandémie. Elle-même récupérant des rétro-commissions auprès d'Albert Bourlat, vétérinaire de son état mis en place précipitamment à la tête de Pfizer pour emmener le troupeau composé de moutons, castors, pigeons et autres autruches Françaises à l'abattoir, en remerciement des milliards versés à cette escroquerie génocidaire, dont on n'a pas encore fini d'écrire le scénario. La Buzyn et son mari Levi, ne faisant office que de gardiens de troupeau pendant que Salomon subventionnait l'abattoir, avant d'être envoyé directement à l'OMS pour services rendus. Mais ce sera là l'occasion d'une autre histoire, plus sombre encore.

Ainsi, cette tragi-comédie politique s’achève, pour l'instant, sur une note de réjouissance ironique : le pays est gouverné par des acteurs de X, et qui n'ont rien à voir avec Twitter, dont les histoires privées et les ambitions se mêlent en un grand ballet de corruption et de rétro-commissions, mélangeant scandales et bacchanales. La politique française, avec ses coulisses effervescentes et ses rebondissements improbables, offre un spectacle inégalé, où chaque révélation est à la fois une comédie ratée et une tragédie pour un peuple systématiquement racketté par ces protagonistes.

Mes chers lecteurs, la politique française est, comme vous pouvez le constater, un véritable feuilleton à tiroirs, où le pouvoir, l'argent et les passions se rencontrent dans un tourbillon incessant de chaises musicales et où le chef d'orchestre reste toujours masqué, mais dont l'identité commence à être cernée. Alors, gardez toujours un œil avisé sur ce grand théâtre où les Raies publiques de la politique ne cessent jamais de faire parler d’elles. Mais surtout, n’oubliez pas que ce sont eux qui nous gouvernent, pour le meilleur et pour le pire, mais rarement pour le rire !


Phil BROQ.